La fonction présidentielle mérite mieux que les fientes socialistes
"PS, tu le salis !"
La meute des klebs du PS n'a encore pas mordu
La scène de cohue et de serrements de mains vendredi à l'inauguration du Salon annuel de l'Agriculture a été l'occasion pour un militant de la "république du respect" de refuser la poignée de main du Président de la République. Mais l'insulte ne s'arrêta pas là. A cet premier geste d'incivilité, le rustre ajouta l'injure: "Tu ne me touches pas! " Réaction immédiate et spontanée du Président, sur le même ton: "Casse-toi alors!" C'est en effet le bon sens de boycotter celui qu'on n'aime pas, plutôt que de se placer sur son passage pour l'agresser.
C'est donc seulement après cette deuxième agression, verbale cette fois, que le Président lui rétorqua ce tout le monde pense tout bas: "Pauvre con, va!" Un Président comme tout le monde, n'est-ce pas ce que le peuple souhaite, plutôt qu'une momie. Ou un pleutre!
Car chacun garde à la mémoire la "lâcheté" dont a fait preuve Flamby 1er lorsque Dominique de Villepin lui mettait le nez dans ses lâchetés, le 20 juin 2006, à l'Assemblée Nationale. La gauche avait alors réagi par des hurlements, des bousculades et des menaces verbales -ou physiques, dans le cas de Cambadélis, par exemple-, tandis que Hollande d'abord ne broncha pas, puis se dressa derrière ses camarades et enfin, en retrait, bredouilla et gesticula, avant de quitter l'hémicycle. Paillasson ou carpette? Est-ce un comportement viril de cette nature que nous attendons d'un chef d'Etat?
VOIR et ENTENDRE
La meute des klebs du PS n'a encore pas mordu
La scène de cohue et de serrements de mains vendredi à l'inauguration du Salon annuel de l'Agriculture a été l'occasion pour un militant de la "république du respect" de refuser la poignée de main du Président de la République. Mais l'insulte ne s'arrêta pas là. A cet premier geste d'incivilité, le rustre ajouta l'injure: "Tu ne me touches pas! " Réaction immédiate et spontanée du Président, sur le même ton: "Casse-toi alors!" C'est en effet le bon sens de boycotter celui qu'on n'aime pas, plutôt que de se placer sur son passage pour l'agresser.
C'est donc seulement après cette deuxième agression, verbale cette fois, que le Président lui rétorqua ce tout le monde pense tout bas: "Pauvre con, va!" Un Président comme tout le monde, n'est-ce pas ce que le peuple souhaite, plutôt qu'une momie. Ou un pleutre!
Car chacun garde à la mémoire la "lâcheté" dont a fait preuve Flamby 1er lorsque Dominique de Villepin lui mettait le nez dans ses lâchetés, le 20 juin 2006, à l'Assemblée Nationale. La gauche avait alors réagi par des hurlements, des bousculades et des menaces verbales -ou physiques, dans le cas de Cambadélis, par exemple-, tandis que Hollande d'abord ne broncha pas, puis se dressa derrière ses camarades et enfin, en retrait, bredouilla et gesticula, avant de quitter l'hémicycle. Paillasson ou carpette? Est-ce un comportement viril de cette nature que nous attendons d'un chef d'Etat?
VOIR et ENTENDRE
Villepin Lacheté envoyé par compagnierh
La scène diffusée samedi sur le site internet du quotidien Le Parisien suscita déformation des faits et commentaires partisans selon lesquels Nicolas Sarkozy aurait insulté un honnête citoyen ou se serait énervé. Tous ceux-là ont une haute idée de la fonction présidentielle en effet. Ils permettent que le Président de la République soit insulté !
A gauche, l'opposition qui n'en finit pas de s'affaiblir et compte sur une perfusion aux municipales, accuse Nicolas Sarkozy d'affaiblir la fonction présidentielle.
Ainsi, le premier secrétaire du PS, François Hollande, a jugé "insupportable" que "le président ne soit pas exemplaire", soulignant qu'il n'est pas "un citoyen comme les autres." Un être humain comme les autres, quand au citoyen lambda? La vulgarité érigée en 'défiance citoyenne" par celui qui, bien que Premier secrétaire du PS, est en revanche un concubin infidèle "comme les autres".
Le numéro un socialiste se croit à Marianne ou au Canard Enchaîné… Il a eu en outre la faiblesse d'ajouter:"On ne tombe pas dans le pugilat"! A ceci près qu'un "pugilat" est une bagarre, et que le Premier secrétaire se comporte comme le dernier. Puisqu'il n'y a pas eu de coups, ses propos sont mensongers et François Hollande affaiblit sa fonction en pratiquant la surenchère.
France Info s'est aligné et écrit sur son site internet: "Début novembre, une autre algarade avait suscité de nombreuses réactions chez les internautes : elle avait opposé le président à un marin-pêcheur de Bretagne, qui, de la criée de ce port breton, l’avait invectivé. Les marins pêcheurs français protestaient contre la flambée des cours du gazole." Outre que c'est le pêcheur qui s'était opposé au Président et non l'inverse..., la presse militante omet sciemment l'essentiel: le camarade pêcheur avait joliment traité le Président de la République d' "enc***é". Un détail de l'histoire… vue par la presse libre. Libre de maquiller et de manipuler.
