
Les modèles des enfants et adolescents pourraient être Britney Spears ou Amy Winehouse, mais personne ne songe à les interdire, car leur grossièreté ne plaident


Au Canada, il y a quelques semaines, le comédien Jici


Jici Lauzon a dit être interpellé par le problème de la cigarette au grand et petit écran, ayant lui-même interprété un personnage qui fumait à l'écran, jusqu'à ce que la Société Radio-Canada interdise cette pratique.
Il constate un décalage entre la télévision et le grand public. Des études démontrent que les ados non fumeurs dont les acteurs préférés fument à l'écran courent 16 fois plus de risques d'adopter une attitude positive face à l'usage du tabac.
JiCi Lauzon s'étonnait d'apprendre que 80% des films américains, en 2004, classés 13 ans et plus, contiennent des scènes de fumeurs.
On fumerait ainsi trois fois plus souvent à l'écran que dans la vraie vie. Le comédien s'est donné comme mission d'encourager les artisans du milieu du cinéma et de la télévision à reconsidérer la place qu'ils donnent au tabac à l'écran.
Si la cigarette est défendue un peu partout dans les lieux publics, il est temps qu’elle soit bannie au petit écran. Aucune campagne de publicité contre le tabac ne sera efficace tant et aussi longtemps que les comédiens fumeront dans les téléséries.

Elle consiste en la publi- cation de pages entières dans de grands quotidiens comme le Wall Street Journal ou le New York Times, signées du commissaire de santé publique de l’Etat de New York Richard Daines et de dirigeants de l’industrie du cinéma.
L’avis préconise entre autres mesures d’imposer la classification «R» (interdit aux moins de 18 ans) aux films dans lesquels les acteurs fument.
«L’exposition au tabagisme dans les films représente aujourd’hui la plus grande influence pro-tabac sur les enfants, responsable de la moitié des nouveaux fumeurs chez les adolescents».
Cette proposition ne concerne pas des oeuvres cinématographiques qui montrent de manière «claire et sans ambiguïté» les effets nocifs du tabac ou qui présentent des personnages historiques en train de fumer.
«L’exposition au tabagisme dans les films représente aujourd’hui la plus grande influence pro-tabac sur les enfants, responsable de la moitié des nouveaux fumeurs chez les adolescents».
Cette proposition ne concerne pas des oeuvres cinématographiques qui montrent de manière «claire et sans ambiguïté» les effets nocifs du tabac ou qui présentent des personnages historiques en train de fumer.

Mais ce serait s'aligner sur les Américains !
Le bidonnage des chiffres du tabagisme passif est un fait avéré, même G Audureau président
RépondreSupprimerde DNF (défense des non fumeurs) l'avoue sur son forum !!
5000 fumeurs dans les 6000 victimes .. pourquoi pas, il nous faut des chiffres les gars, et
ça ne s'arrête pas là, la vérité est que les résultats des études épidémiologiques
OFFICIELLES sont très décevants ! risque relatif 1.15 1.16 (c'est 20 pour un fumeur),
fourchette d'erreur largement autour de 1 ...
Mais enfin il faut des chiffres, les gens ont confiance en la science, voyons, et on a des
nicorettes à vendre aussi c'est vrai (chutt...)
Il ne s'agit en rien de faire l'apologie du tabac, simplement qu'une société qui se dit
civilisée et où 30% des adultes ont une pratique doit bien évidemment autoriser cette
pratique dans des lieux privés ouverts au public, surtout quand l'Etat taxe à 80% le produit
lié à cette pratique d'ailleurs.
Mais non, on préfère chauffer l'extérieur en hiver !
pour des bars non fumeurs ET pour des bars fumeurs ?
http://forum.barfumeur.com