Qui sont les détracteurs et 'souteneurs' de la FSU ?
A priori, SOS annonce un collectif bidon ou un réseau lambda, un bidule comme il en naît chaque matin dans l'opposition. Or, il se trouve que ce n'est en l'espèce qu'une association, statut confortable organisant des militants souvent moins radicaux. SOS Education (lien), créé en 2001, est-elle donc un nouveau sous-produit de la nébuleuse FSU ? A les entendre, la demande en crédits et effectifs est tellement immense que les nouvelles recrues bien pensantes sont en effet les bienvenues parmi les sauveteurs vertueux du système éducatif.
Mais qui sont en fait ces empêcheurs de tourner en rond qui défendent la suppression du collège unique ou le retour à la méthode syllabique d'apprentissage de la lecture. Se seraient-ils égarés ? Ont-ils mal appris la leçon ? Sont-ils seulement des enseignants que l'on puisse soumettre par la menace syndicale ? Faudra-t-il les conduire au suicide, au prétexte que France Télécom les aurait jugés inadaptés au monde du travail et que l'Education Nationale n'a pas accueillis avec toute la compassion désirée? Avant de recourir à la manière forte, aux retards dans la progression de carrière, aux brimades internes aux établissements noyautés et aux cabales diverses, s'est-on bien assuré que le syndicat peut les ramener au bercail, ces rescapés de l'université gauchiste, dont, sans tarder davantage, le ministre Chatel pourrait être accusé de perturber le sommeil ?
Que faire, puisque les membres de cette association sont hélas des résistants ?
En janvier 2007, ces réfractaires à la FSU n'étaient que 65 000 membres et 220 000 sympathisants et, par leur nombre, ils ne menacent donc pas les camarades de la FCPE, fédération noyautée par des parents d'élèves qui sont aussi enseignants FSU ou de gauche. Si on ne peut dire que ce sont des marcheurs des rues , quelle menace représentent-ils pour l'ordre établi dans l'E.N. et pour la cogestion ? Ils ne sont d'ailleurs pas omniprésents sur France Inter.
SOS Education, victime de dénigrement
On l'a bien compris, il s'agit pour la gauche de préserver son monopole sur le monde éducatif.
Or, des media contribuent au maintien de la main mise de la FSU.
Ainsi, Libération, le 01/04/2003, ne fait pas dans la demi-mesure et titre:
« SOS Education, attention danger
L'association dissimule ses liens avec les officines ultralibérales »
Cause de l'opprobre lancé par le journal financé par Édouard … de Rothschild, ils ont osé écrire ce que tout le monde pense tout bas:
« L'Ecole est en train de mettre en péril l'avenir de milliers d'enfants : IL FAUT AGIR VITE ! » ( A comparer avec la banderole de la partie adverse, en illustration ci-dessous)
Et que lui reproche donc Libération ?
[A la différence de la FSU ou de la FCPE] « L' association est indépendante au plan légal, mais pas neutre au plan politique : elle se rattache à une nébuleuse parfaitement identifiée. On la retrouve sur le site Internet conscience-politique.org pour lequel elle a réalisé l'analyse d'un manuel d'histoire jugé trop complaisant sur les morts du communisme. » Conflit de nébuleuses ! Mission de Libération: sauver l'idéologie marxiste à l'école et militer pour le monopole de la FSU.
Et quoi encore ?
Dans le n° 3 de son bulletin de liaison, SOS Education titre en première page : «Le ministre délégué Xavier Darcos s'explique devant SOS Education.» avec la photo d'un jeune homme, visage tourné vers Xavier Darcos : «Vincent Laarman et Xavier Darcos : la voix des parents enfin entendue par l'Education nationale.» Le ministre entend tout le monde et la « république juste » en irrite quelques-uns.
Et ce sera tout ?
Il est interdit de mentionner Claude Reichman, à qui il est reproché d'avoir
créé un «cabinet fantôme» à la mode anglaise, « avec un 'ministre de l'Instruction publique et de la Civilisation', l'universitaire Guy Millières'. En matière d'éducation, le programme est diabolisé pour sa supposée parentée avec ceux du FN mais « surtout du MNR de Bruno Mégret », sans qu'il nous soit précisé en quoi. L'important n'est pas de démontrer, mais de stigmatiser. D'ailleurs, l'article atténue l'impression produite en admettant qu'en fait « il se rattache surtout aux idées défendues par Charles Millon ». La honte n'est pas pour autant lavée, car les journalistes (Airelle Niepce et Emmanuel Davidenkoff, aujourd'hui sur France Info et directeur de la rédaction du magazine L'Etudiant,
filiale à 100 % du Groupe Express-Roularta, important groupe de media belge) ajoutent que l'ex-président de la région Rhône-Alpes a été élu avec les voix du FN.
