L'insoumise du palais, Isabelle Prévost-Desprez est-elle une activiste syndicale ?
La juge qui raconte des histoires
est-elle en prise avec la réalité ?
Ou souffre-t-elle d'un
dédoublement de la personnalité ?
Le conflit personnel entre la magistrate et Philippe Courroye s'est transformé en guerre sans merci.
est-elle en prise avec la réalité ?
Ou souffre-t-elle d'un
dédoublement de la personnalité ?
Le conflit personnel entre la magistrate et Philippe Courroye s'est transformé en guerre sans merci.
Des comptes piratés de Sarkozy à l'affaire Bettencourt
"S'ils osent s'en prendre à elle, alors qu'est-ce qui nous attend !",se demande insinue un collègue d'Isabelle Prevost- Desprez, vice-présidente du tribunal de Nanterre. [citée pour son objectivité ?] Cette juge chevronnée, réputée pour son franc-parler, est en conflit avec Philippe Courroye. [Serait-ce un gage de la justesse des appréciations de la juge ?] L'affaire n'a pas fini de faire du bruit [commente le journaliste du Nouvel Observateur, déterminé à colporter de tous les bruits de couloirs du Palais]. Début décembre, le procureur a rédigé un rapport au vitriol [jugement subjectif d'un partisan] sur celle qui fut sa collègue au pôle financier. L'ex-complice est devenue sa Némésis. [cette allusion à la déesse grecque de la vengeance n'est-elle pas par trop flatteuse, en plus d'être ptétentieuse ?] Les deux magistrats ont été juges d'instruction, ils ont même enquêté ensemble sur l'Angolagate, au début des années 2000. Désormais, tout les sépare.
"L'affaire est grave"
Lui est membre du Parquet et proche de Nicolas Sarkozy (il a été nommé à Nanterre malgré l'avis [constitutionnellement consultatif, précisons-le à la place de l'honorable journaliste] défavorable du Conseil supérieur de la Magistrature). [Tout est dit et suffisant pour désigner le procureur à la vindicte du peuple de gauche, si le Nouvel Obs n'omettait pas encore d'ajouter que le CSM est l'organe paritaire et disciplinaire des magistrats du siège et du Parquet, lequel ne peut donc pas être aussi soumis qu'on le dit.]
Elle est magistrate du siège et estime que le président ne peut pas être traité comme n'importe quelle victime,en raison de malgré l'immunité [constitutionnelle] liée à sa fonction. Courroye est pressenti pour être le futur procureur de Paris [d'après la rumeur]. Elle risque d'être mutée sur un poste où elle ne gênera personne. {Où elle sera moins stressée et mieux à même d'approfondir sa réflexion] Pour ses détracteurs, Philippe Courroye est au service des puissants. Isabelle Prévost-Desprez, elle, ne les ménage pas , la syndicaliste de l'USM mène une chasse aux sorcières. Ceux qui ont défilé dans son bureau dénoncent son acharnement [C'est le Nouvel Obs qui le dit...mais se garde d'indiquer que ses proies sont toutes de la même tendance: dans l'affaire des ventes d'armes à l'Angola, Charles Pasqua est relaxé le 29 avril 2011 par la Cour d'Appel de Paris, comme Jacques Attali le 27 octobre 2009 par le tribunal correctionnel de Paris, " au bénéfice du doute " pour ' recel d'abus de biens sociaux et trafic d'influence', mais seul Jean-Christophe Mitterrand - fils du président socialiste - est condamné en 2009 à deux ans de prison avec sursis et 375 000 euros d'amende pour recel d'abus de biens sociaux].
