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lundi 22 juin 2020

La France a encore rapatrié dix enfants d'islamistes français

Les enfants de djihadistes français combattants en Syrie seraient 28 en France 

Dix enfants de djihadistes français ont encore été pris en charge en France par les racistes français

Un soldat kurde garde le camp d'al-Hol en Syrie, le 6 février 2020.
L'armée française rapatrie des enfants de tueurs de ses soldats

Bien que nés sur le sol syrien pour la plupart, ils ont été recueillis dans la nuit de dimanche 21 à lundi 22 juin, en provenance de camps de rétention sous contrôle kurde en Syrie. Mais le ministère des affaires étrangères français ne précise pas si ils ont encore un parent biologique et de la famille en France. "La France a procédé ce jour au retour de dix jeunes enfants français mineurs [de 16 ans ?] , orphelins [d'un ou de deux parents ?] ou cas humanitaires, qui se trouvaient dans des camps du nord-est de la Syrie", a-t-il fait savoir dans un communiqué. Les Français ne sauront donc pas si les mamans, épouses de combattants islamistes, sont du voyage retour dans le pays de Blancs, mécréants et racistes. 

Aucune précision n’a été donnée sur leur lieu d’arrivée en France, ni sur les circonstances dans lesquelles ils ont quitté la Syrie. 
"Ces enfants ont été remis aux autorités judiciaires françaises, font désormais l’objet d’un suivi médical particulier et d’une prise en charge par les services sociaux", a seulement précisé le Quai d’Orsay. Il va de soi que, malgré ce flou, les tests sanitaires ont été diligentés.

Depuis l’effondrement du groupe Etat islamique (EI) en mars 2019, la France a ramené vingt-huit enfants de Syrie : cinq en mars 2019, douze en juin 2019 et une fillette souffrant de malformation cardiaque en avril.

Paris a "remercié" l’administration semi-autonome kurde du nord-est de la Syrie pour sa "coopération" dans ce nouveau rapatriement prise en charee humanitaire, soulignant avoir agi "au regard de la situation de ces jeunes enfants particulièrement vulnérables et dans le cadre des autorisations données par les responsables locaux". 

Des enfants "marqués par la violence de leur histoire " la haine de leurs parents

« Collectif des Familles Unies »

Pour le 'Collectif des Familles unies', association qui regroupe des proches de ces enfants en France, si ces rapatriements sont "un immense soulagement", "tous les enfants français vivant dans les camps en Syrie sont des “cas humanitaires”. TOUS", a-t-il asséné par tweet, lundi matin. "Vingt-huit enfants français rapatriés de Syrie depuis mars 2019. Certains attendent encore DEPUIS PLUS DE DEUX ANS. Il faut à présent rapatrier l’ensemble des enfants avec leurs mères, comme le demandent l’ONU, l’Unicef, le CICR, le CNCDH…"

La peur de nourrir des déboulonneurs de statues et des égorgeurs de passants.
Leur avocate Marie Dosé, qui défend plusieurs familles, a l'impudeur de culpabiliser les familles de victimes et les anxieux. "Tous les enfants sont des cas humanitaires et leur intérêt supérieur à tous serait d’être rapatriés avec leurs mères", a insisté cette vertueuse, qui demande depuis des années leur retour, sans aucun respect de la compassion et de la générosité des accueillants qui financent ces opérations.

La France rechigne, accuse-t-elle, à ramener les quelque cent cinquante adultes, hommes et femmes, complices de l’EI et dont elle souhaite le jugement sur place, dans le respect des systèmes judiciaires des pays qui ont subi leurs exactions et leurs crimes. 
Les autorités kurdes déclarent détenir environ douze mille étrangers, quatre mille femmes et huit mille enfants, dans trois camps de déplacés du Nord-Est syrien, la grande majorité dans celui d’Al-Hol. Ils restent à venir.

Les Kurdes ont souvent appelé les pays concernés à rapatrier leurs ressortissants qui les ont trahis et combattus, affirmant ne pas être en mesure de les garder beaucoup plus longtemps. 
Nicole Belloubet s'affaire et les prisons françaises sont prêtes pour le retour des djihadistes retenus en Syrie. 
Elle avoue au moins 5.000 détenus libérés depuis le début du confinement. Ils "seraient de toute façon en fin de peine". Et  la ministre de la Justice de se justifier en assurant avoir exclu "les personnes qui avaient commis des violences conjugales, les personnes condamnées pour terrorisme et bien sûr les criminels".
Treize djihadistes françaises, dont Hayat Boumeddiene, la compagne de l’un des auteurs des attentats de janvier 2015 en France, se sont évadées des camps où elles étaient détenues, selon le Centre d’analyse du terrorisme (CAT).
La compagne d’Amedy Coulibaly, auteur de la prise d’otages meurtrière de l’Hyper Cacher de Vincennes en 2015, aurait été aperçue en train de s’enfuir d’un camp syrien. Des investigations ont été lancées. Révélation  seulement  en  mai dernier d'un fait datant d'octobre.
En 2019, cinq cent dix-sept personnes, dont trois cent soixante et onze enfants, sont mortes dans le camp d’Al-Hol, a estimé mi-janvier une responsable du Croissant-Rouge kurde dans le camp.
Dans certains cas, les statistiques existent et sont communiquées...

1 commentaire:

  1. Bonjour les gars, contactez deadlyhacker01@gmail.com ou Whatsapp: +1 3478577580 si vous avez besoin d'embaucher un vrai pirate pour surveiller à distance le téléphone portable de votre conjoint

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