Pourquoi, vous demandez-vous, ne pas avoir mentionné aussi bien les municipales 2008 à Aix-en-Provence où pour la première fois depuis quarante ans, les communistes aixois se présentèrent à l’élection municipale dans une liste d’union de la gauche sous la tutelle du PS ? C'est l'éthique professionnelle à Libération.
Et puis aux législatives 2008, la Ch'tite Aubry n'avait fait alliance avec le MoDem qu'au second tour après avoir rassemblé la gauche au premier. L'alliance du PS avec le parti stalinien français ne choque pas plus les belles âmes que ses massacres. Si les livres d'histoire de nos enfants n'entretiennent pas le devoir de mémoire de Katyń , la Kolyma ou de l'Holodomor en Ukraine, ces liens (Wikipedia) y contribueront.
Le vertueux Bayrou n'a pas eu davantage d'états d'âme pour pratiquer cette alliance, inique au temps de l'UDF.
Tir groupé
Sauvons l'Ecole dénonce l'indignation d'une association incontrôlée
«Un inspecteur insulte son ministre et il ne risque rien, pas même un blâme. Roland Goigoux, lui, continue de former des enseignants. La preuve que l'Education nationale ne contrôle plus rien.» Vincent Laarman, porte-parole de SOS Education, est furieux. Gilles de Robien a fait un geste d'apaisement envers Pierre Frackowiak, l'inspecteur hostile à la méthode du B.A.BA pour apprendre la lecture, prônée par le ministre. Le chercheur Roland Goigoux, mis sur la touche pour les mêmes raisons, est de nouveau invité à des séminaires de formation. 'Or, ce sont les Français qui, avec leurs impôts, sont leurs employeurs', tempête Vincent Laarman. »
Sauvons l'Ecole ne supporte pas que SOS Education adopte ses méthodes
« L'association, adepte du B.A.BA, a lancé une campagne pour contrôler si les nouveaux textes, mettant l'accent sur le déchiffrage, sont respectés. «Nous avons reçu près de 5 000 mails de parents inquiets devant la méthode de lecture de leur enfant, nos deux lignes n'ont cessé de sonner pendant dix jours», assure Vincent Laarman. » Insupportable !
Diffamation et délation ?
Les protecteurs de la FSU s'émeuvent
Vincent Laarman « nie que l'association ait recours à la délation, ce dont l'accusent les syndicats d'enseignants [tous? lesquels? ] et de parents d'élèves [les seuls qui -en bonne démocratie- auraient voix au chapître]. Pourtant l'encart, paru dans des éditions locales de Sud Ouest, de la Montagne et de la Dépêche du Midi, y ressemble fort [restons prudents dans la diffamation]: «Si votre enfant est en CP, il a plus de neuf chances sur dix d'être en train d'apprendre à lire avec la méthode semi-globale. Pour réagir, vérifiez le nom du manuel de votre enfant et appelez vite SOS Education.»
«Nous voulions contribuer à informer le ministre», se défend [explique simplement] Vincent Laarman, 30 ans et père de quatre enfants, dont l'un aurait eu [pourquoi ce conditionnel suspicieux?] des difficultés liées à la méthode globale.» Cette méthode n'a pas fait que cette seule victime [même incertaine, selon Sauvons l'Ecole]
Sauvons l'Ecole dénonce des « campagnes contre des ouvrages, pétitions, [votations citoyennes ] référendums avec en bas un appel au don... » Le saviez-vous ? Mais alors, la presse militante aurait-elle omis d'en rendre compte ? Peut-être pas, remarquez. Blackout citoyen ou auto-censure vertueuse ?
L'école n'est pas la propriété de la FSU et de ses camarades, ni même la chasse gardée.
Sauvons l'Ecole (publique, en fait, pour être honnête et complet !)
Mais c'est quoi ? Une officine ? Un blog ?
