Les socialistes effarés minimisent le conflit
Vincent Peillon a appelé Désirdavenir Royal à la raison mercredi 18, au lendemain du coup de force de la candidate de la gauche battue à la présidentielle tendant à évincer Peillon de l'Espoir à gauche, tandis que plusieurs ténors du PS ont tenté de relativiser cette violente querelle.
Le philosophe Vincent Peillon fait de la psycho
"Tout ça devient insupportable, il faut que cela cesse, c'est destructeur", a déclaré Vincent Peillon sur Europe 1, déplorant "ce spectacle délétère que nous impose une fois encore et malgré nous Mme Royal".
Sa logique peut-elle atteindre la perverse ?
"On ne peut pas virer les gens, surtout quand on se fait le chantre de la démocratie. Je suis donc le leader de l'Espoir à gauche", a poursuivi cet ancien proche de la battue de 6 points à présidentielle.
Vincent Peillon a en outre invité la présidente picto-charentaise à "s'occuper de (ses) régionales" et de son association Désirs d'avenir.
Les camarades tentent d'aprivoiser la mégère
Frère François Rebsamen s'y est collé en tant que membre de l'Espoir à gauche et de dirigeant de la campagne présidentielle socialiste. Interrogé sur LCI, il s'est appliqué à relativiser le divorce Royal-Peillon. "Je voudrais que ces bisbilles cessent. Elles sont déplacées. Elles prennent un tour désagréable", a observé le sénateur-maire socialiste de Dijon, un fin gestionnaire.
"Je ne me mêle pas de cette bataille, elle me semble dépassée", a-t-il insisté, en souhaitant la "bienvenue" aux Pieds Nickelés placés mardi soir par Sa Cynique Majesté Royal en tampon avec Vincent Peillon: s'il en faut trois pour faire un Peillon ...
"Je ne me mêle pas de cette bataille, elle me semble dépassée", a-t-il insisté, en souhaitant la "bienvenue" aux Pieds Nickelés placés mardi soir par Sa Cynique Majesté Royal en tampon avec Vincent Peillon: s'il en faut trois pour faire un Peillon ...
Son ex-concubin, Hollande fait le constat de sa gestion: bilan négatif !
"J'ai passé 10 ans de ma vie à faire que les socialistes soient une force organisée; je ne me satisfais pas de la situation actuelle", a soupité pour sa part François Hollande sur RMC, assurant ne "rien" penser du duel Royal/Peillon. Les bras cassés du PS progressent: si Aubry n'y « comprend rien », Flamby 1er « ne pense rien » !
Il suit le même « raisonnement » que la patronne. "Ce n'est pas aujourd'hui ma préoccupation, ce sont des affaires qui intéressent des sensibilités du Parti socialiste (...) Moi, je suis passé à un autre niveau de responsabilité", a assuré l'ex-premier secrétaire, candidat déclaré aux primaires pour désigner le candidat du PS à la présidentielle de 2012.
Peillon en appelle au vote des militants
Vincent Peillon a réaffirmé mercredi qu'il restait "le leader de l'Espoir à gauche" et a invité la perverse Royal à faire don de sa personne au Poitou-Charentes et à se consacrer au sauvetage de son association moribonde.
"Nous n'allons pas nous laisser congédier. C'est d'ailleurs impossible car la direction du courant résulte statutairement du vote des militants", avait répliqué V. Peillon.
C'est l'occasion d'évaluer le mythe de la dévotion des militants pour la bien-aîmée auto-proclamée.
"J'ai passé 10 ans de ma vie à faire que les socialistes soient une force organisée; je ne me satisfais pas de la situation actuelle", a soupité pour sa part François Hollande sur RMC, assurant ne "rien" penser du duel Royal/Peillon. Les bras cassés du PS progressent: si Aubry n'y « comprend rien », Flamby 1er « ne pense rien » !
Il suit le même « raisonnement » que la patronne. "Ce n'est pas aujourd'hui ma préoccupation, ce sont des affaires qui intéressent des sensibilités du Parti socialiste (...) Moi, je suis passé à un autre niveau de responsabilité", a assuré l'ex-premier secrétaire, candidat déclaré aux primaires pour désigner le candidat du PS à la présidentielle de 2012.
Peillon en appelle au vote des militants
Vincent Peillon a réaffirmé mercredi qu'il restait "le leader de l'Espoir à gauche" et a invité la perverse Royal à faire don de sa personne au Poitou-Charentes et à se consacrer au sauvetage de son association moribonde.
"Nous n'allons pas nous laisser congédier. C'est d'ailleurs impossible car la direction du courant résulte statutairement du vote des militants", avait répliqué V. Peillon.
C'est l'occasion d'évaluer le mythe de la dévotion des militants pour la bien-aîmée auto-proclamée.
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