La maire de Lille passe les armes à gauche
François Hollande est arrivé en tête du premier tour avec 39,2% des voix contre 30,4% pour Martine Aubry.
Martine Brochen-Aubry a encore agressé François Hollande
La Ch'tite de Lille avait déjà tenu des propos blessants en traitant de "gauche molle" l'ex-compagnon de Marie-sEGOlène Royal et en qualifiant de "floues" ses propositions.
Martine Brochen-Aubry a encore agressé François Hollande
La Ch'tite de Lille avait déjà tenu des propos blessants en traitant de "gauche molle" l'ex-compagnon de Marie-sEGOlène Royal et en qualifiant de "floues" ses propositions.
Lien PaSiDupes - Primaires socialistes: Aubry "abîme" Hollande
Elle a récidivé jeudi soir dans un entretien à 20 minutes.fr.
Le député de Corrèze a répliqué vendredi matin en assurant: " Moi, je ne participe pas à ce dénigrement".
Il a déploré cette "escalade", ce "dérapage" à propos des déclarations de , soulignant qu'il ne voulait pas "entretenir le feuilleton". Le finaliste de la primaire PS a estimé que "l'autorité" ce n'était "pas d'être agressif" en reprochant sur RMC/BFMTV à sa rivale Martine Aubry de croire qu'en "montrant de l'agressivité, on montre du caractère".
Il a fait valoir que "l'autorité" c'était "montrer qu'il y a un chemin, être capable de lever une espérance, et pas d'être agressif".
En se radicalisant, la Ch'tite Aubry se saborde
Brochen-Aubry a accusé François Hollande d'être un "candidat du système"
" Le système s'est créé son candidat et nous a matraqués de sondages ", affirme, dans un entretien publié par le quotidien 20 Minutes hier vendredi, l' "égorgeuse" arrivée deuxième.
Priée de préciser si elle parle bien du favori à la primaire socialiste pour l'élection présidentielle de 2012, elle a confirmé: " Bien sûr. Peut-être parce qu'il est plus facile à battre pour (Nicolas) Sarkozy."
Hollande stigmatise le dérapage de sa 'camarade' socialiste
Invité de France Inter vendredi matin, le candidat arrivé en tête du premier tour de la primaire lui a répondu par presse interposée "qu'il fallait arrêter cette escalade."
" Je crois que c'est un dérapage. Franchement, le système comme elle dit, c'est en définitive quoi? Les media ? Les sondages? L'arrivée en tête serait une faute ?", s'est-il interrogé.
Il dénonce la fuite en avant de son challenger
" Il faut revenir à la réalité, à la vérité. La force, ce n'est pas l'agressivité, c'est le rassemblement, la conviction ", a ajouté le champion de la "gauche molle". " Je ne suis pas dans une compétition interne, je suis mobilisé depuis des mois pour gagner."
Elle a récidivé jeudi soir dans un entretien à 20 minutes.fr.
Le député de Corrèze a répliqué vendredi matin en assurant: " Moi, je ne participe pas à ce dénigrement".
Il a déploré cette "escalade", ce "dérapage" à propos des déclarations de , soulignant qu'il ne voulait pas "entretenir le feuilleton". Le finaliste de la primaire PS a estimé que "l'autorité" ce n'était "pas d'être agressif" en reprochant sur RMC/BFMTV à sa rivale Martine Aubry de croire qu'en "montrant de l'agressivité, on montre du caractère".
Il a fait valoir que "l'autorité" c'était "montrer qu'il y a un chemin, être capable de lever une espérance, et pas d'être agressif".
En se radicalisant, la Ch'tite Aubry se saborde
Brochen-Aubry a accusé François Hollande d'être un "candidat du système"
" Le système s'est créé son candidat et nous a matraqués de sondages ", affirme, dans un entretien publié par le quotidien 20 Minutes hier vendredi, l' "égorgeuse" arrivée deuxième.
Priée de préciser si elle parle bien du favori à la primaire socialiste pour l'élection présidentielle de 2012, elle a confirmé: " Bien sûr. Peut-être parce qu'il est plus facile à battre pour (Nicolas) Sarkozy."
Hollande stigmatise le dérapage de sa 'camarade' socialiste
Invité de France Inter vendredi matin, le candidat arrivé en tête du premier tour de la primaire lui a répondu par presse interposée "qu'il fallait arrêter cette escalade."
" Je crois que c'est un dérapage. Franchement, le système comme elle dit, c'est en définitive quoi? Les media ? Les sondages? L'arrivée en tête serait une faute ?", s'est-il interrogé.
