Dominique Strauss-Kahn va trop loin
Le soudard PS va se faire valoir en Chine
en débinant son pays et
en portant préjudice à l'emploi des Français
Le socialiste va loin pour effectuer son retour à la vie publique
en débinant son pays et
en portant préjudice à l'emploi des Français
Le socialiste va loin pour effectuer son retour à la vie publique
L'ex-directeur du FMI a choisi un forum économique à Pékin pour mettre à profit son expérience à la tête du Fonds Monétaire International.
Pour la première fois depuis l'affaire du Sofitel, l'ancien patron du FMI a pris la parole lors d'une conférence organisée à Pékin par le groupe NetEase, l'un des géants de l'Internet en Chine.
Dans un discours de 45 minutes, l'ex-patron du FMI a distribué bons et mauvais points, se montrant très critique des mesures de sauvetage prises à Bruxelles et plutôt tendre avec ses hôtes chinois.
Dominique Strauss-Kahn n'a souhaité faire "aucun commentaire" en réponse aux questions autres que macro économiques des journalistes étrangers plus intéressés par les suites de ses affaires judiciaires... Il n'a pas souhaité faire allusion donc à l'affaire Nafissatou Diallo qui lui a coûté son poste à la tête du FMI et pour laquelle il reste poursuivi au civil. Ni à celle du Carlton de Lille, où son nom est cité. Fabrice Paszkowski mis en examen pour proxénétisme, doit être entendu par les juges aujourd'hui dans cette dernière affaire.
Le candidat socialiste écarté va trop loin et s'en prend à la France
Sans retenue
Commentant la crise de la dette en Europe, DSK a comparé la zone euro à un "radeau sur le point de sombrer"...
" Avec la récente tempête, le radeau semble ne plus être assez résistant», a-t-il affirmé en parlant de l’eurozone. «Le fait que l’euro soit encore au milieu de la rivière et que l’union budgétaire ne soit pas réalisée le rend très très vulnérable et le radeau semble sur le point de sombrer ".
Le candidat socialiste bafoue les usages diplomatiques
Pour la première fois depuis l'affaire du Sofitel, l'ancien patron du FMI a pris la parole lors d'une conférence organisée à Pékin par le groupe NetEase, l'un des géants de l'Internet en Chine.
Dans un discours de 45 minutes, l'ex-patron du FMI a distribué bons et mauvais points, se montrant très critique des mesures de sauvetage prises à Bruxelles et plutôt tendre avec ses hôtes chinois.
Dominique Strauss-Kahn n'a souhaité faire "aucun commentaire" en réponse aux questions autres que macro économiques des journalistes étrangers plus intéressés par les suites de ses affaires judiciaires... Il n'a pas souhaité faire allusion donc à l'affaire Nafissatou Diallo qui lui a coûté son poste à la tête du FMI et pour laquelle il reste poursuivi au civil. Ni à celle du Carlton de Lille, où son nom est cité. Fabrice Paszkowski mis en examen pour proxénétisme, doit être entendu par les juges aujourd'hui dans cette dernière affaire.
Le candidat socialiste écarté va trop loin et s'en prend à la France
Sans retenue
Commentant la crise de la dette en Europe, DSK a comparé la zone euro à un "radeau sur le point de sombrer"...
" Avec la récente tempête, le radeau semble ne plus être assez résistant», a-t-il affirmé en parlant de l’eurozone. «Le fait que l’euro soit encore au milieu de la rivière et que l’union budgétaire ne soit pas réalisée le rend très très vulnérable et le radeau semble sur le point de sombrer ".
Le candidat socialiste bafoue les usages diplomatiques
Le complotiste complice de Martine Brochen-Aubry parle de la France et des Français depuis l'étranger où il est l'invité - en qualité d'ancien patron du FMI - d'un pays dont la politique économique aggressive menace notre pays et l'emploi de ses concitoyens.
Le socialiste participe à distance à la campagne présidentielle du PS
Le socialiste participe à distance à la campagne présidentielle du PS
" Je ne suis pas persuadé que M. Sarkozy et Mme Merkel se comprennent bien entre eux et c’est probablement une des raisons pour lesquelles le système européen a des problèmes pour avancer. "
Il a estimé en revanche que le gouvernement chinois avait " particulièrement bien tiré son épingle du jeu lors de la crise de 2008-2009. Les 500 milliards d’euros du Mécanisme européen de stabilité (MES), futur fonds de sauvetage permanent de la zone euro, " ne seront pas réels avant six mois, ce qui est bien trop tard. C’est une question de semaines, ce n’est pas une question de mois ", a souligné l’ex-favori de la présidentielle française, qui a sali la réputation française au Sofitel.
Le socialiste casse la politique de son propre pays
Concernant les autres mesures sur lesquelles planchent les leaders européens, qui se retrouveront en sommet début 2012, DSK a assuré: " Franchement je ne suis pas vraiment sûr que ce qu’ils vont préparer sera suffisamment solide pour être efficace".
"La participation de Dominique Strauss-Kahn relève le niveau de cette conférence, nous le respectons beaucoup ", a estimé l’économiste chinoise Sun Shilian. On comprend que, selon elle, DSK bénéficie de cette bonne image en Chine car il a permis sous son mandat à l’influence de Pékin de grossir au sein du FMI, qui a notamment intégré comme directeur général-adjoint un Chinois, Zhu Min.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):