L'UMP revendique sa part d'humanité
Le "syndicat des aigris" rassemble l'opposition et la presse militante. A longueur de discours et de colonnes, tous en chœur, ils prônent le respect mais promeuvent la lâcheté. Incohérents jusqu'à l'absurde, les vertueux réclament le respect des institutions et de la fonction présidentielle, mais tolèrent qu'elles soient l'une et l'autre bafouées par des insultes gratuites contre le Chef de l'Etat et engagent les militants égarés à injurier et la personne et la fonction et les institutions. Les républicains d'opposition ont une curieuse conception de la démocratie. C'est cette haute idée de la France que la gauche illustre à sa façon dans les situations les plus diverses. Les battus ont des aigreurs qui leur brouillent le jugement.
Pensent-ils que les Français sont dupes de leur manège. Leurs cris d'orfraies insupportent le pays. Le spectacle qu'offrent quelques-uns suggère sa ligne rédactionnelle à la presse. Sous l'impulsion du Premier secrétaire et à son exemple, des agences, des commentateurs de la presse partisane et des 'politologues' distingués font le travail du PS. Le gros de la troupe des socialistes se tient en retrait pour ne pas démontrer leur connivence devant les caméras. Ils se donnent du grain à moudre et labourent le terrain de la campagne des municipales.
La scène d'insultes n'est pas improvisée (cf. les indices relevés par PaSiDupes). Attendez-vous à ce que la prochain provocation soit le fait d'une femme. Non pas que la parité aille se loger jusque là puisque les femmes ne sont pas à égalité en position d'éligibilité sur les listes de la gauche, mais plutôt parce qu'une femme peut se permettre davantage, tout en ralliant à sa cause l'ensemble des autres femmes et des hommes qui veulent se donner le genre paternaliste en matière de sexisme. Voyez comment les femmes sont poussées devant les caméras par DAL, RESF ou les Don Quichotte. Une mère chargée d'une brassée de marmots ferait encore mieux l'affaire !
L'UMP dénonce un lynchage du président Nicolas Sarkozy de la part d'une "coalition des perdants" et d'un "syndicat des aigris". L'incident provoqué samedi par un militant contre le chef de l'État au Salon de l'Agriculture est le résultat de cette "chasse à l'homme", a déclaré le porte-parole du parti majoritaire, Yves Jégo. "La réaction du président de la République est une réaction humaine", a-t-il observé. "Il a fait en sorte d'être compris de son interlocuteur." A défaut de se faire comprendre des irresponsables politiques, c'est sans doute présomptueux....
Le porte-parole a souligné la montée en pression des attaques les plus infondées, comme l'affaire du SMS, et les plus injustes, comme la montée des prix due au renchérissement du pétrole et des produits agricoles. "Voilà ce qui arrive quand on assiste à ce à quoi on a assisté depuis quelques semaines, une forme de lynchage de la personne du président de la République", a-t-il dénoncé.
La chute de popularité de Nicolas Sarkozy dans les sondages traduit le fait que "cette politique d'attaque massive a marqué des points dans l'opinion", a poursuivi Yves Jego. "On incite à toutes les dérives, on incite à toutes les outrances", a-t-il déploré. "C'est sans doute le signe effectivement que la campagne savamment orchestrée depuis quelques semaines a porté ses fruits et qu'un certain nombre de Français peuvent se croire tout permis." L'impunité leur a-t-elle été promise par les syndicats de magistrats et de journalistes?
Le porte-parole de l'UMP a dû poursuivre son effort de pédagogie à l'adresse des "poussent au crime" d'une gauche incivile qui sème le "vent de la révolte" et encourage insultes et injures en ne les dénonçant pas: elles font partie de ce qu'elle appelle la "défiance citoyenne" qui exclut le respect. "On ne bouscule pas le chef de l'État en le tutoyant sans penser qu'il y aura une réaction". "Ce qui est grave, c'est qu'un Français éprouve le besoin de bousculer le chef de l'État et de le tutoyer." Un lecteur de Marianne? Un électeur de Désirdavenir Toutdesuite ou du gentil petit facteur à temps partiel et syndical choisi?
