Les Pieds Nickelés de la méchante reine
L'amère Royal a décidé d’écarter Vincent Peillon de la direction de l'"Espoir à gauche" qui l'a servie. Mais ce dernier n’a pas l’intention de se "laisser congédier".
Désirdavenir Royal se comporte en propriétaire des biens et des personnes
"J’ai confié à un sage, Jean-Louis Bianco, avec Najat Belkacem et Gaëtan Gorce, la responsabilité d’animer le courant", a-t-elle démocratiquement décrété. Les militants ont-ils pu émettre un avis ?
La perverse Royal est allée mardi 17 sur Canal+ pour proclamer sa volonté de rupture avec Vincent Peillon
Ce dernier, qu'elle qualifie d' « animateur » du courant s’était pourtant imposé comme le patron de l' "Espoir à gauche", ce qui ne convient plus à l'animatrice de l'association en perte de vitesse.
Elle décrit son processus de retrait à sa façon.
"Petit à petit, il y a une certaine dérive, des personnes ont été éliminées et tout s’est concentré sur une seule personne. C’est-à-dire qu’on est revenu au fonctionnement archaïque des courants, ce que j’ai toujours détesté". Mais chacun a bien gardé en mémoire son passage au frigo, pendant lequel le courant continuait sans elle. Mais Vincent Peillon n’a pas l’intention de courber l'échine
L'arrogante a écarté les militants
"Nous n’allons pas nous laisser congédier. C’est d’ailleurs impossible car la direction du courant résulte statutairement du vote des militants" a réagi l’eurodéputé.
Il a d’ailleurs fait savoir qu’il allait proposer au courant un vote pour "réaffirmer la légitimité" de la direction actuelle et "sortir de l’esbrouffe médiatique permanente" de la perverse.
Ce conflit sous les projecteurs des media est le dernier épisode en date d'un feuilleton ouvert le week-end dernier.
La candidate battue à la présidentielle, rebattue dans la prise du PS n'entendait pas se faire battre aussi à la tête d'un sous-produit socialiste. Alors qu'elle sombre dans les sondages, son raid sur le rassemblement de Dijon, organisé par Vincent Peillon, devait redorer son blason.
Interrogée mardi sur France 2, Martine Aubry, son vainqueur à la direction du Parti Socialiste, n’a pas souhaité commenter ce que non sans mépris, elle qualifie de "bisbilles" , affirmant être "très occupée par ce qui intéresse les Français".
L'exploiteuse exploitante a toujours besoin de métayers
L'amère Royal a décidé d’écarter Vincent Peillon de la direction de l'"Espoir à gauche" qui l'a servie. Mais ce dernier n’a pas l’intention de se "laisser congédier".
Désirdavenir Royal se comporte en propriétaire des biens et des personnes
"J’ai confié à un sage, Jean-Louis Bianco, avec Najat Belkacem et Gaëtan Gorce, la responsabilité d’animer le courant", a-t-elle démocratiquement décrété. Les militants ont-ils pu émettre un avis ?
La perverse Royal est allée mardi 17 sur Canal+ pour proclamer sa volonté de rupture avec Vincent Peillon
Ce dernier, qu'elle qualifie d' « animateur » du courant s’était pourtant imposé comme le patron de l' "Espoir à gauche", ce qui ne convient plus à l'animatrice de l'association en perte de vitesse.
Elle décrit son processus de retrait à sa façon.
"Petit à petit, il y a une certaine dérive, des personnes ont été éliminées et tout s’est concentré sur une seule personne. C’est-à-dire qu’on est revenu au fonctionnement archaïque des courants, ce que j’ai toujours détesté". Mais chacun a bien gardé en mémoire son passage au frigo, pendant lequel le courant continuait sans elle. Mais Vincent Peillon n’a pas l’intention de courber l'échine
L'arrogante a écarté les militants
"Nous n’allons pas nous laisser congédier. C’est d’ailleurs impossible car la direction du courant résulte statutairement du vote des militants" a réagi l’eurodéputé.
Il a d’ailleurs fait savoir qu’il allait proposer au courant un vote pour "réaffirmer la légitimité" de la direction actuelle et "sortir de l’esbrouffe médiatique permanente" de la perverse.
Ce conflit sous les projecteurs des media est le dernier épisode en date d'un feuilleton ouvert le week-end dernier.
La candidate battue à la présidentielle, rebattue dans la prise du PS n'entendait pas se faire battre aussi à la tête d'un sous-produit socialiste. Alors qu'elle sombre dans les sondages, son raid sur le rassemblement de Dijon, organisé par Vincent Peillon, devait redorer son blason.
Interrogée mardi sur France 2, Martine Aubry, son vainqueur à la direction du Parti Socialiste, n’a pas souhaité commenter ce que non sans mépris, elle qualifie de "bisbilles" , affirmant être "très occupée par ce qui intéresse les Français".
L'
La présidente picto-charentaise a donc décidé de réaffirmer son autorité et de confier "temporairement" - au moins jusqu’aux élections régionales - la gestion du mouvement à un nouveau trio de Pieds Nickelés.
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