Mélenchon et Montebourg, bénéficiaires de la peur des Français
Attention !
Ceci n'est pas un institut de sondage:
c'est une prothèse pénienne
contre les défaillances des petits
Défi des outsiders aux favoris
Opportunisme: LH2* profite du vote sénatorial
Ceci n'est pas un institut de sondage:
c'est une prothèse pénienne
contre les défaillances des petits
Défi des outsiders aux favoris
Opportunisme: LH2* profite du vote sénatorial
Les entreprises commerciales de sondages font vendre et le changement de majorité au Sénat leur inspire une opération marketing au profit de la presse.Yahoo ! est d'ailleurs commanditaire...
François Hollande, Martine Aubry et Nicolas Sarkozy perdraient donc entre 4 et 6 points d'intentions de vote, si le premier tour de la présidentielle avait lieu dimanche par rapport au mois dernier et surtout au lendemain de l'élection du socialiste Jean-Pierre Bel au "plateau" du Sénat.
Les sondeurs notent une remontée de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen.
Si François Hollande était désigné à l'issue des primaires, il arriverait toujours en tête du premier tour , mais avec 31 %, soit en baisse de 4 points depuis le précédent sondage LH2, début septembre. Nicolas Sarkozy perdrait 6 points, à 21 %, alors que Marine Le Pen (Front national) remonterait à 15 % (+4) et Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) à 8 % (+4).
Dans l'hypothèse Martine Aubry, celle-ci recueillerait 25 % (-5), devant Nicolas Sarkozy à 21 % (-6), Marine Le Pen à 14,5 % (+2,5 %) et Jean-Luc Mélenchon à 10 % (+5).
Ce sondage booste en fait tous les seconds rôles
François Bayrou (MoDem voit aussi sa cote grimper à 8-9 % (+2/+3), ainsi que Eva Joly (EELV), qui recueillerait 7 ou 7,5 % (+1/+3).
Dominique de Villepin stagne à 2 ou 3 %, devant la leader de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud (0,5 à 1 %). Christine Boutin (PCD) obtient de 0 à 0,5 %, alors que Nicolas Dupont-Aignan (DLR) et Philippe Poutou (NPA) sont à 0.
Dans un second tour, François Hollande-Nicolas Sarkozy, le premier l'emporterait avec 60 % des voix contre 40 pour le chef de l'État.
Schivardi n'est pas mentionné: il s'est déjà retiré.
Selon le sondage, 40 % seulement des personnes interrogées estiment que Nicolas Sarkozy est toujours "le candidat légitime de l'UMP pour l'élection présidentielle", un chiffre qui grimpe cependant à 61 % chez les seuls sympathisants de droite et à 84 % chez ceux de l'UMP. LH2 a par ailleurs testé des hypothèses de premier tour où François Fillon ou Alain Juppé remplacerait Nicolas Sarkozy. Le Premier ministre recueillerait 15 % au premier tour, contre 16 % pour Alain Juppé. L'institut estime que pour un échantillon d'environ 600 individus la marge d'erreur oscille de 2,5 (pour une intention de vote entre 5 et 10 %) à 4 points (intentions de 40 à 60 %).
La marge d'erreur des sondages devrait être prise en compte
Les instituts de sondages faillissent à leur devoir en ne rappelant pas que leur marge d'erreur est d'au moins deux points et jusqu'à cinq dans le cas des primaires.
Que penser donc de cette estimation qui annonce que Martine Aubry battrait Nicolas Sarkozy à 57 contre 54 ?
François Bayrou (MoDem voit aussi sa cote grimper à 8-9 % (+2/+3), ainsi que Eva Joly (EELV), qui recueillerait 7 ou 7,5 % (+1/+3).
Dominique de Villepin stagne à 2 ou 3 %, devant la leader de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud (0,5 à 1 %). Christine Boutin (PCD) obtient de 0 à 0,5 %, alors que Nicolas Dupont-Aignan (DLR) et Philippe Poutou (NPA) sont à 0.
Dans un second tour, François Hollande-Nicolas Sarkozy, le premier l'emporterait avec 60 % des voix contre 40 pour le chef de l'État.
Schivardi n'est pas mentionné: il s'est déjà retiré.
Selon le sondage, 40 % seulement des personnes interrogées estiment que Nicolas Sarkozy est toujours "le candidat légitime de l'UMP pour l'élection présidentielle", un chiffre qui grimpe cependant à 61 % chez les seuls sympathisants de droite et à 84 % chez ceux de l'UMP. LH2 a par ailleurs testé des hypothèses de premier tour où François Fillon ou Alain Juppé remplacerait Nicolas Sarkozy. Le Premier ministre recueillerait 15 % au premier tour, contre 16 % pour Alain Juppé. L'institut estime que pour un échantillon d'environ 600 individus la marge d'erreur oscille de 2,5 (pour une intention de vote entre 5 et 10 %) à 4 points (intentions de 40 à 60 %).
La marge d'erreur des sondages devrait être prise en compte
Les instituts de sondages faillissent à leur devoir en ne rappelant pas que leur marge d'erreur est d'au moins deux points et jusqu'à cinq dans le cas des primaires.
Que penser donc de cette estimation qui annonce que Martine Aubry battrait Nicolas Sarkozy à 57 contre 54 ?
A sondage opportuniste, retour de manivelle opportun
Quelle valeur accorder en effet à cette enquête depuis que Jean-Louis Borloo (ARES), crédité de 7 ou 9 % (+1/+0,5), a renoncé à faire perdre la droite ?
* Sondage réalisé par téléphone les 30 septembre et 1er octobre auprès d'un échantillon de 975 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les intentions de vote reposent sur la base des personnes inscrites sur les listes électorales (843 personnes), certaines d'aller voter et ayant exprimé une intention de vote. Méthode des quotas.
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