Nombre d'avocats détestent la juge Prévost-Desprez, l'un d'entre eux lui a même promis un jour de lui "faire perdre son sourire". La juge a toujours dérangé, mais cette fois "l'affaire est grave, assure un magistrat [anonyme, voire imaginaire, mais à coup sûr partisan] de Nanterre. Parce qu'elle oppose une juge symbole d'indépendance [son indépendante de l'USM n'est pas démontrée] à un procureur emblème de courtisanerie [ce qui reste à prouver], et ce dans le tribunal où défilent les affaires des Hauts-de-Seine, fief de la Sarkozie" [selon les sympathisants socialistes, puisque 3 circonscriptions y sont détenues par le PCF mais où les absents des législatives sont le FN et le PS.]
La justice refuse de protéger la personne privée du Chef de l'Etat
C'est le jugement d'une affaire de piratage bancaire dont [le citoyen] Nicolas Sarkozy est victime qui a envenimé les rapports et mis le feu aux poudres.
"S'ils osent s'en prendre à elle, alors qu'est-ce qui nous attend !",
"L'affaire est grave"
Lui est membre du Parquet et proche de Nicolas Sarkozy (il a été nommé à Nanterre malgré l'avis [constitutionnellement consultatif, précisons-le à la place de l'honorable journaliste] défavorable du Conseil supérieur de la Magistrature). [Tout est dit et suffisant pour désigner le procureur à la vindicte du peuple de gauche, si le Nouvel Obs n'omettait pas encore d'ajouter que le CSM est l'organe paritaire et disciplinaire des magistrats du siège et du Parquet, lequel ne peut donc pas être aussi soumis qu'on le dit.]
Elle est magistrate du siège et estime que le président ne peut pas être traité comme n'importe quelle victime,
Nombre d'avocats détestent la juge Prévost-Desprez, l'un d'entre eux lui a même promis un jour de lui "faire perdre son sourire". La juge a toujours dérangé, mais cette fois "l'affaire est grave, assure un magistrat [anonyme, voire imaginaire, mais à coup sûr partisan] de Nanterre. Parce qu'elle oppose une juge symbole d'indépendance [son indépendante de l'USM n'est pas démontrée] à un procureur emblème de courtisanerie [ce qui reste à prouver], et ce dans le tribunal où défilent les affaires des Hauts-de-Seine, fief de la Sarkozie" [selon les sympathisants socialistes, puisque 3 circonscriptions y sont détenues par le PCF mais où les absents des législatives sont le FN et le PS.]
La justice refuse de protéger la personne privée du Chef de l'Etat
C'est le jugement d'une affaire de piratage bancaire dont [le citoyen] Nicolas Sarkozy est victime qui a envenimé les rapports et mis le feu aux poudres.
[Dans la sphère privée] le président de la République est un justiciable comme les autres[ce que contestent les sectaires]. L'appel est attendu le 8 janvier. En détournant la base de données des abonnés de Canal+, des escrocs avaient débité une quarantaine de comptes de la Société générale en septembre 2008. Parmi les victimes,Nicolas Sarkozy [en tant que personne privée], spolié de 176 euros. En juillet dernier, alors qu'elle présidait la 15e chambre de Nanterre, Isabelle Prévost-Desprez a estimé que le statut du chef de l'Etat constituait une "atteinte à l'égalité des armes".
Tout en jugeant recevable la constitution de partie civile du président de la République, le tribunal a décidé de "surseoir à statuer" sur les dommages et intérêts. Sept des huit inculpés ont été condamnés pour trafic en bande organisée mais,c'est [toujours la même juge impartiale Isabelle Prévost-Desprez] qui décida que Nicolas Sarkozy ne serait indemnisé qu'à l'issue de son (ou ses) mandat(s). Un raisonnement juridique "tout sauf absurde", pour Christophe Régnard, président de l'Union syndicale des Magistrats [USM]... Une décision "extravagante" pour l'avocat du président, Thierry Herzog.
La presse des ragots
"Courroye était fou furieux",raconte commente [librement] UN juge de Nanterre. [encore anonyme, inconnu et sans papiers ?]