Ce dernier publie cette pub libérale du quotidien conservateur communiste:
Dimanche 29 novembre 2009
- Publié dans : Universités
Par Sauvons l'Ecole
Pas besoin d'appel au don en bas de page.
Il s'agit d'un … collectif.
Ses proches
Ce sont Le Café Pédagogique qui titra : « Les "désobéisseurs" : le mouvement qui secoue l'Ecole » ou les alternatifs de Mille Babords qui soutient « la ronde infinie des obstinés », ou les trotskistes de SUD Education qui milite pour la 'titularisation sans conditions de concours ni de nationalité' pour les enseignants et s'en prend aux « états majors syndicaux, ceux-la même[s] qui s’alignent sur le ministère notamment lors des discussions sur la masterisation. »
Pour ne citer qu'eux.
Cliquer sur les BD mettant en scène Philippe Mérieu,
alias SP (super-pédago, pour les agrandir
SOS Education, qui sont-ils ?
Créée par un groupe de jeunes parents, l'association regroupe aujourd'hui 80 000 jeunes parents et professeurs pour la défense de l'école. A l'évidence, ils n'ont donc pas mis les chiffres de Wikipedia à jour.
Cette association loi 1901 a pour objectifs:
> D'étudier les origines de la crise de l'école et apporter des solutions réalistes pour responsabiliser les parents, les élèves et les enseignants face à ce drame collectif.
> D'informer les citoyens sur les causes et les conséquences de la baisse du niveau scolaire des jeunes générations.
> D'encourager les responsables politiques à mettre en oeuvre une réforme de fond du système éducatif.
> De combattre les corporatismes qui cherchent à contrôler l'Education nationale pour leur propre compte.
=> L'association est indépendante et ne reçoit aucune subvention publique.
Les statuts de SOS Education stipulent en effet à l'article 3 que :
"L'association est indépendante de toute formation politique, syndicale et professionnelle.
Elle ne peut recevoir de subventions publiques.
Aucun dirigeant de l'association ne peut avoir de mandat électif autre que municipal, ni être membre d'un parti politique. "
Le blog de SOS Education (lien)
De même, SOS Education ne fait partie d'aucun réseau, église, regroupement ni fédération d'associations, quel qu'il soit et ne reçoit de fonds d'aucune association ou société.
En un mot, des subversifs ...
A priori, SOS annonce un collectif bidon ou un réseau lambda, un bidule comme il en naît chaque matin dans l'opposition. Or, il se trouve que ce n'est en l'espèce qu'une association, statut confortable organisant des militants souvent moins radicaux. SOS Education (lien), créé en 2001, est-elle donc un nouveau sous-produit de la nébuleuse FSU ? A les entendre, la demande en crédits et effectifs est tellement immense que les nouvelles recrues bien pensantes sont en effet les bienvenues parmi les sauveteurs vertueux du système éducatif.
Mais qui sont en fait ces empêcheurs de tourner en rond qui défendent la suppression du collège unique ou le retour à la méthode syllabique d'apprentissage de la lecture. Se seraient-ils égarés ? Ont-ils mal appris la leçon ? Sont-ils seulement des enseignants que l'on puisse soumettre par la menace syndicale ? Faudra-t-il les conduire au suicide, au prétexte que France Télécom les aurait jugés inadaptés au monde du travail et que l'Education Nationale n'a pas accueillis avec toute la compassion désirée? Avant de recourir à la manière forte, aux retards dans la progression de carrière, aux brimades internes aux établissements noyautés et aux cabales diverses, s'est-on bien assuré que le syndicat peut les ramener au bercail, ces rescapés de l'université gauchiste, dont, sans tarder davantage, le ministre Chatel pourrait être accusé de perturber le sommeil ?
Que faire, puisque les membres de cette association sont hélas des résistants ?
En janvier 2007, ces réfractaires à la FSU n'étaient que 65 000 membres et 220 000 sympathisants et, par leur nombre, ils ne menacent donc pas les camarades de la FCPE, fédération noyautée par des parents d'élèves qui sont aussi enseignants FSU ou de gauche. Si on ne peut dire que ce sont des marcheurs des rues , quelle menace représentent-ils pour l'ordre établi dans l'E.N. et pour la cogestion ? Ils ne sont d'ailleurs pas omniprésents sur France Inter.
