La gauche prend le biais du droit de vote pour l'octroi de la nationalité
Vers plus de profs en ZEP,
mais un allègement
des programmes scolaires !
Citoyenneté, un fait qui deviendrait un concept
Vingt-six maires de gauche ont relancé mardi 15 février 2011 le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales - et de gérer les collectivités locales - en signant un appel destiné à sensibiliser les pouvoirs publics et l'opinion sur ce sujet.
La gauche fait un lot du droit de vote et de celui d'être élu
mais un allègement
des programmes scolaires !
Citoyenneté, un fait qui deviendrait un concept
Vingt-six maires de gauche ont relancé mardi 15 février 2011 le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales - et de gérer les collectivités locales - en signant un appel destiné à sensibiliser les pouvoirs publics et l'opinion sur ce sujet.
La gauche fait un lot du droit de vote et de celui d'être élu
" Nous lançons un appel solennel et prenons l’engagement de tout mettre en oeuvre pour que le droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers aux élections locales soit reconnu ", écrivent ces maires réunis - au Sénat- à l’initiative du premier magistrat de Strasbourg, Roland Ries (PS).
L'opinion publique serait favorable
" Aujourd’hui, les résidents étrangers doivent être considérés comme des citoyens à part entière ", affirmaient-ils, il y a déjà près d'un an. " L’opinion publique est favorable à l’évolution d’une citoyenneté attachée à la résidence et non pas seulement à la nationalité ", jugeaient-ils, d'autorité.
L'opinion publique serait favorable
" Aujourd’hui, les résidents étrangers doivent être considérés comme des citoyens à part entière ", affirmaient-ils, il y a déjà près d'un an. " L’opinion publique est favorable à l’évolution d’une citoyenneté attachée à la résidence et non pas seulement à la nationalité ", jugeaient-ils, d'autorité.
Lien PaSiDupes : "55% des Français consentiraient au vote des non-européens "
Citoyens souverains, mais placés devant le fait accompli
Assurant pour leur part que " le concept [sic] de citoyenneté contient le droit pour toute personne de participer aux prises de décision qui la concernent ", ils considéraient d'ailleurs que " son extension a déjà eu lieu pour une partie des étrangers résidents, ressortissants de l’UE, qui peuvent voter aux élections municipales et européennes ".
Faut-il poursuivre l'extension ?
" Il s’agit maintenant de donner les mêmes droits à tous les étrangers résidents ", décidaient-ils.
L’appel est signé par les maires des villes suivantes :
•Angers (Jean-Claude Antonini, PS),
•Aubervilliers (Jacques Salvator, PS),
•Bègles (Noël Mamère, Europe Ecologie-les Verts),
•Besançon (Jean-Louis Fousseret, PS),
•Caen (Philippe Duron, PS),
•Chelles (Jean-Paul Planchou, PS),
•Clichy-la-Garenne (Gilles Catoire, PS),
•Creil (Jean-Claude Villemain, PS),
•Erstein, 10.000 hab.en Alsace (Jean-Marc Willer, PS),
•Grenoble (Michel Destot, PS, président de l'Association des maires de grandes villes de France (AMGVF), proche de Martine Brochen-Aubry, mais membre de l'équipe de campagne de Hollande),
•Illkirch-Graffenstaden (Jacques Bigot, PS),
•Les Ulis (Maud Olivier, PS),
•Lille (Martine Brochen-Aubry,PS),
•Metz en Lorraine (Dominique Gros, PS),
•Montbéliard en Franche-Comté (Jacques Hélias, PS),
•Nantes (Jean-Marc Ayrault, PS, professeur d'allemand), proche de Hollande,
•Paris (Bertrand Delanoë, né en Tunisie, PS),
•Pau (Martine Lignières-Cassou, née à Alger, PS) "ex"-trotskiste et conseillère de Martine Brochen-Aubry,
•Périgueux (Michel Moyrand, PS),
•Quimper(Bernard Poignant, PS), ex-président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESER), proche de Lionel Jospin
•Reims (Adeline Hazan, dont le père est d'origine égyptienne PS),
•Rennes (Daniel Delaveau, PS),
•Rouen (Valérie Fourneyron, PS), proche de Martine Brochen-Aubry,
•Saint-Denis (Didier Paillard, PCF),
•Strasbourg (Roland Ries, PS),
•Toulouse (Pierre Cohen, PS).
