Le retour du boomerang socialiste
A son tour, l'UMP saisit la commission des comptes de campagne
Le coût des débats de la primaire PS à France Télévisions, c'est pour qui ?
Les socialistes vertueux sont chez eux dans les service public et comptaient squatter France Télévisions pendant plusieurs semaines avec la complicité du SNJ, mais aux frais de la princesse, les contribuables nantis, comme défaforisés !
A son tour, l'UMP saisit la commission des comptes de campagne
Le coût des débats de la primaire PS à France Télévisions, c'est pour qui ?
Les socialistes vertueux sont chez eux dans les service public et comptaient squatter France Télévisions pendant plusieurs semaines avec la complicité du SNJ, mais aux frais de la princesse, les contribuables nantis, comme défaforisés !
L'UMP interpelle la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, puisque le CNCCFP ne s'est spontanément posé aucune question.... Le parti présidentiel voudrait donc savoir si les frais de mobilisation du service public et de retransmission à des heures de forte audience ne devaient pas être imputés au compte de la campagne de François Hollande.
Le parti présidentiel a formulé ses griefs dans un courrier au président de cette commission François Logerot.
" Je me permets de saisir la CNCCFP, afin de déterminer si, dans le cadre de cette primaire, les dépenses engagées par les chaînes de télévision et de radio doivent ou non être intégrées dans le compte de campagne du candidat socialiste", écrit le secrétaire national UMP en charge de la communication, Franck Riester.
" En effet, l'ensemble des moyens techniques et humains mis à la disposition du Parti socialiste par les chaînes de télévision et de radio, afin d'assurer sa promotion dans le cadre de ces primaires, semblent constituer un apport en nature qui a profité in fine au candidat investi par le PS ", ajoute F. Riester, également député UMP de Seine-et-Marne.
Réponse du berger UMP à la bergère PS
Le 30 novembre, deux socialistes inconscients, le mandataire de la campagne de François Hollande, Daniel Vaillant, et le président de la commission de contrôle financier du PS, Pascal Terrasse, avaient initié le débat et saisi la Commission nationale des comptes de campagne sur les frais de déplacement du président en exercice "qui relèvent d'actes de propagande", selon eux. Le PS
Socialistes amateurs d'assistanat
"C'est à se demander si ce subterfuge n'a pas été inventé pour masquer le coût de l'organisation des primaires socialistes", raille F. Riester. Il estime "qu'une seule émission spéciale de plateau de service public audiovisuel représente un coût de l'ordre de 150.000 à 250.000 euros".
Au total quatre débats télévisés ont été organisés pendant la primaire PS des 9 et 16 octobre derniers.
L'équité bénéficiera-t-elle au parti présidentiel ?
Les décisions du Conseil constitutionnel ou, en 2007, celles de la CNCCFP ont admis comme dépenses électorales remboursables, des dépenses réalisées avant la déclaration officielle ou l'investiture du candidat", rappelle le président du CNCCFP (depuis 2005), autorité administrative indépendante (1990).
Dans son courrier, M. Logerot, un ancien premier président de la Cour des comptes (2001-2004), rappelle que la Commission n'est pas apte "à apprécier les motifs, les objets et les modalités" des déplacements présidentiels, ni à juger "de l'utilisation des fonds publics mis à sa disposition"
Le parti présidentiel a formulé ses griefs dans un courrier au président de cette commission François Logerot.
" Je me permets de saisir la CNCCFP, afin de déterminer si, dans le cadre de cette primaire, les dépenses engagées par les chaînes de télévision et de radio doivent ou non être intégrées dans le compte de campagne du candidat socialiste", écrit le secrétaire national UMP en charge de la communication, Franck Riester.
" En effet, l'ensemble des moyens techniques et humains mis à la disposition du Parti socialiste par les chaînes de télévision et de radio, afin d'assurer sa promotion dans le cadre de ces primaires, semblent constituer un apport en nature qui a profité in fine au candidat investi par le PS ", ajoute F. Riester, également député UMP de Seine-et-Marne.
Réponse du berger UMP à la bergère PS
Le 30 novembre, deux socialistes inconscients, le mandataire de la campagne de François Hollande, Daniel Vaillant, et le président de la commission de contrôle financier du PS, Pascal Terrasse, avaient initié le débat et saisi la Commission nationale des comptes de campagne sur les frais de déplacement du président en exercice "qui relèvent d'actes de propagande", selon eux. Le PS
Socialistes amateurs d'assistanat
"C'est à se demander si ce subterfuge n'a pas été inventé pour masquer le coût de l'organisation des primaires socialistes", raille F. Riester. Il estime "qu'une seule émission spéciale de plateau de service public audiovisuel représente un coût de l'ordre de 150.000 à 250.000 euros".
Au total quatre débats télévisés ont été organisés pendant la primaire PS des 9 et 16 octobre derniers.
L'équité bénéficiera-t-elle au parti présidentiel ?
Les décisions du Conseil constitutionnel ou, en 2007, celles de la CNCCFP ont admis comme dépenses électorales remboursables, des dépenses réalisées avant la déclaration officielle ou l'investiture du candidat", rappelle le président du CNCCFP (depuis 2005), autorité administrative indépendante (1990).
Dans son courrier, M. Logerot, un ancien premier président de la Cour des comptes (2001-2004), rappelle que la Commission n'est pas apte "à apprécier les motifs, les objets et les modalités" des déplacements présidentiels, ni à juger "de l'utilisation des fonds publics mis à sa disposition"
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