Isabelle Prévost-Desprezconfie raconte à son entourage [sans plus de précision: sa greffière, son épicière ou sa concierge ?] que le procureur a exigé [selon le journaliste], en vain, qu'elle lui communique le jugement plusieurs jours avant l'audience, prétextant : "C'est attendu en haut lieu (1)." [Ce qui, par les temps qui cours, n'empêche pas les fuites "citoyennes", comme chacun sait !] A l'époque, les accusés, d'origine africaine, avaient déjà passé plusieurs mois en détention provisoire. Pour Isabelle Prévost-Desprez, l'escroquerie mérite d'être punie mais ce n'est pas l'affaire du siècle. [La justice de classe, ça existe bel et bien, donc, et, sur BFMTV, lors du 3e débat des primaires socialistes hier, Montebourg a confirmé que la justice est plus à gauche que le socialiste Valls !] Surtout, elle pense que ce serait une aberration juridique de ne pas soulever le statut du chef de l'Etat.[Une ingérence dans le dommaine politique et constitutionnel]
Elle [La juge, qui va au clash] sait que Philippe Courroye ne lui pardonnera pas. [Puisque la procédure existe et que le procureur veille à son respect] En froid avec lui depuis l'Angolagate [comme avec d'autres juges intègres], elle [la rebelle] lui reproche en privé de rouler pour le pouvoir [comme elle roule pour son syndicat], d'étouffer les affaires [alors qu'elle les envenime] et de bouter tous les insoumis hors de Nanterre [tandis qu'elle les attire]. "Désormais, il va vouloir ma peau", dit-elle à ses proches [qui gardent l'anonymat, à moins qu'il ne s'agisse que d'une pure invention de journaliste-romancier].
Ses relations avec le procureur ne cesseront de s'envenimer. Il ne la convoque même pas pour s'expliquer oralement, avant d'adresser le 7 janvier un rapport à la présidente du tribunal. Il y dénonce les "manquements graves" de sa subordonnée.
Tout en jugeant recevable la constitution de partie civile du président de la République, le tribunal a décidé de "surseoir à statuer" sur les dommages et intérêts. Sept des huit inculpés ont été condamnés pour trafic en bande organisée mais,c'est [toujours la même juge impartiale Isabelle Prévost-Desprez] qui décida que Nicolas Sarkozy ne serait indemnisé qu'à l'issue de son (ou ses) mandat(s). Un raisonnement juridique "tout sauf absurde", pour Christophe Régnard, président de l'Union syndicale des Magistrats [USM]... Une décision "extravagante" pour l'avocat du président, Thierry Herzog.
La presse des ragots
"Courroye était fou furieux",
Isabelle Prévost-Desprez
Elle [La juge, qui va au clash] sait que Philippe Courroye ne lui pardonnera pas. [Puisque la procédure existe et que le procureur veille à son respect] En froid avec lui depuis l'Angolagate [comme avec d'autres juges intègres], elle [la rebelle] lui reproche en privé de rouler pour le pouvoir [comme elle roule pour son syndicat], d'étouffer les affaires [alors qu'elle les envenime] et de bouter tous les insoumis hors de Nanterre [tandis qu'elle les attire]. "Désormais, il va vouloir ma peau", dit-elle à ses proches [qui gardent l'anonymat, à moins qu'il ne s'agisse que d'une pure invention de journaliste-romancier].
Ses relations avec le procureur ne cesseront de s'envenimer. Il ne la convoque même pas pour s'expliquer oralement, avant d'adresser le 7 janvier un rapport à la présidente du tribunal. Il y dénonce les "manquements graves" de sa subordonnée.
[En fait, la juge Isabelle Prévost-Desprez a été convoquée le vendredi 30 septembre par le premier président de la Cour d'Appel de Versailles, Alain Nuée. Ce dernier pourrait engager des poursuites disciplinaires à son encontre après ses dénonciations calomnieuses à l'encontre de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Bettencourt et à la charge virulente qu'elle porte dans un livre par deux journaliste du Monde, à l'encontre du Parquet de Nanterre dirigé par Philippe Courroye.