Yves Jego a rappelé qui est le Président que les Français se sont choisi, malgré le chantage à la peur développé par Marianne et Bayrou des semaines durant. "Nicolas Sarkozy est tel qu'il est. C'est un homme qui a du caractère, qui est un homme entier, qui ne se laisse pas faire". Ce n'est ni une momie ni un chrysanthème… Après avoir dénoncé la fin du règne précédent et ses lenteurs et prudences, l'opposition accable maintenant le dynamisme du nouveau pouvoir qui les bouscule et les essouffle.
Il y a, a insisté le porte-parole de l'UMP, "une volonté de lyncher le chef de l'État, de l'abattre, dans laquelle se sont engouffrées toutes les forces les plus rétrogrades de ce pays", qui ont trouvé là "un bon prétexte pour essayer de solder leur bile, voire leur haine, vis-à-vis de celui qui a gagné les élections" de l'an dernier. Cela ne fait pas de doute, vu l'acharnement et l'obsession qui doit agiter leurs nuits. On verrait très bien Montebourg, Mamère et Bové à la tête de ce syndicat de malfaisants sans foi ni loi.
"Nous sommes mobilisés, nos militants sont mobilisés, nos cadres sont mobilisés, nos élus sont mobilisés pour dire ça suffit (...) Il faut cesser cette chasse à l'homme qui n'a pas de sens et qui n'est fondée que sur une volonté perverse d'un petit nombre d'essayer de se venger de ce que le suffrage universel ne leur a pas apporté", a-t-il ajouté. McCarthy s'est-il réincarné au PS?
Les électeurs déjugeront les sondeurs dans les urnes.
Le Premier Ministre, François Fillon, a jugé disproportionnées les réactions consécutives à l'altercation provoquée par un visiteur du Salon de l'Agriculture. "Franchement, ça nous arrive à tous d'avoir ce type de réaction quand on est insulté, comme c'était le cas", a souligné le Premier ministre en marge d'un déplacement à Creil, dans l'Oise. Ce parangon de vertus virtuelles, le dénommé Bayrou, n'est qu'un homme mais colle des baffes aux petits enfants qui lui lui font les poches...
"Ce n'est pas une question de sang-froid, vous même quand vous êtes agressé il vous arrive sûrement de faire de même, en tout cas moi ça m'est arrivé aussi et le président, c'est un homme", a rappelé le chef du gouvernement à la presse. Les jeunes ne se plaisent -ils pas à répéter que nous sommes tous des "êtres humains" ?
Pour François Fillon, le président de la République a agi "avec son tempérament et avec son caractère", et dans la "transparence". "Il n'y pas d'hypocrisie dans l'attitude du président de la République, et franchement je préfère ça", a souligné le Premier ministre, qui rappelle que le chef de l'État "a du sang-froid et des nerfs", et est "tout à fait capable de gérer les crises. Il l'a d'ailleurs démontré dans la prise d'enfants en otages à Neuilly, 13 mai 1993.
VOIR et ENTENDRE
Le "syndicat des aigris" rassemble l'opposition et la presse militante. A longueur de discours et de colonnes, tous en chœur, ils prônent le respect mais promeuvent la lâcheté. Incohérents jusqu'à l'absurde, les vertueux réclament le respect des institutions et de la fonction présidentielle, mais tolèrent qu'elles soient l'une et l'autre bafouées par des insultes gratuites contre le Chef de l'Etat et engagent les militants égarés à injurier et la personne et la fonction et les institutions. Les républicains d'opposition ont une curieuse conception de la démocratie. C'est cette haute idée de la France que la gauche illustre à sa façon dans les situations les plus diverses. Les battus ont des aigreurs qui leur brouillent le jugement.
Pensent-ils que les Français sont dupes de leur manège. Leurs cris d'orfraies insupportent le pays. Le spectacle qu'offrent quelques-uns suggère sa ligne rédactionnelle à la presse. Sous l'impulsion du Premier secrétaire et à son exemple, des agences, des commentateurs de la presse partisane et des 'politologues' distingués font le travail du PS. Le gros de la troupe des socialistes se tient en retrait pour ne pas démontrer leur connivence devant les caméras. Ils se donnent du grain à moudre et labourent le terrain de la campagne des municipales.
