Les jeunes dans la grève ajoutent le pillage aux violences
Du fait de la confiance béate de Désirdavenir Royal au pacifisme des lycéens et suite à son appel en direction des jeunes pour qu'ils descendent dans la rue, depuis, se multiplient les cas de débordements, d'incivilités et de violences.
Du fait de la confiance béate de Désirdavenir Royal au pacifisme des lycéens et suite à son appel en direction des jeunes pour qu'ils descendent dans la rue, depuis, se multiplient les cas de débordements, d'incivilités et de violences.
Lyon a vécu des scènes de guérilla urbaine en marge des manifestations lycéennes
Les commerces du centre ville avaient baissé leur rideau à l'approche des manifestants mais n'ont pu éviter les pillages.
A la faveur des cortèges lycéens, des groupes de jeunes ont convergé en fin de matinée sur le centre-ville et ont incendié des automobiles et des poubelles, renversé des camions et des voitures, détruit du mobilier urbain, brisé des vitrines de magasins et de banques à l'aide de chaises volées aux terrasses des cafés, et pillé des magasins.
Les forces de l'ordre, désarmées par la violence des événements, ont répliqué par des jets de gaz lacrymogène et procédé à 13 interpellations. La préfecture a recensé en fin de matinée cinq véhicules incendiés, trente véhicules renversés.
Face à l'urgence
En séjour pour une dizaine de jours en Asie, le sénateur-maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb a annoncé sa décision de revenir dès mercredi matin dans sa bonne ville citoyenne, pour constater les résultats de sa politique sociale de prévention.
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