Plusieurs municipalités s’étaient associées pour initier cet appel à l’occasion du premier congrès des conseils de résidents étrangers, le 16 octobre dernier à Strasbourg.
Le flou sur la condition de durée de résidence
Elle serait de seulement cinq ans en France, contre de dix au Vénézuela !
La présidente du Front national, Marine Le Pen, a dénoncé cette initiative en estimant dans un communiqué que rattacher la citoyenneté à la résidence et non à la nationalité serait " contraire à toute la tradition française ", " aux valeurs de notre République " et " au concept même de démocratie ".
Selon Mme Le Pen, " il s’agit par ailleurs du seul droit qui reste aux Français, alors que les aides sociales sont déjà, hélas, distribuées depuis quelques décennies sans aucune distinction de nationalité ".
La question du droit de vote des étrangers aux élections locales revient régulièrement sur le devant de la scène. Le 30 mars 2010, les députés de la majorité avaient repoussé une proposition de loi socialiste visant à donner le droit de vote et d’éligibilité aux étrangers non-européens aux élections municipales.
Tous "citoyens du monde"
Et quel serait le statut des Français de l'étranger ?Citoyens souverains, mais placés devant le fait accompli
Assurant pour leur part que " le concept [sic] de citoyenneté contient le droit pour toute personne de participer aux prises de décision qui la concernent ", ils considéraient d'ailleurs que " son extension a déjà eu lieu pour une partie des étrangers résidents, ressortissants de l’UE, qui peuvent voter aux élections municipales et européennes ".
Faut-il poursuivre l'extension ?
" Il s’agit maintenant de donner les mêmes droits à tous les étrangers résidents ", décidaient-ils.
L’appel est signé par les maires des villes suivantes :
•Angers (Jean-Claude Antonini, PS),
•Aubervilliers (Jacques Salvator, PS),
•Bègles (Noël Mamère, Europe Ecologie-les Verts),
•Besançon (Jean-Louis Fousseret, PS),
•Caen (Philippe Duron, PS),
•Chelles (Jean-Paul Planchou, PS),
•Clichy-la-Garenne (Gilles Catoire, PS),
•Creil (Jean-Claude Villemain, PS),
•Erstein, 10.000 hab.en Alsace (Jean-Marc Willer, PS),
•Grenoble (Michel Destot, PS, président de l'Association des maires de grandes villes de France (AMGVF), proche de Martine Brochen-Aubry, mais membre de l'équipe de campagne de Hollande),
•Illkirch-Graffenstaden (Jacques Bigot, PS),
•Les Ulis (Maud Olivier, PS),
•Lille (Martine Brochen-Aubry,PS),
•Metz en Lorraine (Dominique Gros, PS),
•Montbéliard en Franche-Comté (Jacques Hélias, PS),
•Nantes (Jean-Marc Ayrault, PS, professeur d'allemand), proche de Hollande,
•Paris (Bertrand Delanoë, né en Tunisie, PS),
•Pau (Martine Lignières-Cassou, née à Alger, PS) "ex"-trotskiste et conseillère de Martine Brochen-Aubry,
•Périgueux (Michel Moyrand, PS),
•Quimper(Bernard Poignant, PS), ex-président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESER), proche de Lionel Jospin
•Reims (Adeline Hazan, dont le père est d'origine égyptienne PS),
•Rennes (Daniel Delaveau, PS),
•Rouen (Valérie Fourneyron, PS), proche de Martine Brochen-Aubry,
•Saint-Denis (Didier Paillard, PCF),
•Strasbourg (Roland Ries, PS),
•Toulouse (Pierre Cohen, PS).
Plusieurs municipalités s’étaient associées pour initier cet appel à l’occasion du premier congrès des conseils de résidents étrangers, le 16 octobre dernier à Strasbourg.
Le flou sur la condition de durée de résidence
Elle serait de seulement cinq ans en France, contre de dix au Vénézuela !
La présidente du Front national, Marine Le Pen, a dénoncé cette initiative en estimant dans un communiqué que rattacher la citoyenneté à la résidence et non à la nationalité serait " contraire à toute la tradition française ", " aux valeurs de notre République " et " au concept même de démocratie ".