La scène d'insultes n'est pas improvisée (cf. les indices relevés par PaSiDupes). Attendez-vous à ce que la prochain provocation soit le fait d'une femme. Non pas que la parité aille se loger jusque là puisque les femmes ne sont pas à égalité en position d'éligibilité sur les listes de la gauche, mais plutôt parce qu'une femme peut se permettre davantage, tout en ralliant à sa cause l'ensemble des autres femmes et des hommes qui veulent se donner le genre paternaliste en matière de sexisme. Voyez comment les femmes sont poussées devant les caméras par DAL, RESF ou les Don Quichotte. Une mère chargée d'une brassée de marmots ferait encore mieux l'affaire !
L'UMP dénonce un lynchage du président Nicolas Sarkozy de la part d'une "coalition des perdants" et d'un "syndicat des aigris". L'incident provoqué samedi par un militant contre le chef de l'État au Salon de l'Agriculture est le résultat de cette "chasse à l'homme", a déclaré le porte-parole du parti majoritaire, Yves Jégo. "La réaction du président de la République est une réaction humaine", a-t-il observé. "Il a fait en sorte d'être compris de son interlocuteur." A défaut de se faire comprendre des irresponsables politiques, c'est sans doute présomptueux....
Le porte-parole a souligné la montée en pression des attaques les plus infondées, comme l'affaire du SMS, et les plus injustes, comme la montée des prix due au renchérissement du pétrole et des produits agricoles. "Voilà ce qui arrive quand on assiste à ce à quoi on a assisté depuis quelques semaines, une forme de lynchage de la personne du président de la République", a-t-il dénoncé.
La chute de popularité de Nicolas Sarkozy dans les sondages traduit le fait que "cette politique d'attaque massive a marqué des points dans l'opinion", a poursuivi Yves Jego. "On incite à toutes les dérives, on incite à toutes les outrances", a-t-il déploré. "C'est sans doute le signe effectivement que la campagne savamment orchestrée depuis quelques semaines a porté ses fruits et qu'un certain nombre de Français peuvent se croire tout permis." L'impunité leur a-t-elle été promise par les syndicats de magistrats et de journalistes?
Le porte-parole de l'UMP a dû poursuivre son effort de pédagogie à l'adresse des "poussent au crime" d'une gauche incivile qui sème le "vent de la révolte" et encourage insultes et injures en ne les dénonçant pas: elles font partie de ce qu'elle appelle la "défiance citoyenne" qui exclut le respect. "On ne bouscule pas le chef de l'État en le tutoyant sans penser qu'il y aura une réaction". "Ce qui est grave, c'est qu'un Français éprouve le besoin de bousculer le chef de l'État et de le tutoyer." Un lecteur de Marianne? Un électeur de Désirdavenir Toutdesuite ou du gentil petit facteur à temps partiel et syndical choisi?
Yves Jego a rappelé qui est le Président que les Français se sont choisi, malgré le chantage à la peur développé par Marianne et Bayrou des semaines durant. "Nicolas Sarkozy est tel qu'il est. C'est un homme qui a du caractère, qui est un homme entier, qui ne se laisse pas faire". Ce n'est ni une momie ni un chrysanthème… Après avoir dénoncé la fin du règne précédent et ses lenteurs et prudences, l'opposition accable maintenant le dynamisme du nouveau pouvoir qui les bouscule et les essouffle.
Il y a, a insisté le porte-parole de l'UMP, "une volonté de lyncher le chef de l'État, de l'abattre, dans laquelle se sont engouffrées toutes les forces les plus rétrogrades de ce pays", qui ont trouvé là "un bon prétexte pour essayer de solder leur bile, voire leur haine, vis-à-vis de celui qui a gagné les élections" de l'an dernier. Cela ne fait pas de doute, vu l'acharnement et l'obsession qui doit agiter leurs nuits. On verrait très bien Montebourg, Mamère et Bové à la tête de ce syndicat de malfaisants sans foi ni loi.