SOS Education, victime de dénigrement
On l'a bien compris, il s'agit pour la gauche de préserver son monopole sur le monde éducatif.
Or, des media contribuent au maintien de la main mise de la FSU.
Ainsi, Libération, le 01/04/2003, ne fait pas dans la demi-mesure et titre:
« SOS Education, attention danger
L'association dissimule ses liens avec les officines ultralibérales »
Cause de l'opprobre lancé par le journal financé par Édouard … de Rothschild, ils ont osé écrire ce que tout le monde pense tout bas:
« L'Ecole est en train de mettre en péril l'avenir de milliers d'enfants : IL FAUT AGIR VITE ! » ( A comparer avec la banderole de la partie adverse, en illustration ci-dessous)
Et que lui reproche donc Libération ?
[A la différence de la FSU ou de la FCPE] « L' association est indépendante au plan légal, mais pas neutre au plan politique : elle se rattache à une nébuleuse parfaitement identifiée. On la retrouve sur le site Internet conscience-politique.org pour lequel elle a réalisé l'analyse d'un manuel d'histoire jugé trop complaisant sur les morts du communisme. » Conflit de nébuleuses ! Mission de Libération: sauver l'idéologie marxiste à l'école et militer pour le monopole de la FSU.
Et quoi encore ?
Dans le n° 3 de son bulletin de liaison, SOS Education titre en première page : «Le ministre délégué Xavier Darcos s'explique devant SOS Education.» avec la photo d'un jeune homme, visage tourné vers Xavier Darcos : «Vincent Laarman et Xavier Darcos : la voix des parents enfin entendue par l'Education nationale.» Le ministre entend tout le monde et la « république juste » en irrite quelques-uns.
Et ce sera tout ?
Il est interdit de mentionner Claude Reichman, à qui il est reproché d'avoir
créé un «cabinet fantôme» à la mode anglaise, « avec un 'ministre de l'Instruction publique et de la Civilisation', l'universitaire Guy Millières'. En matière d'éducation, le programme est diabolisé pour sa supposée parentée avec ceux du FN mais « surtout du MNR de Bruno Mégret », sans qu'il nous soit précisé en quoi. L'important n'est pas de démontrer, mais de stigmatiser. D'ailleurs, l'article atténue l'impression produite en admettant qu'en fait « il se rattache surtout aux idées défendues par Charles Millon ». La honte n'est pas pour autant lavée, car les journalistes (Airelle Niepce et Emmanuel Davidenkoff, aujourd'hui sur France Info et directeur de la rédaction du magazine L'Etudiant,
filiale à 100 % du Groupe Express-Roularta, important groupe de media belge) ajoutent que l'ex-président de la région Rhône-Alpes a été élu avec les voix du FN.
Pourquoi, vous demandez-vous, ne pas avoir mentionné aussi bien les municipales 2008 à Aix-en-Provence où pour la première fois depuis quarante ans, les communistes aixois se présentèrent à l’élection municipale dans une liste d’union de la gauche sous la tutelle du PS ? C'est l'éthique professionnelle à Libération.
Et puis aux législatives 2008, la Ch'tite Aubry n'avait fait alliance avec le MoDem qu'au second tour après avoir rassemblé la gauche au premier. L'alliance du PS avec le parti stalinien français ne choque pas plus les belles âmes que ses massacres. Si les livres d'histoire de nos enfants n'entretiennent pas le devoir de mémoire de Katyń , la Kolyma ou de l'Holodomor en Ukraine, ces liens (Wikipedia) y contribueront.
Le vertueux Bayrou n'a pas eu davantage d'états d'âme pour pratiquer cette alliance, inique au temps de l'UDF.
