POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

mardi 2 juillet 2019

L'Insoumis Ruffin est un fasciste : révélation de Rugy !

Il se défend comme il peut, s'abaissant au niveau des réseaux sociaux...

L'écologiste de salons confirme qu'il est plus prétentieux, arriviste et flexible qu'intelligent
Rugy et Ruffin ("sans culotte" en chemise), côte à côte, dans l'hémicycle

Le ministre de la Transition écologique et solidaire par défaut, à la faveur des équilibres politiques au gouvernement, Rugy a traité de fasciste François Ruffindéputé de la Somme (LFI), élu de la gauche extrême, qui l'avait déjà qualifié de "politicaillon" au "côté aristocratique", par mariage et par les femmes.

Macron a rouvert le procès en fascisme. 
Le président Macron est le premier à avoir agité le spectre des "années 30" dans un entretien à Ouest-France, se déclarant "frappé" par la ressemblance entre la situation actuelle en Europe et celle des années 1930. L'auteur de cet amalgame historique provoquant et indécent dans le contexte d'une Europe pacifiée appelait à ..."être lucide" et à "résister"! Se croyant vigilant et perspicace, l'infatué quadra mettait en garde contre l'actuelle montée de la "lèpre nationaliste" en Europe, qui lui rappelait la période de l'"entre-deux-guerres".

VOIR et ENTENDRE la réaction de  Nicolas Offenstadt, historien et auteur de "La grande guerre, carnet du centenaire" dans Grand Angle, du jeudi 1er novembre 2018, présenté par Bruce Toussaint, sur BFMTV:


En qualifiant de "peste brune" certains Gilets jaunes de novembre 2018 sur l'avenue des Champs-Elysées, le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin avait fait du zèle
, suscitant l'indignation des responsables politiques d'opposition. "Ce ne sont pas les ‘gilets jaunes' qui ont manifesté, c'est la peste brune. Ce n'est pas parce que vous mettez un ‘gilet jaune' que vous ne portez pas une chemise brune en dessous", a-t-il asséné dans l'émission "Le Grand Jury", sur RTL/Le Figaro/LCI. La peste brune est le surnom donné au nazisme pendant la Seconde Guerre mondiale, par analogie à la couleur des chemises des SA, ce surnom qualifiant cette idéologie comme une maladie politique contagieuse et infectieuse.
L'évocation des "heures les plus sombres de l'histoire de France", c'est l'équivalent du point Godwin en matière d'expression politique, le qualificatif ultime pour renvoyer une personnalité et ses idées hors du champ de l'acceptable au regard de la morale politique. "Les heures sombres" font d'une manière générale référence aux aspects communément admis comme honteux et parfois tabous de l'Histoire de France. A commencer par les années d'occupation allemande avec l'aval politicien de l'Etat collaborationniste du maréchal Pétain qui constitue au sein de la classe politique le summum de l'inacceptable. Tout ce qui y est renvoyé se trouve marqué d'un sceau d'infamie, singulièrement pas les "décrypteurs" marxistes de l'Histoire qui ont masqué aussi longtemps que possible - parce que lointains - les horreurs des massacres staliniens.
François Ruffin, "fasciste", par extension ! 
Empreint d'Histoire revue et corrigée, de surcroît mal assimilée, le petit Rugy aggrava son cas en ajoutant dimanche, comme le coup de sabot de l'âne, que le député "transpire la haine de l'autre." "Il m'attaque sur mon nom [...] Vous savez à qui il me fait penser? A un fasciste", a estimé le ministre apparent de la Transition écologique de Macron sur BFMTV. Et l'Orléaniste Goullet de Rugy d'expliquer que, dans son imaginaire, "les fascistes, ils se comportent comme ça : ils discréditent les gens qui ne pensent pas comme eux, au lieu de débattre, au lieu d'accepter la contradiction. M. Ruffin, il n'accepte pas la contradiction, il transpire la haine de l'autre", a-t-il poursuivi.

VOIR et ENTENDRE Rugy (l'attitude et la gestuelle, outre les propos, sont-ils dignes d'un ex-président de l'Assemblée ?) :

"L'écologie populaire, c'est pas l'écologie populiste", distingue François de Rugy, partisan de l'écologie punitive.

Ex-député EELV et co-président du groupe écologiste de l'Assemblée nationale (2012-2016) et ex-socialiste en 2016, Goullet de Rugy a voté la mort du PS en rejoignant le groupe La République en marche en 2017 pour collaborer au régime macronien. Ainsi concentre-t-il sur sa petite personne tout ce qui éloigne les Français de la politique. Si ce n'est pas de la haine, c'est de la répulsion.

Le coquelet réagissait à une vidéo postée sur les réseaux sociaux par François Ruffin. 
"Si l'incarnation de l'écologie dans ce pays c'est de Rugy, c'est évident que tu rends l'écologie antipopulaire", y note-t-il. "Avec son côté aristocratique, le château descend pour vous expliquer comment on va faire de l'écologie dans le pays...", grince ensuite François Ruffin en imitant un ton snob. "Une énergie alternative, tu sais ce que ça serait? C'est chaque fois que de Rugy retourne sa veste. Là ça crée de l'énergie, c'est mieux que les éoliennes", poursuit le député. "J'ai fait 7 ans d'émission de radio, j'ai fait une vingtaine de bouquins, j'ai fait deux films, pendant que de Rugy il a fait quoi? Professionnel de la politique, politicaillon à la noix", souligne encore François Ruffin.



"Pendant qu'il faisait des films (...) je m'occupais [un passe-temps aristocratique?] déjà d'écologie", a lâché, de toute sa hauteur, François de Rugy, en réplique. 

"L'écologie populaire, c'est pas l'écologie populiste, a ajouté le mari de la journaliste de ... Gala. M. Ruffin franchit une nouvelle fois les bornes". "Il fait une vidéo toutes les semaines. Vous savez qui faisait ça avant ? C'est Jean-Marie Le Pen", a encore lancé le ministre. "Il se met en scène, et puis il fait des petites imitations, et puis il parle à son caméraman. Mais là, on parle d'écologie, on parle de planète, qu'on fasse des propositions", a conclu le fat qui, lorsqu'il fut candidat à la primaire citoyenne du Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2017, obtint 3,9 % des voix. Une recrue de poids pour Macron !
Interrogée sur LCI, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye "ne partage pas" ce terme de "fasciste" employé par le ministre d'Etat. 
"Malgré toute l'amitié que j'ai pour François de Rugy, avec qui je m'entends très bien en l'occurrence [est-ce gratifiant et indispensable à signaler ?], je pense que le mot n'est pas le meilleur mot qu'on puisse choisir", a jugé cette sémiologue qui se rendit célèbre lors du décès de Simone Veil,confirmant "la meuf, elle est dead" !.
Et la porte-parole franco-sénégalaise (depuis 2016) du gouvernement de faire la leçon à notre aristocrate "Le fascisme, ça renvoie à des époques de notre histoire [Histoire ?] très particulières, à une forme d'exercice du pouvoir également très particulière qui a donné ce qu'on a connu au cours de la Seconde guerre mondiale. Donc je crois qu'il faut être très précautionneux dans le choix de certains mots".

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):