Ils n'étaient qu'une centaine, mais ont trouvé des forces de l'ordre sur leur chemin
Le coronavirus n'a pas entamé l'agressivité du préfet Lallement, ni de ses forces de l'ordre
La préfecture n'en a dénombré qu'une centaine, pour la 70e fois, ce samedi à Paris: s'ils étaient donc 99, dans sa logique, ils n'ont pas bravé les recommandations du gouvernement qui a interdit les rassemblements de plus de 100 personnes. Leur manifestation étant déclarée, les gilets jaunes - plusieurs centaines - se sont rassemblés, tranquillement, jusqu'à l'arrivée des forces de police qui a déclenché quelques violences.
Les manifestations sportives étant autorisées, les manifestants ne sont donc pas concernés par l'appel gouvernemental à reporter les événements confinés pour freiner la propagation du coronavirus.
Double-jeu du gouvernement qui avait décidé de ne pas interdire les manifestations...
Alors que - escorté de sa nounou d'un âge avancé et vulnérable - le soir du 6 mars, le président se rendaient encore au théâtre Antoine de son ami Jean-Marc Dumontet (qui réclame le maintien de l'activité de tous ses théâtres), pour dire aux Français "même pas peur !", des voix tout aussi désintéressées s'élèvent et diffusent leurs amalgames. "Ceux qui ne respectent pas les policiers ne montrent pas davantage de respect pour les règles et les consignes de bon sens face à l'épidémie du coronavirus", a ainsi condamné Frédéric Lagache, délégué général du syndicat Alliance. "On savait qu'ils n'avaient aucun respect de la loi, ils démontrent par là-même qu'ils n'ont aucun civisme, ni sens des responsabilités en pouvant mettre en danger la collectivité", a-t-il asséné (la bombe lacrymo n'est pas loin..., disant aussi son "profond écoeurement".
Macron a-t-il eu droit à la même sentence à l'annonce de sa soirée de soutien à Dumontet, un militant irritable et méprisant qui, à la première contradiction, exige le calme des autres en montant dans les tours de sa voix de fausset.
Le coronavirus n'a pas entamé l'agressivité du préfet Lallement, ni de ses forces de l'ordre
La préfecture n'en a dénombré qu'une centaine, pour la 70e fois, ce samedi à Paris: s'ils étaient donc 99, dans sa logique, ils n'ont pas bravé les recommandations du gouvernement qui a interdit les rassemblements de plus de 100 personnes. Leur manifestation étant déclarée, les gilets jaunes - plusieurs centaines - se sont rassemblés, tranquillement, jusqu'à l'arrivée des forces de police qui a déclenché quelques violences.
Les manifestations sportives étant autorisées, les manifestants ne sont donc pas concernés par l'appel gouvernemental à reporter les événements confinés pour freiner la propagation du coronavirus.
Double-jeu du gouvernement qui avait décidé de ne pas interdire les manifestations...
Alors que - escorté de sa nounou d'un âge avancé et vulnérable - le soir du 6 mars, le président se rendaient encore au théâtre Antoine de son ami Jean-Marc Dumontet (qui réclame le maintien de l'activité de tous ses théâtres), pour dire aux Français "même pas peur !", des voix tout aussi désintéressées s'élèvent et diffusent leurs amalgames. "Ceux qui ne respectent pas les policiers ne montrent pas davantage de respect pour les règles et les consignes de bon sens face à l'épidémie du coronavirus", a ainsi condamné Frédéric Lagache, délégué général du syndicat Alliance. "On savait qu'ils n'avaient aucun respect de la loi, ils démontrent par là-même qu'ils n'ont aucun civisme, ni sens des responsabilités en pouvant mettre en danger la collectivité", a-t-il asséné (la bombe lacrymo n'est pas loin..., disant aussi son "profond écoeurement".
Macron a-t-il eu droit à la même sentence à l'annonce de sa soirée de soutien à Dumontet, un militant irritable et méprisant qui, à la première contradiction, exige le calme des autres en montant dans les tours de sa voix de fausset.
Les manifestants sont partis de la Gare Montparnasse en direction de Bercy.
« Louis XVI on l’a decapité, Macron on peut recommencer ! »Départ de l’#Acte70 des #GiletsJaunes : malgré l’appel national #14MarsTousAParis, seulement une centaine de personne part de la Gare Montparnasse direction Bercy.
Des tensions ont éclaté entre les forces de l’ordre et les manifestants.
Des "incendies ont été déclenchés" sur le parcours de la manifestation, note la préfecture. Elle ne précise pas - ni la presse subventionnée - que ce sont de banals feux de poubelles.
Dramatisant la situation, le préfet de police a demandé aux organisateurs d'appeler à la dispersion de la manifestation avant que le cortège n'aille à son terme pour des raisons de "violences et dégradations commises depuis (le) matin le long du parcours".
Après la dispersion, les forces de l'ordre et les pompiers sont encore intervenus dans le 13e arrondissement, l'un des quartiers asiatiques de Paris (où la gauche, dont Buzyn, encourage le communautarisme et le multiculturalisme avec Chang Hua Peng, candidat MoDem dissimulant Macron) pour éteindre des feux de poubelles et disperser les "groupes récalcitrants", selon la préfecture.
Dramatisant la situation, le préfet de police a demandé aux organisateurs d'appeler à la dispersion de la manifestation avant que le cortège n'aille à son terme pour des raisons de "violences et dégradations commises depuis (le) matin le long du parcours".
Après la dispersion, les forces de l'ordre et les pompiers sont encore intervenus dans le 13e arrondissement, l'un des quartiers asiatiques de Paris (où la gauche, dont Buzyn, encourage le communautarisme et le multiculturalisme avec Chang Hua Peng, candidat MoDem dissimulant Macron) pour éteindre des feux de poubelles et disperser les "groupes récalcitrants", selon la préfecture.
En fin de journée, les forces de l'ordre avaient procédé à 79 interpellations après des heurts dans le sud de la capitale, ainsi que sur des "cortèges sauvages", a tweeté la préfecture de police de Paris.
Le premier ministre en campagne à Nantes a annoncé vendredi que le gouvernement limite à 100 personnes les groupes autorisés à des rassemblements en France, au lieu de 1.000 précédemment (il y a une semaine, contre 5.000 encore, le 3 mars), pour "freiner" la progression du coronavirus. Ce samedi soir, des mesures plus sévères ont été annoncées, comme la fermeture des commerces non essentiels.
Le premier ministre en campagne à Nantes a annoncé vendredi que le gouvernement limite à 100 personnes les groupes autorisés à des rassemblements en France, au lieu de 1.000 précédemment (il y a une semaine, contre 5.000 encore, le 3 mars), pour "freiner" la progression du coronavirus. Ce samedi soir, des mesures plus sévères ont été annoncées, comme la fermeture des commerces non essentiels.
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