Un juge n'est pas un justicier
Le jargon est technique mais le message clair : Isabelle Prévost-Desprez doit rentrer dans le rang, cesser sesimpertinences provocations et rendre une justice sereine.] Il fait référence à deux dossiers sensibles passés entre ses mains : Liliane Bettencourt et le trafic d'influence à la mairie d'Asnières. Le juge de Versailles s' offusque indigne de propos "subjectifs et malveillants" à l'audience, notamment à l'encontre d'Isabelle Balkany ou de Nicolas Sarkozy. Bref, de faire des commentaires.
[Le journaliste mobilise les juges]
De quoi faire tomber à la renverse tous les juges de France, qui ne s'en privent pas dans les prétoires [un abus de pouvoir, une dérive de la notion dévoyée d'indépendance de la magistrature]. La loi les y autorise. Enfin, pour l'instant.[selon le journaliste, - certes responsable de la télé de l'Obs - , ce qui est faux, car s'ils ont une latitude certaine dans l'interprétation de la loi (dont ils ne se privent pas), celle-ci n'autorise ni subjectivité, ni arbitraire, ni acharnement partisan. L'ignorant insinue et sombre dans la désinformation]. La réforme de la justice en gestation chère au chef de l'Etat suggère propose aux élus du peuple de transformer les présidents de cour en simples arbitres de les rappeler à l'exprit du texte des lois votées par le Parlement et de réduire les errances des interprétations ici et là en France.] Bon élève [jugement désobligeant et injuste], Philippe Courroye semble l'avoir déjà intégré. L'USM, [qui se déclare apolitique,] est immédiatement montée au créneau. L'inspection interne enclenchée le 15 décembre tourne court.
"Ca aurait pu mal tourner" [Bien que non élus, certains juges en prennent à leur aise]
Convoquée par sa supérieure hiérarchique, la juge contre-attaque
Rejetant toute faute, elle promet de défendre son honneur [sic !] jusqu'au bout. Pour le président de la Cour d'Appel de Versailles, désormais "l'affaire est close". Mais elle laissera des traces. "C'est un avertissement envoyé aux magistrats indépendants.[Indépendants ne signifie pas abandonnés à leur fantaisie] Un message très négatif (selon le journaliste militant]. S'il n'y avait pas eu de levée de boucliers, ça aurait pu mal tourner",estime le juge antiterroriste Marc Trévidic [auquel on ne demande rien, mais qui se mêle de tout:
lien PaSiDupes: pour en savoir un peu plus sur ce juge ].
"La mise au pas continue. [Une chasse aux sorcières,]dit polémique un autre magistrat instructeur [toujours plus anonyme que les autres]. Il n'y a déjà plus d'affaires politico-financières. [Il ne lit pas la presse et vit dans sa bulle ?] Désormais, on s'attaque à l'impertinence au parti-pris des juges en instaurant un délit d'opinion [qui entâche les jugements de partialité], voire un crime de lèse-majesté [des juges politiques]. Prévost-Desprez incarne la résistance au lobbying [, le refus de la justice à deux vitesses."
=> Dans l'interférence de la presse proposée à la juge par les journalistes du "Monde", Stéphane Arteta y voit une " thérapie" ou de l'"exorcisme" ! Souffre-t-elle d'un mal profond ? ] "Elle vide son sac. Trop. Elle commet une erreur. Lorsque la polémique éclate, elle confie à un proche : "Je n'aurais pas dû parler de ma greffe. [Faire parler une subalterne, l'impliquer et lui imputer des mensonges n'est pas une erreur, mais une faute]. Je ne regrette pas d'avoir évoqué Sarkozy [la déontologie permettrait-elle de salir ses ennemis politiques ?], mais ma greffière, ça oui ! J'ai les épaules solides et mon statut me protège. Pour les personnes plus vulnérables, ces affaires sont des tornades." [L'USM est-elle dans son rôle en défendant l'indéfendable ? Le CSM doit émettre un avis au plus vite]
[Un statut qui permet tous les excès et toutes les blessures est-il un statut légitime ?]