Selon Mme Le Pen, " il s’agit par ailleurs du seul droit qui reste aux Français, alors que les aides sociales sont déjà, hélas, distribuées depuis quelques décennies sans aucune distinction de nationalité ".
La question du droit de vote des étrangers aux élections locales revient régulièrement sur le devant de la scène. Le 30 mars 2010, les députés de la majorité avaient repoussé une proposition de loi socialiste visant à donner le droit de vote et d’éligibilité aux étrangers non-européens aux élections municipales.
Tous "citoyens du monde"
Les Français seraient-ils éligibles en Algérie, en Confédération hélvétique, au Canada et en Autriche ?
Le Maroc exige la réciprocité et la Biélorussie exclusivement avec la Russie.
La Grèce socialiste de Papandréou a adopté une autre technique de refus, en imposant des conditions administratives très restrictives...
=> Lorsqu'un pays européen reconnaît ces droits, ils n'incluent généralement pas les étrangers extracommunautaires (Danemark, Hongrie, Pologne). En Italie, le ministre de l'Intérieur Roberto Maroni a déclaré le 30 janvier 2009 que " la Constitution dit que le droit de vote dans notre pays, ce sont les citoyens italiens et européens qui l'ont, pas les extracommunautaires. Si on veut, on peut changer la Constitution, mais on ne peut pas dire qu'on ferme les yeux. "
Ironie socialiste
Rendez-vous manqués avec l'Histoire:
l'Espagne socialiste de Zapatero n'a pas accordé ce double droit aux étrangers pour les élections municipales de 2007...
La germanophobie de Hollande, Montebourg et les autres est incompréhensible :en Allemagne, le programme de coalition CDU-CSU-SPD d'Angela Merkel prévoyait en 2005 que "nous examinerons aussi (...) la question du droit de vote et d'éligibilité communal des étrangers qui ne sont pas citoyens de l'UE."
A y bien regarder, le PS ne serait-il pas un peu soumis aux socialistes allemands et admiratifs du pangermanisme ?
Avec le PS, faut-il craindre un retour de la Terreur ?
Nos incroyables socialo-gauchistes nous referaient-ils 1793 ?
L'article 4 de la Constitution du 24 juin 1793 (jamais appliquée) accordait la citoyenneté " à tout étranger qui, domicilié en France depuis une année, y vit de son travail, ou acquiert une propriété, ou épouse une Française, ou adopte un enfant, ou nourrit un vieillard, tout étranger enfin qui sera jugé par le corps législatif avoir bien mérité de l'humanité "...
Le Maroc exige la réciprocité et la Biélorussie exclusivement avec la Russie.
La Grèce socialiste de Papandréou a adopté une autre technique de refus, en imposant des conditions administratives très restrictives...
=> Lorsqu'un pays européen reconnaît ces droits, ils n'incluent généralement pas les étrangers extracommunautaires (Danemark, Hongrie, Pologne). En Italie, le ministre de l'Intérieur Roberto Maroni a déclaré le 30 janvier 2009 que " la Constitution dit que le droit de vote dans notre pays, ce sont les citoyens italiens et européens qui l'ont, pas les extracommunautaires. Si on veut, on peut changer la Constitution, mais on ne peut pas dire qu'on ferme les yeux. "
Ironie socialiste
Rendez-vous manqués avec l'Histoire:
l'Espagne socialiste de Zapatero n'a pas accordé ce double droit aux étrangers pour les élections municipales de 2007...
La germanophobie de Hollande, Montebourg et les autres est incompréhensible :en Allemagne, le programme de coalition CDU-CSU-SPD d'Angela Merkel prévoyait en 2005 que "nous examinerons aussi (...) la question du droit de vote et d'éligibilité communal des étrangers qui ne sont pas citoyens de l'UE."
A y bien regarder, le PS ne serait-il pas un peu soumis aux socialistes allemands et admiratifs du pangermanisme ?
Avec le PS, faut-il craindre un retour de la Terreur ?
Nos incroyables socialo-gauchistes nous referaient-ils 1793 ?
L'article 4 de la Constitution du 24 juin 1793 (jamais appliquée) accordait la citoyenneté " à tout étranger qui, domicilié en France depuis une année, y vit de son travail, ou acquiert une propriété, ou épouse une Française, ou adopte un enfant, ou nourrit un vieillard, tout étranger enfin qui sera jugé par le corps législatif avoir bien mérité de l'humanité "...
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