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lundi 29 juillet 2019

Permanences LREM saccagées: Aurore Bergé y voit un complot

"ON cherche à générer un sentiment de peur," soupçonne la porte-parole LREM

Mieux vaut-il mieux des taggages de permanences ou des dommages à caténaires ? 

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Michel Serre n'a pas survécu à cette exhib de la trentenaire
La porte-parole de LREM Aurore Bergé a réagi aux récentes violences qui ont touché les permanences de parlementaires de la majorité, ces deux dernières semaines, comme ce samedi 28 le local de Romain Grau à Perpignan, dernier exemple en date. "Un peu moins de 200 personnes, dont 50 à 70 violentes", selon la préfecture, on démontré que le mouvement des Gilets jaunes ne s'essouffle pas. Leur mouvement converge avec celui des agriculteurs et des écologistes remontés contre la ratification du CETA. et députée des Yvelines Invitée ce lundi matin sur les antennes de BFMTV et RMC,  

"On cherche à générer un sentiment de peur parmi les parlementaires," assure Aurore Bergé, ci-dessus en Perrette court vêtue, pour dire que ces violences sonnt inacceptables. Par la suite, l'élue des Yvelines n'a pas hésité à pointer du doigt une partie violente des manifestants Gilets jaunes, mobilisés depuis novembre dernier.
"Je ne sais pas si ce mouvement violent et radical dans ses méthodes est encore un mouvement social. J'ai vu mes collègues subir des attaques, des voitures personnelles brûlées, des tirs à l'arme réelle en pleine rue, et des enfants assistent à ça, analyse-t-elle, se fantasmant à Beyrouth. C'est dangereux pour la démocratie". Et sûrement pour la planète !

Le complotiste 
Mélenchon, désigné à l'opprobre populaire

Par la suite, Aurore Bergé n'a pas hésité à égratigner certaines personnalités politiques, dont Jean-Luc Mélenchon qui, selon elle, "laissent entendre le petite musique selon laquelle nous somme illégitimes." "Nous ne sommes pas entrés par effraction, nous avons été choisis par les Français", a assuré cette ex-membre de l'équipe de campagne d'Alain Juppé.
Pendant deux ans, des parlementaires laissent croire cela et donnent des arguments, ils chauffent à blanc.Je considère qu'à partir du moment où il se passe cela contre les parlementaires, journalistes ou magistrats, il y a une responsabilité, c'est mauvais pour tout le monde."
Avant de préciser le fond de sa pensée: 
"Rien ne légitime la violence; on a le droit de débattre, mais pas de contraindre par la force. Nous avons été élus et avons travaillé sur le Ceta et nous avons le droit d'avoir des divergences en démocratie. Nous ne sommes pas entré par effraction, nous avons été choisis par les Français" 
Et de pointer également du doigt un blog de Mediapart qui, reprenant une liste complète des députés qui ont voté en faveur du CETA, publiant les adresses des permanences et qui, selon elle, incitait à la violence.

La bienveillante Berger craint pour sa personne consensuelle... 

Quant à sa situation personnelle, Aurore Bergé a expliqué qu'il n'est "pas anodin quand un préfet vous dit qu'il vous faut une protection, qu'il y a un certain nombre de raisons de penser qu'il peut y avoir des attaques". L'origine de cette opération de dénonciation d'un complot se trouve clairement dans l'entourage de Castaner...

"J'ai une collègue dont l'école des enfants a été mise sous surveillance. C'est un climat nauséabond. On n'a pas le droit de me faire peur en démocratie ni de me faire changer mon vote par la force", conclut-elle. 

Quand la SNCF avait dû faire face à des sabotages.
Soupçonné d'être le cerveau charismatique et idéologue d'une cellule clandestine "anarcho-autonome", Julien Coupat, 34 ans, établi sur le plateau de Millevaches, à Tarnac en Corrèze, avait été mis en examen le 15 novembre 2008 pour direction d'une entreprise terroriste et destructions en réunion: on avait des raisons matérielles de parler d' "attaques" et d' "attentats", puisqu'une dizaine de dégradations de caténaires avaient été dénombrées dans l'été... Il était soupçonné d'avoir commis des dégradations de caténaires contre des lignes à grande vitesse fin octobre et début novembre. Des neuf mis en examen du dossier, il fut le seul à être maintenu en détention.

Le 12 avril 2018, Julien Coupat et Yildune Lévy, sa compagne, sont relaxés par le Tribunal correctionnel de Paris. Le 8 décembre 2018, lors de l'acte IV des manifestations de Gilets jaunes, il fut interpellé et placé en garde à vue et remis en liberté.

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