Ben Ali renversé, les islamistes s'en prennent au pouvoir issu de la révolution
Ils veulent confisquer le pouvoir légitime
Un rassemblement d'islamistes provoque des tirs des gaz lacrymogènes par la police tunisienne
Certains fondamentalistes tentaient en effet de marcher sur les bureaux du Premier ministre dans le centre de Tunis vendredi.
Les manifestants, qui scandaient "Allahou Akbar" et réclamaient l'instauration de la charia (loi islamique) en Tunisie, ont répliqué aux gaz lacrymogènes en lançant des pierres sur les forces de police.
Les fanatiques religieux menacent les élections démocratiques
Les Tunisiens sont appelés aux urnes le 23 octobre pour élire une Assemblée constituante, scrutin qui risque d'être relégué au second plan par les tensions grandissantes entre les islamistes et le camp laïc.
Il s'agira des premières élections depuis la chute du président Zine Ben Ali en janvier dernier, premier acte du "printemps arabe".
La manifestation de vendredi, la plus importante du camp islamiste à ce jour dans la capitale
Elle a réuni plus de 10.000 personnes et avait pourtant commencé dans le calme. Lorsque la foule des manifestants s'est dirigée vers la Casbah, où se trouvent les bureaux du Premier ministre, Beji Caïd Sebsi, certains groupes ont tenté de forcer les barrages de police.
La police anti-émeutes a fait usage de gaz lacrymogènes et de matraques pour tenter de disperser la foule. Les islamistes ont répliqué en caillassant les policiers et au bout d'une demi-heure, la plus grande partie de la foule s'est dispersée. Il n'est plus resté sur place que quelques centaines de jeunes gens, qui ont continué de bombarder de pierres les policiers.
Des témoins rapportent que d'autres manifestations d'islamistes ont eu lieu en trois autres points de la capitale, rassemblant chacune plusieurs milliers de participants.
Ainsi, un groupe sur le boulevard Mohamed V, au nord du centre, a tenté d'atteindre le siège d'une chaîne de télévision qui a mis en fureur les ultra-religieux parce qu'elle avait diffusé le film d'animation "Persépolis", dans lequel Allah est incarné, ce qui est contraire aux préceptes de l'islam qui interdisent sa représentation.
La semaine dernière, déjà, des heurts s'étaient produits entre des islamistes et les forces de police dans un faubourg de Tunis, à la suite de la diffusion de "Persépolis": dimanche, 200 salafistes ont tenté d'attaquer le siège de la télévision privée Nessma à Tunis après la diffusion du film vendredi soir.
Marianne 2 parle, mais un peu tard, de "vent islamiste sur le printemps arabe" ...Ils veulent confisquer le pouvoir légitime
Un rassemblement d'islamistes provoque des tirs des gaz lacrymogènes par la police tunisienne
Certains fondamentalistes tentaient en effet de marcher sur les bureaux du Premier ministre dans le centre de Tunis vendredi.
Les manifestants, qui scandaient "Allahou Akbar" et réclamaient l'instauration de la charia (loi islamique) en Tunisie, ont répliqué aux gaz lacrymogènes en lançant des pierres sur les forces de police.
Les fanatiques religieux menacent les élections démocratiques
Les Tunisiens sont appelés aux urnes le 23 octobre pour élire une Assemblée constituante, scrutin qui risque d'être relégué au second plan par les tensions grandissantes entre les islamistes et le camp laïc.
Il s'agira des premières élections depuis la chute du président Zine Ben Ali en janvier dernier, premier acte du "printemps arabe".
La manifestation de vendredi, la plus importante du camp islamiste à ce jour dans la capitale
Elle a réuni plus de 10.000 personnes et avait pourtant commencé dans le calme. Lorsque la foule des manifestants s'est dirigée vers la Casbah, où se trouvent les bureaux du Premier ministre, Beji Caïd Sebsi, certains groupes ont tenté de forcer les barrages de police.
La police anti-émeutes a fait usage de gaz lacrymogènes et de matraques pour tenter de disperser la foule. Les islamistes ont répliqué en caillassant les policiers et au bout d'une demi-heure, la plus grande partie de la foule s'est dispersée. Il n'est plus resté sur place que quelques centaines de jeunes gens, qui ont continué de bombarder de pierres les policiers.
Des témoins rapportent que d'autres manifestations d'islamistes ont eu lieu en trois autres points de la capitale, rassemblant chacune plusieurs milliers de participants.
Ainsi, un groupe sur le boulevard Mohamed V, au nord du centre, a tenté d'atteindre le siège d'une chaîne de télévision qui a mis en fureur les ultra-religieux parce qu'elle avait diffusé le film d'animation "Persépolis", dans lequel Allah est incarné, ce qui est contraire aux préceptes de l'islam qui interdisent sa représentation.
La semaine dernière, déjà, des heurts s'étaient produits entre des islamistes et les forces de police dans un faubourg de Tunis, à la suite de la diffusion de "Persépolis": dimanche, 200 salafistes ont tenté d'attaquer le siège de la télévision privée Nessma à Tunis après la diffusion du film vendredi soir.
Les idiots utiles ont bien réussi leur coup, au niveau national mais également mondial.............
RépondreSupprimerla stigmatisation à tous propos,
les prieres dans les rues ne genent personne,
la coupe du monde de foot au qatar,
les constructions de mosquées financées de façon déguisée par les fonds publics,
nous faire bouffer hallal, insister sur le joueur de foot qui prie avant d'entrer sur le terrain,
nous bourrer le crâne toute la journée avec la religion de paix d'amour et de toléréance,
un premier ministre français qui inaugure une mosquée a Artenteuil avec des petites filles portant le foulard à côté de lui,
la discrimination positive dont on constate l'avancée,
des classes ou 99.9% des éléves qui sont musulmans,
Le mépris total de nos valeurs au profit d'autres
et décerner un prix nobel de la paix à une enturbannée de 30 ans etc etc etc......
Voilà comment le printemps ou tout le monde s'est engouffré c'est en réalité l'enfer et ça ne fait que commencer. Mais le silence des révolutionnaires en costard et autres idiots utiles est assourdissant. Mis à part donner des millions d'euros dans une passoire pour financer la démocratie.......
Mes propos ne sont pas contre une religion, celle ci ou une autre, mais la religion est du domaine privé et doit le rester.
Et pendant ce temps nos petits gars sont dans la vallée de la Capisa alors que la guerre menace l'Europe qui elle même encourrage la venue des non europeens.......n'est ce pas Mr Barroso.
On voit déjà ce qui se passe en France lors d'un match de foot ou le Maroc ou l'Algerie jouent..........Nous sommes déjà depassé par l'ampleur et les conséquences que personne n'admet, enfin ceux qui sont aux commandes, au niveau communal jusqu'aux plus hautes instances qui décident de notre vie.