L'idéal plus fort que la crainte ?
[De quoi se plaint donc l'héroïne des milieux subversifs ?]
[Le journaliste tient partout la chandelle, mais n'évoque jamais aucun témoin dont l'identité serait inavouable...] A UN ami, celle-ci dit refuser la "burqa virtuelle" dorénavant imposée aux juges. [Comparaison hasardeuse qui en dit long sur les orientations et obsessions idéologiques de la juge !] "Beaucoup exécutent et se taisent, par peur. A Nanterre, le nom de Sarkozy est comme celui de Voldemort dans 'Harry Potter' : celui qu'il ne faut pas prononcer. Les magistrats n'osent plus résister au pouvoir. Il ne faut jamais céder aux pressions, sinon on est foutus." [Nous sommes désormais en plein délire]
La juge souffre-t-elle de troubles de la personnalité ?
Se prendrait-elle pour la juge et héroïne Julie Cruze ?
De pressions, la schizophrène en fait depuis longtemps une obsession et tout un roman dans "l'Affaire Coobra" et "le Secret d'Arcadia", des polars qu'elle a cosignés avec l'écrivain Thierry Colombié. "Ces fictions sont nourries de son expérience, avoue-t-il. L'héroïne est juge - ce n'est pas elle, mais elle est confrontée à ce qu'elle a connu : la ruse des délinquants en col blanc, la puissance de leurs réseaux, les menaces, les coups tordus... " Un cas pathologique avant d'être litéraire.
VOIR et ENTENDRE son entretien de décembre 2009 avec Serge Raffy, rédacteur en chef du ...Nouvel Observateur, une collaboration ancienne et suivie:
Un bourrin qualifié de "bulldozer"
Celle qui a découvert sa vocation au cinéma en voyant Simone Signoret dans "Madame le Juge" est réputée pour son caractère de fer.
Le bulldozer serait-il parano ?
"Elle sait que ce brouhaha vise à la discréditer, confirme un membre [sans visage] de l'USM. On peut craindre que cette histoire ne soit utilisée pour invoquer la suspicion en nullité sur les affaires qu'elle a jugées, et donc les torpiller. Si on ne se bat pas, on se souviendra peut-être d'elle comme de l'une des dernières magistrates indépendantes." [Elle aurait clairement le souci de laisser une trace ! Peu importe l'ornière ...]
Stéphane Arteta - Le Nouvel Observateur
(1) Le procureur Philippe Courroye n'a pas donné suite à notre demande d'entretien. [la presse sera-t-elle bientôt habilitée à convoquer qui bon lui semble ?]
[A noter dans l'affaire Bettencourt, la crédibilité de la juge a été gravement mise à mal par l'ex-infirmière et l'ex-comptable qui ne confirment pas les allégations de la juge: elles les démentent !...]
D'après l'article de Stéphane Arteta paru le 7 janvier 2010.
Ce rédacteur en chef adjoint au Nouvel Observateur suit l'affaire Bettencourt dans son aspect mise en cause Nicolas Sarkozy.
Quiconque ne serait pas convaincu du parti-pris politique de ce journaliste engagé notera que son point de vue est constamment biaisé. Ainsi, quand, informé comme un intime, il écrit encore:
" Prévost-Desprez, qui a signé récemment le livre "Une juge à abattre", s'attend aux pires coups bas. Elle le sait. "On veut me faire passer pour une hystérique, on évoque mes amants, on m'en invente, a-t-elle déploré auprès d'une collègue. On utilise ma vie privée pour me discréditer : les affaires de mon ex-mari, la santé fragile de l'un de mes trois enfants pour dire que je suis sur les nerfs. Ca ne me fera pas renoncer." On dit que le procureur de Paris, Jean-Claude Marin [procureur général près la Cour de Cassation depuis juillet 2011], la protège. Il l'apprécie et redouterait l'effet dévastateur d'une mise à l'écart. La juge pourrait balancer de plus belle."