"Nous sommes mobilisés, nos militants sont mobilisés, nos cadres sont mobilisés, nos élus sont mobilisés pour dire ça suffit (...) Il faut cesser cette chasse à l'homme qui n'a pas de sens et qui n'est fondée que sur une volonté perverse d'un petit nombre d'essayer de se venger de ce que le suffrage universel ne leur a pas apporté", a-t-il ajouté. McCarthy s'est-il réincarné au PS?
Les électeurs déjugeront les sondeurs dans les urnes.
Le Premier Ministre, François Fillon, a jugé disproportionnées les réactions consécutives à l'altercation provoquée par un visiteur du Salon de l'Agriculture. "Franchement, ça nous arrive à tous d'avoir ce type de réaction quand on est insulté, comme c'était le cas", a souligné le Premier ministre en marge d'un déplacement à Creil, dans l'Oise. Ce parangon de vertus virtuelles, le dénommé Bayrou, n'est qu'un homme mais colle des baffes aux petits enfants qui lui lui font les poches...
"Ce n'est pas une question de sang-froid, vous même quand vous êtes agressé il vous arrive sûrement de faire de même, en tout cas moi ça m'est arrivé aussi et le président, c'est un homme", a rappelé le chef du gouvernement à la presse. Les jeunes ne se plaisent -ils pas à répéter que nous sommes tous des "êtres humains" ?
Pour François Fillon, le président de la République a agi "avec son tempérament et avec son caractère", et dans la "transparence". "Il n'y pas d'hypocrisie dans l'attitude du président de la République, et franchement je préfère ça", a souligné le Premier ministre, qui rappelle que le chef de l'État "a du sang-froid et des nerfs", et est "tout à fait capable de gérer les crises. Il l'a d'ailleurs démontré dans la prise d'enfants en otages à Neuilly, 13 mai 1993.
VOIR et ENTENDRE
Face a la polémique, le Premier ministre a appelé à un retour de la raison.
"Je pense qu'il faut que la sagesse revienne, que chacun sache faire le tri entre ce qui est important et ce qui n'est pas important", a-t-il estimé.
"Je pense qu'il faut que la sagesse revienne, que chacun sache faire le tri entre ce qui est important et ce qui n'est pas important", a-t-il estimé.
Le Premier Ministre a ensuite souligné les égarements de la gauche.
"Ce qui est surprenant, c'est voir tout d'un coup l'importance que prend cet incident, alors que le président était au Salon de l'Agriculture, qu'il a annoncé une réforme de la Politique agricole commune d'une ampleur considérable, qui va changer en profondeur l'organisation même de notre agriculture. On a l'impression que ça n'a plus aucune importance et que seule compte une vidéo qui circule à travers les ordinateurs et l'internet", a dénoncé François Fillon.
"Ce qui est surprenant, c'est voir tout d'un coup l'importance que prend cet incident, alors que le président était au Salon de l'Agriculture, qu'il a annoncé une réforme de la Politique agricole commune d'une ampleur considérable, qui va changer en profondeur l'organisation même de notre agriculture. On a l'impression que ça n'a plus aucune importance et que seule compte une vidéo qui circule à travers les ordinateurs et l'internet", a dénoncé François Fillon.
"Ce qui est anormal, c'est que quelqu'un refuse de serrer la main du président de la République", a estimé François Fillon. Faut-il pourtant rappeler un antécédent socialiste en Israël. L'exemple vient de Sa Cynique Majesté Royal qui a insulté Françoise de Panafieu en territoire étranger, en refusant de lui serrer la main! Déjà Désirdavenir se croyait Présidente et déjà elle refusait de se salir: Mme de Panafieu sent-elle mauvais? Les 'mauvaises odeurs' indignaient la gauche, à une certaine époque...
VOIR et ENTENDRE
VOIR et ENTENDRE
L'Orgueilleuse Se?gole?ne Royal envoyé par CONTEMPTEUR
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