Tir groupé
Sauvons l'Ecole dénonce l'indignation d'une association incontrôlée
«Un inspecteur insulte son ministre et il ne risque rien, pas même un blâme. Roland Goigoux, lui, continue de former des enseignants. La preuve que l'Education nationale ne contrôle plus rien.» Vincent Laarman, porte-parole de SOS Education, est furieux. Gilles de Robien a fait un geste d'apaisement envers Pierre Frackowiak, l'inspecteur hostile à la méthode du B.A.BA pour apprendre la lecture, prônée par le ministre. Le chercheur Roland Goigoux, mis sur la touche pour les mêmes raisons, est de nouveau invité à des séminaires de formation. 'Or, ce sont les Français qui, avec leurs impôts, sont leurs employeurs', tempête Vincent Laarman. »
Sauvons l'Ecole ne supporte pas que SOS Education adopte ses méthodes
« L'association, adepte du B.A.BA, a lancé une campagne pour contrôler si les nouveaux textes, mettant l'accent sur le déchiffrage, sont respectés. «Nous avons reçu près de 5 000 mails de parents inquiets devant la méthode de lecture de leur enfant, nos deux lignes n'ont cessé de sonner pendant dix jours», assure Vincent Laarman. » Insupportable !
Diffamation et délation ?
Les protecteurs de la FSU s'émeuvent
Vincent Laarman « nie que l'association ait recours à la délation, ce dont l'accusent les syndicats d'enseignants [tous? lesquels? ] et de parents d'élèves [les seuls qui -en bonne démocratie- auraient voix au chapître]. Pourtant l'encart, paru dans des éditions locales de Sud Ouest, de la Montagne et de la Dépêche du Midi, y ressemble fort [restons prudents dans la diffamation]: «Si votre enfant est en CP, il a plus de neuf chances sur dix d'être en train d'apprendre à lire avec la méthode semi-globale. Pour réagir, vérifiez le nom du manuel de votre enfant et appelez vite SOS Education.»
«Nous voulions contribuer à informer le ministre», se défend [explique simplement] Vincent Laarman, 30 ans et père de quatre enfants, dont l'un aurait eu [pourquoi ce conditionnel suspicieux?] des difficultés liées à la méthode globale.» Cette méthode n'a pas fait que cette seule victime [même incertaine, selon Sauvons l'Ecole]
Sauvons l'Ecole dénonce des « campagnes contre des ouvrages, pétitions, [
L'école n'est pas la propriété de la FSU et de ses camarades, ni même la chasse gardée.
Sauvons l'Ecole (publique, en fait, pour être honnête et complet !)
Mais c'est quoi ? Une officine ? Un blog ?
Ce dernier publie cette pub libérale du quotidien conservateur communiste:
Dimanche 29 novembre 2009
- Publié dans : Universités
Par Sauvons l'Ecole
Pas besoin d'appel au don en bas de page.
Il s'agit d'un … collectif.
Ses proches
Ce sont Le Café Pédagogique qui titra : « Les "désobéisseurs" : le mouvement qui secoue l'Ecole » ou les alternatifs de Mille Babords qui soutient « la ronde infinie des obstinés », ou les trotskistes de SUD Education qui milite pour la 'titularisation sans conditions de concours ni de nationalité' pour les enseignants et s'en prend aux « états majors syndicaux, ceux-la même[s] qui s’alignent sur le ministère notamment lors des discussions sur la masterisation. »
Pour ne citer qu'eux.
alias SP (super-pédago, pour les agrandir
SOS Education, qui sont-ils ?
Créée par un groupe de jeunes parents, l'association regroupe aujourd'hui 80 000 jeunes parents et professeurs pour la défense de l'école. A l'évidence, ils n'ont donc pas mis les chiffres de Wikipedia à jour.
Cette association loi 1901 a pour objectifs:
> D'étudier les origines de la crise de l'école et apporter des solutions réalistes pour responsabiliser les parents, les élèves et les enseignants face à ce drame collectif.
> D'informer les citoyens sur les causes et les conséquences de la baisse du niveau scolaire des jeunes générations.
> D'encourager les responsables politiques à mettre en oeuvre une réforme de fond du système éducatif.
> De combattre les corporatismes qui cherchent à contrôler l'Education nationale pour leur propre compte.
=> L'association est indépendante et ne reçoit aucune subvention publique.
Les statuts de SOS Education stipulent en effet à l'article 3 que :
"L'association est indépendante de toute formation politique, syndicale et professionnelle.
Elle ne peut recevoir de subventions publiques.
Aucun dirigeant de l'association ne peut avoir de mandat électif autre que municipal, ni être membre d'un parti politique. "
Le blog de SOS Education (lien)
De même, SOS Education ne fait partie d'aucun réseau, église, regroupement ni fédération d'associations, quel qu'il soit et ne reçoit de fonds d'aucune association ou société.
En un mot, des subversifs ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):