Ce haut magistrat a aussi bien relaxé Villepin et requis un non-lieu général au bénéfice de Jacques Chirac dans le dossier des emplois fictifs de la mairie de Paris qu'il a abandonné les poursuites contre Julien Dray (PS) pour abus de confiance à la suite d’un signalement portant sur des mouvements de fonds suspects à partir de comptes de l’association « Les Parrains de SOS Racisme » et de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) depuis janvier 2006 (Stéphane Arteta - Le Nouvel Observateur: lien)
Intimidation de la juge ? Chantage de la presse ?
Un juge n'est pas un justicier
Le jargon est technique mais le message clair : Isabelle Prévost-Desprez doit rentrer dans le rang, cesser ses
[Le journaliste mobilise les juges]
De quoi faire tomber à la renverse tous les juges de France, qui ne s'en privent pas dans les prétoires [un abus de pouvoir, une dérive de la notion dévoyée d'indépendance de la magistrature]. La loi les y autorise. Enfin, pour l'instant.[selon le journaliste, - certes responsable de la télé de l'Obs - , ce qui est faux, car s'ils ont une latitude certaine dans l'interprétation de la loi (dont ils ne se privent pas), celle-ci n'autorise ni subjectivité, ni arbitraire, ni acharnement partisan. L'ignorant insinue et sombre dans la désinformation]. La réforme de la justice en gestation chère au chef de l'Etat
"Ca aurait pu mal tourner" [Bien que non élus, certains juges en prennent à leur aise]
Convoquée par sa supérieure hiérarchique, la juge contre-attaque
Rejetant toute faute, elle promet de défendre son honneur [sic !] jusqu'au bout. Pour le président de la Cour d'Appel de Versailles, désormais "l'affaire est close". Mais elle laissera des traces. "C'est un avertissement envoyé aux magistrats indépendants.[Indépendants ne signifie pas abandonnés à leur fantaisie] Un message très négatif (selon le journaliste militant]. S'il n'y avait pas eu de levée de boucliers, ça aurait pu mal tourner",
lien PaSiDupes: pour en savoir un peu plus sur ce juge ].
"La mise au pas continue. [Une chasse aux sorcières,]
=> Dans l'interférence de la presse proposée à la juge par les journalistes du "Monde", Stéphane Arteta y voit une " thérapie" ou de l'"exorcisme" ! Souffre-t-elle d'un mal profond ? ] "Elle vide son sac. Trop. Elle commet une erreur. Lorsque la polémique éclate, elle confie à un proche : "Je n'aurais pas dû parler de ma greffe. [Faire parler une subalterne, l'impliquer et lui imputer des mensonges n'est pas une erreur, mais une faute]. Je ne regrette pas d'avoir évoqué Sarkozy [la déontologie permettrait-elle de salir ses ennemis politiques ?], mais ma greffière, ça oui ! J'ai les épaules solides et mon statut me protège. Pour les personnes plus vulnérables, ces affaires sont des tornades." [L'USM est-elle dans son rôle en défendant l'indéfendable ? Le CSM doit émettre un avis au plus vite]
[Un statut qui permet tous les excès et toutes les blessures est-il un statut légitime ?]
L'idéal plus fort que la crainte ?
[De quoi se plaint donc l'héroïne des milieux subversifs ?]
[Le journaliste tient partout la chandelle, mais n'évoque jamais aucun témoin dont l'identité serait inavouable...] A UN ami, celle-ci dit refuser la "burqa virtuelle" dorénavant imposée aux juges. [Comparaison hasardeuse qui en dit long sur les orientations et obsessions idéologiques de la juge !] "Beaucoup exécutent et se taisent, par peur. A Nanterre, le nom de Sarkozy est comme celui de Voldemort dans 'Harry Potter' : celui qu'il ne faut pas prononcer. Les magistrats n'osent plus résister au pouvoir. Il ne faut jamais céder aux pressions, sinon on est foutus." [Nous sommes désormais en plein délire]
La juge souffre-t-elle de troubles de la personnalité ?
