Brochen-Aubry fait fuir les 3 candidats des primaires chez Hollande
François-le-mou recueille tous les battus du premier tour
Hollande, sorti en tête du premier tour de la primaire avec 39,2% des voix, bénéficie des ralliements de Jean-Michel Baylet (0,6%), Manuel Valls (5,6%) et Ségolène Royal (6,9%).
François-le-mou recueille tous les battus du premier tour
Hollande, sorti en tête du premier tour de la primaire avec 39,2% des voix, bénéficie des ralliements de Jean-Michel Baylet (0,6%), Manuel Valls (5,6%) et Ségolène Royal (6,9%).
En soutenant François Hollande, Désirdavenir Royal - barrée dèsla primaire socialiste - déclare aujourdh'ui souhaiter amplifier l'avance que le favori a prise au premier tour. François Hollande n'a pas manqué de saluer l'élégance et la responsabilité de la présidente de la région Poitou-Charentes, son ex-compagne.
VOIR et ENTENDRE les prises de positions des ségolénistes éconduits:
N'est-ce pas pourtant la coquecigrue du marais poitevin qui avait lancé: " Le point faible de François Hollande, c’est l’inaction " ? A propos du père de ses enfants, son ex-compagnon de 20 ans, elle avait demandé: " Est-ce que les Français peuvent citer une seule chose qu’il aurait réalisée en trente ans de viecommune politique ? Une seule ? " C'est donc ce que l'amère Royal a de mieux à offrir à la France dans un monde en crise...
Seule contre tous, la Ch'tite Brochen-Aubry estime que "ce n'est pas plié", bien qu'elle n'ait totalisé que 30,4% des suffrages au premier tour, dimanche dernier.
Montebourg tarde à prendre ses responsabilités
Surpris par cet afflux de voix par défaut qui font de lui l'arbitre du second tour par rejet des trois autres socialistes, Arnaud Montebourg se fait désirer. Les duellistes Aubry et Hollande convoitent surtout les 17,2% dont il n'est pourtant pas propriétaire et attendent la décision du "troisième homme". Le député de Saône-et-Loire conditionnait son choix - ou non-choix - au débat de mercredi soir et aux réponses des deux candidats à sa lettre ouverte sur la démondialisation.
Libération sombre dans l'intox
Un article paru mercredi soir sur le site internet de Libération prête à Arnaud Montebourg l'intention de soutenir François Hollande, mais "à titre personnel".
Le gommeux de Saône-et-Loire a d'ailleurs démenti sur Twitter : " Je suis surpris qu'on me prête une décision de soutien à l'un ou l'autre des candidats, que je n'ai pas prise ".
Les finalistes se livrent à toutes les contorsions
François Hollande et Martine Aubry se ont empressés de répondre à la lettre d'Arnaud Montebourg, qui leur impose de prendre en compte ses thèmes de campagne : mise sous tutelle des banques, lutte contre la corruption, VIe République.
Dans sa réponse, diffusée jeudi par son service de presse, la maire de Lilleaffirme que ses convergences "ne sont pas de façade ou de circonstance" avec Arnaud Montebourg.
"Tu peux compter sur moi et j'espère pouvoir compter sur toi", écrit-elle.
Peut-elle compter sur Christiane Taubira, qui faisait équipe avec Nono Montebourg, bien qu'elle soit Radicale de gauche (PRG), comme Jean-Michel Baylet ?
François Hollande n'a pas encore vendu son âme
Alors que Martine récupère Montebourg en lui souhaitant la bienvenue dans ses rangs, mais aussi en explicitant la "vraie" pensée du "troisième homme": " Quand il veut dire démondialiser, il veut changer la mondialisation actuelle. Il appelle protectionnisme ce que nous appelons 'juste échange' ", François Hollande se dit prêt à faire un effort en corrigeant les iniquités dans l’échange (ouverture des marchés publics, respect des brevets, niveau des monnaies…). Un point c’est tout.
VOIR et ENTENDRE les prises de positions des ségolénistes éconduits:
N'est-ce pas pourtant la coquecigrue du marais poitevin qui avait lancé: " Le point faible de François Hollande, c’est l’inaction " ? A propos du père de ses enfants, son ex-compagnon de 20 ans, elle avait demandé: " Est-ce que les Français peuvent citer une seule chose qu’il aurait réalisée en trente ans de vie
Seule contre tous, la Ch'tite Brochen-Aubry estime que "ce n'est pas plié", bien qu'elle n'ait totalisé que 30,4% des suffrages au premier tour, dimanche dernier.
Montebourg tarde à prendre ses responsabilités
Surpris par cet afflux de voix par défaut qui font de lui l'arbitre du second tour par rejet des trois autres socialistes, Arnaud Montebourg se fait désirer. Les duellistes Aubry et Hollande convoitent surtout les 17,2% dont il n'est pourtant pas propriétaire et attendent la décision du "troisième homme". Le député de Saône-et-Loire conditionnait son choix - ou non-choix - au débat de mercredi soir et aux réponses des deux candidats à sa lettre ouverte sur la démondialisation.
Libération sombre dans l'intox
Un article paru mercredi soir sur le site internet de Libération prête à Arnaud Montebourg l'intention de soutenir François Hollande, mais "à titre personnel".
Le gommeux de Saône-et-Loire a d'ailleurs démenti sur Twitter : " Je suis surpris qu'on me prête une décision de soutien à l'un ou l'autre des candidats, que je n'ai pas prise ".
Les finalistes se livrent à toutes les contorsions
François Hollande et Martine Aubry se ont empressés de répondre à la lettre d'Arnaud Montebourg, qui leur impose de prendre en compte ses thèmes de campagne : mise sous tutelle des banques, lutte contre la corruption, VIe République.
Dans sa réponse, diffusée jeudi par son service de presse, la maire de Lilleaffirme que ses convergences "ne sont pas de façade ou de circonstance" avec Arnaud Montebourg.
"Tu peux compter sur moi et j'espère pouvoir compter sur toi", écrit-elle.
Peut-elle compter sur Christiane Taubira, qui faisait équipe avec Nono Montebourg, bien qu'elle soit Radicale de gauche (PRG), comme Jean-Michel Baylet ?
François Hollande n'a pas encore vendu son âme
Alors que Martine récupère Montebourg en lui souhaitant la bienvenue dans ses rangs, mais aussi en explicitant la "vraie" pensée du "troisième homme": " Quand il veut dire démondialiser, il veut changer la mondialisation actuelle. Il appelle protectionnisme ce que nous appelons 'juste échange' ", François Hollande se dit prêt à faire un effort en corrigeant les iniquités dans l’échange (ouverture des marchés publics, respect des brevets, niveau des monnaies…). Un point c’est tout.
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