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dimanche 19 août 2007

Repentance Royal, avec indulgence

Ses jérémiades et incohérences habituelles

On ne peut rien en tirer ! Il n'est encore question que d'elle...

Allons-y pour les simagrées. Marie-sEGOlène Royal reconnaît avoir commis des erreurs durant la campagne de l'élection présidentielle mais entend les dépasser pour reprendre son combat au sein du parti socialiste.

Elle commence par se plaindre –ce qui est en soi indécent puisque personne ne l’a forcée et alors que d’autres, plus compétents, auraient mieux fait l’affaire, sans se lamenter. Beaucoup d’impudeur dès le départ de la part de celle qui posait en ‘femme debout’: "Entre la campagne interne du PS et la vraie campagne, j'ai été sur la brèche pendant presque un an, comme à marche forcée. Il y a eu des dysfonctionnements et des erreurs sur lesquels j'ai pu réfléchir", dit l'ancienne candidate socialiste dans des déclarations rapportées par le Journal du dimanche. "C'était une expérience à la fois merveilleuse, exaltante et épuisante. Aujourd'hui, j'ai le temps, je choisis, je contrôle", ajoute-t-elle.

Après des vacances aux Antilles –qui le lui doit pas le cyclone, mais…– , elle doit faire sa rentrée politique samedi prochain sur son territoire des Deux-Sèvres, une semaine après son ancien compagnon François Hollande, premier secrétaire du PS, qui a donné une première conférence de presse ce samedi à Toulon.

Concernant son différend privé avec ce dernier, père répudié de ses quatre enfants, dont elle s'est séparée avant la campagne, l'ex-candidate ne s'exprime que peu, et évoque des dialogues avec ses enfants. "Nous avons beaucoup parlé entre nous. " L’image du père n’a pas dû en sortir grandie ! "L'équilibre familial s'est réorganisé autrement et s'est peut-être même renforcé", dit-elle. Equilibre en sa faveur ? Toujours aussi ‘juste’, la France à la Royal ! Pour ce qui nous importe, le pays gardera longtemps les séquelles de la prestation de la candidate répudiée par les Français, tant ses attaques étaient basses : l’équilibre retrouvé du pays doit plus aux Français qu’à la gauche refoulée.

Toujours aussi malfaisante et bien que depuis le temps M° Mignard n’ait encore pas déposé plainte, la candidate entend toujours obtenir des dommages et intérêts des auteurs du livre "La femme fatale", les journalistes Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, auxquelles elle reproche d'avoir partiellement dévoilé ses problèmes personnels, qu'elle a pourtant elle-même rendu publics le soir du second tour des législatives de juin. Rien que la vérité, néanmoins ! Espérons qu’elle ne compte pas faire porter la responsabilité de son échec à ces journalistes, alors que leurs confrères ont largement contribué à la désinformation des électeurs.

Incohérente par nature, Sa Cynique Majesté Royal voulait un ‘république juste’, mais fondée sur le mensonge. Elle n’a pas spécialement joué franc-jeu avec les électeurs socialistes : ils n'ont appris qu'une fois les élections achevées que leur candidate avait demandé au premier secrétaire du PS de quitter leur domicile commun avant la bataille électorale, lui reprochant une liaison. Aucun socialiste ne semble en tenir rigueur à son Premier secrétaire. A croire que les Français trouvent de bonnes excuses à Flamby 1er, connaissant désormais son ex-concubine au-delà des images d’Epinal qui ont été diffusées pour donner d’elle une idée fausse. Les pères divorcés qui se voient privés de leurs enfants par la mère apprécieront pleinement la ‘république juste’. La Cynique susnommée déclarait aussi vouloir faire campagne en "femme libre" : c’est tout ce qu’elle a réussit et Hollande n’a rien perdu sur ce terrain ! Elle en maintenant son indépendance par rapport au principal parti d'opposition

Les Français savent maintenant à quoi s’en tenir sur Royal mais celle-ci veut désormais essayer de dépasser ses différends politiques avec les principales figures du PS. "Le temps n'est plus aux règlements de comptes. Les comportements passés appartiennent au passé. Ressasser, c'est de l'énergie perdue", dit-elle, malgré le lourd contentieux de fourberie et de haine rentrée. Craindrait-elle que le PS ne règle ses comptes avec elle ? Cela l’arrangerait-il que ‘les comportements passés appartiennent au passé’ ?

Elle n'entend pas créer de nouveau courant au sein du PS. Les adhérents de longue date et ceux à trois sous de la dernière heure seront heureux d’apprendre qu’elle a été "candidate au nom de tous les socialistes", alors que le PS, tous courants confondus en est toujours à panser les plaies qu’elle a ouvertes.. "Pourquoi devrais-je m'enfermer dans un courant ?". L’air dégagé de la Cynique devrait plaire !

Des témoignages de sympathie, elle s’en invente à l’infini, et pas seulement dans ses rêves, des ‘désirs d’avenir’ qui lui sont très personnels, presqu’exclusivement. "Lorsque j'étais à la Guadeloupe, tous ceux que je croisais m'appelaient 'la femme debout'. ‘Tous ceux que je croisais’? Elle n’a pas dû beaucoup sortir… Nostalgique, malgré ses ‘désirs d’avenir’, elle raconte des contes : "Comme au temps de la campagne… Rien ne m'a fait plus plaisir ! Rien ne correspond plus à la réalité qui est la mienne aujourd'hui", dit-elle. Content pour elle…Que de lucidité ! Pourquoi changerait-elle ?

Grave.

1 commentaire:

  1. Beaucoup de bruit autour de SR mais les lecteurs
    commentent peu et c'est tant mieux.Les socialistes et
    les autres sont fatigués de ses mensonges et se fichent de savoir si elle est debout,assise,ou allongée
    ils ont enfin ouvert les yeux

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