Se prendrait-elle pour la juge et héroïne Julie Cruze ?
De pressions, la schizophrène en fait depuis longtemps une obsession et tout un roman dans "l'Affaire Coobra" et "le Secret d'Arcadia", des polars qu'elle a cosignés avec l'écrivain Thierry Colombié. "Ces fictions sont nourries de son expérience, avoue-t-il. L'héroïne est juge - ce n'est pas elle, mais elle est confrontée à ce qu'elle a connu : la ruse des délinquants en col blanc, la puissance de leurs réseaux, les menaces, les coups tordus... " Un cas pathologique avant d'être litéraire.
VOIR et ENTENDRE son entretien de décembre 2009 avec Serge Raffy, rédacteur en chef du ...Nouvel Observateur, une collaboration ancienne et suivie:
Un bourrin qualifié de "bulldozer"
Celle qui a découvert sa vocation au cinéma en voyant Simone Signoret dans "Madame le Juge" est réputée pour son caractère de fer.
Le bulldozer serait-il parano ?
"Elle sait que ce brouhaha vise à la discréditer, confirme un membre [sans visage] de l'USM. On peut craindre que cette histoire ne soit utilisée pour invoquer la suspicion en nullité sur les affaires qu'elle a jugées, et donc les torpiller. Si on ne se bat pas, on se souviendra peut-être d'elle comme de l'une des dernières magistrates indépendantes." [Elle aurait clairement le souci de laisser une trace ! Peu importe l'ornière ...]
Stéphane Arteta - Le Nouvel Observateur
(1) Le procureur Philippe Courroye n'a pas donné suite à notre demande d'entretien. [la presse sera-t-elle bientôt habilitée à convoquer qui bon lui semble ?]
[A noter dans l'affaire Bettencourt, la crédibilité de la juge a été gravement mise à mal par l'ex-infirmière et l'ex-comptable qui ne confirment pas les allégations de la juge: elles les démentent !...]
D'après l'article de Stéphane Arteta paru le 7 janvier 2010.
Ce rédacteur en chef adjoint au Nouvel Observateur suit l'affaire Bettencourt dans son aspect mise en cause Nicolas Sarkozy.
Quiconque ne serait pas convaincu du parti-pris politique de ce journaliste engagé notera que son point de vue est constamment biaisé. Ainsi, quand, informé comme un intime, il écrit encore:
" Prévost-Desprez, qui a signé récemment le livre "Une juge à abattre", s'attend aux pires coups bas. Elle le sait. "On veut me faire passer pour une hystérique, on évoque mes amants, on m'en invente, a-t-elle déploré auprès d'une collègue. On utilise ma vie privée pour me discréditer : les affaires de mon ex-mari, la santé fragile de l'un de mes trois enfants pour dire que je suis sur les nerfs. Ca ne me fera pas renoncer." On dit que le procureur de Paris, Jean-Claude Marin [procureur général près la Cour de Cassation depuis juillet 2011], la protège. Il l'apprécie et redouterait l'effet dévastateur d'une mise à l'écart. La juge pourrait balancer de plus belle."
Ce haut magistrat a aussi bien relaxé Villepin et requis un non-lieu général au bénéfice de Jacques Chirac dans le dossier des emplois fictifs de la mairie de Paris qu'il a abandonné les poursuites contre Julien Dray (PS) pour abus de confiance à la suite d’un signalement portant sur des mouvements de fonds suspects à partir de comptes de l’association « Les Parrains de SOS Racisme » et de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) depuis janvier 2006 (Stéphane Arteta - Le Nouvel Observateur: lien)
Intimidation de la juge ? Chantage de la presse ?
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