Valls prend des coups de "l’accusateur public" Montebourg
Le "chevalier blanc" Montebourg est-il un malpropre ?
Ce candidat socialiste est l'un des "défauts" du PS
Le vertueux de la gauche obtuse est en effet l'auteur d'un coup bas contre son camp
Emoustillé par les sondages qui le présentent comme une menace pour Sa Cynique Majesté Royal au troisième rang, le député de Saône-et-Loire a déclaré dans un documentaire diffusé jeudi soir par France 2 que son rival à la primaire PS, Manuel Valls, n'a qu'"un pas à faire pour aller à l'UMP". " La modernité ne consiste pas à reprendre des propositions de l'UMP pour les mettre dans la primaire PS", avait ajouté le fielleux.
En retour, son 'camarade' socialiste a observé qu'il s'agit d' " une petite phrase bien malheureuse qui fait plus de mal à l'auteur qu'elle ne m'atteint ". Manuel Valls a en outre jugé vendredi soir que "ce genre de déclarations montre que lui n'a plus qu'un pas à franchir pour rejoindre le camp de la bêtise".
Il est des petites phrases assassines qui font plus de mal à leur auteur qu'à leur cible.
Montebourg "salit" tout ce qu'il touche
"La campagne a été digne, d'un très haut niveau et Arnaud a fait une campagne talentueuse. C'est dommage qu'il gâche ainsi la fin de la campagne ". "Ce n'est pas digne", a déploré Manuel Valls.
Le député de l'Essonne a fait remarquer qu'il s'était en revanche "abstenu de toute attaque personnelle." "Je n'ai pas de leçon à recevoir, de lui ni de personne". "Il a gâché sa fin de campagne mais il ne m'a pas gâché la mienne".
Valls ironise: " Avec Arnaud, en 2050, on sera peut-être encore là, mais peut-être pas en très bon état..."
Quelque 500 personnes assistaient ce soir au meeting de Manuel Valls à Evry.
Le 14 juillet 2006, après avoir lorgné vers Laurent Fabius, Montebourg annonça qu’il rejoignait le clan des « ségolinistes », et le trublion du PS disait de Désirdavenir Royal qui tenta de se rallier François Bayrou (MoDem): "Je crois que Ségolène Royal incarne une part de la rénovation que nous portons et qu'il est utile pour la victoire de nos idées, et celles de toute la gauche en 2007, de se préparer, dans le respect de ce qui nous tient à cœur, à travailler ensemble ".
Le 15 septembre 2011, selon les sondages, Arnaud Montebourg-le-gommeux était sur la même ligne que sa favorite de 2007 et s'était vanté
"Les Gaullistes ne m'ont pas encore adressé de compliments ", avait-il reconnu. Mais s'était dit en revanche assuré " d'avoir les soutiens possibles d'Hulot, de Mélenchon et de Chevènement."
Depuis, les trois ne sont plus très fiers de leur proximité avec le "Saint-Just de la gauche" qui n'est jamais un atout pour personne: nul n’est moins fédérateur que l’orateur le plus assassin du PS. " Non seulement, il chemine en permanence sur le sentier de la guerre, portant sur le visage les peintures les plus belliqueuses de notre parti, [...] mais il s’est fait une spécialité d’accabler quiconque n’est pas prêt à applaudir ses offensives souvent hasardeuses. A côté de lui, le jeune Chevènement iconoclaste des années 60 fait figure de trublion timide." (Jean-Jacques Urvoas, député PS du Finistère, le 26 juillet 2006)
Lien humour
Le "chevalier blanc" Montebourg est-il un malpropre ?
Ce candidat socialiste est l'un des "défauts" du PS
Le vertueux de la gauche obtuse est en effet l'auteur d'un coup bas contre son camp
Emoustillé par les sondages qui le présentent comme une menace pour Sa Cynique Majesté Royal au troisième rang, le député de Saône-et-Loire a déclaré dans un documentaire diffusé jeudi soir par France 2 que son rival à la primaire PS, Manuel Valls, n'a qu'"un pas à faire pour aller à l'UMP". " La modernité ne consiste pas à reprendre des propositions de l'UMP pour les mettre dans la primaire PS", avait ajouté le fielleux.
En retour, son 'camarade' socialiste a observé qu'il s'agit d' " une petite phrase bien malheureuse qui fait plus de mal à l'auteur qu'elle ne m'atteint ". Manuel Valls a en outre jugé vendredi soir que "ce genre de déclarations montre que lui n'a plus qu'un pas à franchir pour rejoindre le camp de la bêtise".
Il est des petites phrases assassines qui font plus de mal à leur auteur qu'à leur cible.
Montebourg "salit" tout ce qu'il touche
"La campagne a été digne, d'un très haut niveau et Arnaud a fait une campagne talentueuse. C'est dommage qu'il gâche ainsi la fin de la campagne ". "Ce n'est pas digne", a déploré Manuel Valls.
Le député de l'Essonne a fait remarquer qu'il s'était en revanche "abstenu de toute attaque personnelle." "Je n'ai pas de leçon à recevoir, de lui ni de personne". "Il a gâché sa fin de campagne mais il ne m'a pas gâché la mienne".
Valls ironise: " Avec Arnaud, en 2050, on sera peut-être encore là, mais peut-être pas en très bon état..."
Quelque 500 personnes assistaient ce soir au meeting de Manuel Valls à Evry.
Le 14 juillet 2006, après avoir lorgné vers Laurent Fabius, Montebourg annonça qu’il rejoignait le clan des « ségolinistes », et le trublion du PS disait de Désirdavenir Royal qui tenta de se rallier François Bayrou (MoDem): "Je crois que Ségolène Royal incarne une part de la rénovation que nous portons et qu'il est utile pour la victoire de nos idées, et celles de toute la gauche en 2007, de se préparer, dans le respect de ce qui nous tient à cœur, à travailler ensemble ".
Le 15 septembre 2011, selon les sondages, Arnaud Montebourg-le-gommeux était sur la même ligne que sa favorite de 2007 et s'était vanté
"Les Gaullistes ne m'ont pas encore adressé de compliments ", avait-il reconnu. Mais s'était dit en revanche assuré " d'avoir les soutiens possibles d'Hulot, de Mélenchon et de Chevènement."
Depuis, les trois ne sont plus très fiers de leur proximité avec le "Saint-Just de la gauche" qui n'est jamais un atout pour personne: nul n’est moins fédérateur que l’orateur le plus assassin du PS. " Non seulement, il chemine en permanence sur le sentier de la guerre, portant sur le visage les peintures les plus belliqueuses de notre parti, [...] mais il s’est fait une spécialité d’accabler quiconque n’est pas prêt à applaudir ses offensives souvent hasardeuses. A côté de lui, le jeune Chevènement iconoclaste des années 60 fait figure de trublion timide." (Jean-Jacques Urvoas, député PS du Finistère, le 26 juillet 2006)
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