La manif virtuelle et respectueuse est née
On peut toujours aller déposer ses poubelles devant les mairies, CR et CG d'opposition et/ou les domiciles des élus qui soutiennent la chienlit syndicale.
Mais il existe une alternative.
Vous ne le saviez pas ? La presse ne vous a pas informé(e) ?
Vous ne le saviez pas ? La presse ne vous a pas informé(e) ?
Comment est-ce possible? RSF va nous déclasser... (lien PaSiDupes)
Et ce sera - à l'évidence - la faute "à" qui vous savez !
Vous pouvez participer à la grande e-manif de la majorité silencieuse
Vous appartenez à la majorité silencieuse, celle qui ne supporte plus le climat insurrectionnel crée par les partis d'opposition, qui se déclarent républicains, et imposé par les syndicats, qui se disent démocratiques, mais qui ne respectent pas les votes des élus de la nation ?
Vous appartenez à la majorité silencieuse, celle qui ne supporte plus le climat insurrectionnel crée par les partis d'opposition, qui se déclarent républicains, et imposé par les syndicats, qui se disent démocratiques, mais qui ne respectent pas les votes des élus de la nation ?
Alors e-manif, site de contre-manifestations virtuelles, est fait pour vous.
3 Millions de manifestants bloquent le pays, il est temps que se fassent entendre les millions de travailleurs qui souhaitent construire leur retraite et maintenir leur niveau de pension.
Les otages innovent en matière de contre-manifestation
Et comme vous avez mieux à faire que de descendre dans la rue le poing levé et la menace à la bouche, un médecin de Grenoble vous propose de vous faire entendre en e-manifestant. Il vous suffit pour cela de venir sur le site et d'inciter tous vos contacts à faire de même, le compteur fera le reste.
Le compteur comptabilise un visiteur une fois par jour, les autres visites de la journée ne sont pas prises en compte.
Nous devrions rapidement être plus nombreux que ce qu'en disent les sondages.
Nul doute que cela intéressera les media vigilants qui dissimulent l'existence de ce moyen d'expression citoyenne. Si, comme c'est vraisemblable, ils continuent à nous mépriser, cette action "pacifique" (comme dit l'autre !) aura au moins l'avantage de nous conforter sur le nombre réél de Français qui condamnent les manifs violentes , les grèves à répétition et les blocages anti-démocratiques.
Nous ne sommes ni seuls, ni isolés: nous sommes la majorité.
bonjour à tous
RépondreSupprimerc'est fait à tout mon carnet d'adresses
en souhaitant très fort que la "mobilisation" soit réussie
bonne journée à tous
Il faut que les PME et¨PMI soient dans le mouvement avec les ouvriers. Ne vous regardez pas le le "lombril". Il faut faire capoter cette réforme. Si nous sommes tous unis, le dictateur SARKOZY retirera très vite sa mauvaise réforme. Nicolas SARKOZY n'a pas la mentalité française mais la mentalité "hongroise" c'est à dire une mentalité "stariste". Je suis le seul à avoir raison, les autres sont des "C..."! et s'ils continuent, j'enverrai les forces de l'ordre leur cogner dessus. Savez-vous ce que c'est d'être "OTAGE"? Je l'ai été avec une arme pointé sur la tempe. Voilà ce que c'est d'être OTAGE et non vos élucubrations. Alain
RépondreSupprimerOui tout à fait d'accord.
RépondreSupprimerOn peut toutefois bien sûr aller manifester devant les sièges et les permanences des sections du Parti Socialiste et du parti Communiste, devant les domiciles des élus PS et PC,et ceux des responsables CGT
@l'anonyme qui signe Alain
RépondreSupprimerAvez-vous été 'otage' (?) en URSS, à Cuba ou en Chine?
Où situez-vous votre "lombril" ?
C'est quoi la mentalité 'stariste' ?
Vous êtes probablement opposé à un débat sur l'identité nationale et xenophobe: expliquez-nous.
Merci
plusieurs commentaires :
RépondreSupprimer- quand les politiciens auront-ils le courage de remettre à plat tous les systèmes spéciaux de retraites : SNCF, EDF, raffineries, RATP, policiers... Ces personnes qui partent à 55 ans voire 50 ans commenceraient ainsi à compenser les trous des caisses de retraites du régime général ;
- quand aura-t-on le courage d'évoquer la réalité des avantages injustes accordés à certaines corporations en arrêtant de se cacher derrière le prétexte de ne pas opposer public et privé (à noter : je travaille dans le public).