Il dénonce la fuite en avant de son challenger
" Il faut revenir à la réalité, à la vérité. La force, ce n'est pas l'agressivité, c'est le rassemblement, la conviction ", a ajouté le champion de la "gauche molle". " Je ne suis pas dans une compétition interne, je suis mobilisé depuis des mois pour gagner."
VOIR et ENTENDRE un témoignage du Petit journal de Yann Barthès (avril 2011) qui démontre que le mensonge est une seconde nature chez la Ch'tite Aubry qui finit toujours par croire à ses bobards:
La maire de Lille perd son sang froid
Tandis que Hollande fait la course en tête, son agresseur se désespère avec huit points de retard au terme du premier tour, sans compter les ralliements de Marie-sEGOlène Royal, son ex-compagne (7%), Manuel Valls (5%) et Baylet (1%), Martine Brochen-Aubry continue de polluer le débat en assurant qu'une "majorité des Français s'est portée sur les trois candidats qui portent le changement, Ségolène Royal, Arnaud Montebourg et moi".
Martine Brochen-Aubry prend ses désirs pour des réalités
La manipulation est grossière, car Nono Montebourg, qui n'est pas propriétaire des 17% qui se sont portés sur son nom, a déclaré qu'il ne recommande pas spécialement de voter pour elle et la présidente de la région Poitou-Charentes s'est clairement prononcée en faveur du père de ses enfants. Il a reçu de surcroît le soutien de M.-S. Royal, Manuel Valls et Jean-Michel Baylet.
" Les Français ont été libres dimanche dernier. Ils ont dit ce qu'ils pensaient clairement. Je pense qu'ils le feront encore dimanche prochain ", a-t-elle estimé.
La Ch'tite Aubry est un gros pollueur politique
Sous la houlette de Martine Broche-Aubry, le PS "abîme" le débat politique depuis 2008, " à force d'interprétations et de rumeurs, et aussi d'injures personnelles.
Lien PaSiDupes: un florilège des insultes de la gauche, où la Ch'tite Aubry prend sa part, elle qui prône pourtant la politique du "bien-être" (sic)
" C'était devant les Français qu'il fallait [critiquer]", a fait valoir François Hollande, qui reproche à la maire Aubry de se répandre en invectives sur tous les media.
Hollande ne veut pas se laisser pousser à la faute
Alors que l'amère de Lille se sait perdue et cherche à nuire, le député de Corrèze préserve ses chances à la présidentielle: "Ne comptez pas sur moi pour dénigrer. Je ne vais pas laisser passer l'occasion de 2012: il faut qu'il y ait un changement, crédible, sincère [...] Je ne vais pas laisser passer l'occasion et me laisser entraîner dans des petites polémiques pour laisser affaiblir" celui ou celle qui sera choisi dimanche pour porter les couleurs du PS à la présidentielle, a-t-il opposé, comme il était interrogé sur les attaques de sa 'camarade' Brochen-Aubry à son encontre.
Comme on lui demandait si en cas de victoire dimanche, il accepterait - bonne pâte - que Martine Aubry reprenne son poste de premier secrétaire du parti, François Hollande a répondu: "Oui. Moi, je suis pour rassembler, pas pour diviser. J'ai ce besoin-là que nous soyons tous ensemble ".
lol !
Sous la houlette de Martine Broche-Aubry, le PS "abîme" le débat politique depuis 2008, " à force d'interprétations et de rumeurs, et aussi d'injures personnelles.
Lien PaSiDupes: un florilège des insultes de la gauche, où la Ch'tite Aubry prend sa part, elle qui prône pourtant la politique du "bien-être" (sic)
" C'était devant les Français qu'il fallait [critiquer]", a fait valoir François Hollande, qui reproche à la maire Aubry de se répandre en invectives sur tous les media.
Hollande ne veut pas se laisser pousser à la faute
Alors que l'amère de Lille se sait perdue et cherche à nuire, le député de Corrèze préserve ses chances à la présidentielle: "Ne comptez pas sur moi pour dénigrer. Je ne vais pas laisser passer l'occasion de 2012: il faut qu'il y ait un changement, crédible, sincère [...] Je ne vais pas laisser passer l'occasion et me laisser entraîner dans des petites polémiques pour laisser affaiblir" celui ou celle qui sera choisi dimanche pour porter les couleurs du PS à la présidentielle, a-t-il opposé, comme il était interrogé sur les attaques de sa 'camarade' Brochen-Aubry à son encontre.
Comme on lui demandait si en cas de victoire dimanche, il accepterait - bonne pâte - que Martine Aubry reprenne son poste de premier secrétaire du parti, François Hollande a répondu: "Oui. Moi, je suis pour rassembler, pas pour diviser. J'ai ce besoin-là que nous soyons tous ensemble ".
lol !
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