Harcelé par la rumeur et les attaques les plus basses et imaginaires, Sarkozy est victime de la double peine de l'insulte anonyme et de la condamnation par Hollande, sans que le PS ne dénonce la provocation du militant et n'exprime sa désapprobation de l'agression verbale d'un citoyen à l'adresse du Président dans l'exercice de ses fonctions.
Le mutisme des autres vaudrait-il approbation? Sa Cynique Majesté Royal ne peut que souffler bientôt sur le "vent de révolte" qu'elle a fait se lever, avec le soutien du magazine de Bayrou, Marianne.
A droite, en revanche, "on en a !"
Réaction virile: Karoutchi n'est pas un homme politique de salon. Sur France Info, il assura que dans la situation, quant à lui, il lui "en aurait collé une", au camarade citoyen.
Réaction féminine: "un geste d'agacement", dit Valérie Pécresse
"C'est un geste d'agacement dans une bousculade et il ne faut pas en faire une polémique", a-t-elle déclaré lundi sur Canal +. "C'est pas un agacement d'un instant qui permet de porter un jugement ni sur la personnalité ni sur l'attitude d'un chef de l'Etat", a ajouté la ministre. Mais pour Valérie Pécresse, "les hommes politiques sont des hommes comme les autres, ils ont une sensibilité". Et un honneur.
Des dirigeants de l'UMP, comme Bernard Accoyer, ont dénoncé pour leur part une "polémique artificielle" à deux semaines des élections municipales. Artificielle? Ou provoquée sur le modèle de l'agression verbale du Guilvinec (Finistère) en novembre 2007 par un pêcheur mal embouché? L'opposition avait alors cautionné la grossièreté du pêcheur de morues. Nicolas Sarkozy lui avait demandé de descendre s’expliquer. "Si je descends, je te mets un coup de boule", avait menacé le jeune homme, sautant une barrière avant d’être arrêté par les services de sécurité.
Le ministre de l'Immigration, Brice Hortefeux, a défendu la langage de Nicolas Sarkozy, jugeant, sur BFM, que "les hommes politiques ne sont pas des carpettes sur lesquelles on doit s'essuyer les pieds".
Pour le secrétaire général de l'UMP, Patrick Devedjian, l'opposition est de "mauvaise foi": elle reproche à la fois "une dérive monarchique" et un "manque de majesté"…
"Le président ne s'abrite pas derrière une soi-disant fonction présidentielle au-dessus des partis", il est "toujours en première ligne" et "donc, prend les coups en première ligne", selon le député UMP.
Jean-Pierre Raffarin, ex-premier ministre de Chirac, invité sur Europe 1, a estimé que l'UMP et le gouvernement se devaient de "protéger" le chef de l'État, cible de toutes les attaques. "On ne peut laisser le président seul au front", a déclaré de son côté Jean-Pierre Raffarin.
Edouard Balladur, autre ancien Premier ministre, a résumé ce que pense la France profonde: "J'aime bien son courage, son dynamisme, son non conformisme aussi... Ça change ! C'est une autre conception de la présidence de la République, plus adaptée sans doute à notre époque".
Ainsi, le premier secrétaire du PS, François Hollande, a jugé "insupportable" que "le président ne soit pas exemplaire", soulignant qu'il n'est pas "un citoyen comme les autres." Un être humain comme les autres, quand au citoyen lambda? La vulgarité érigée en 'défiance citoyenne" par celui qui, bien que Premier secrétaire du PS, est en revanche un concubin infidèle "comme les autres".
Le numéro un socialiste se croit à Marianne ou au Canard Enchaîné… Il a eu en outre la faiblesse d'ajouter:"On ne tombe pas dans le pugilat"! A ceci près qu'un "pugilat" est une bagarre, et que le Premier secrétaire se comporte comme le dernier. Puisqu'il n'y a pas eu de coups, ses propos sont mensongers et François Hollande affaiblit sa fonction en pratiquant la surenchère.
France Info s'est aligné et écrit sur son site internet: "Début novembre, une autre algarade avait suscité de nombreuses réactions chez les internautes : elle avait opposé le président à un marin-pêcheur de Bretagne, qui, de la criée de ce port breton, l’avait invectivé. Les marins pêcheurs français protestaient contre la flambée des cours du gazole." Outre que c'est le pêcheur qui s'était opposé au Président et non l'inverse..., la presse militante omet sciemment l'essentiel: le camarade pêcheur avait joliment traité le Président de la République d' "enc***é". Un détail de l'histoire… vue par la presse libre. Libre de maquiller et de manipuler.
Harcelé par la rumeur et les attaques les plus basses et imaginaires, Sarkozy est victime de la double peine de l'insulte anonyme et de la condamnation par Hollande, sans que le PS ne dénonce la provocation du militant et n'exprime sa désapprobation de l'agression verbale d'un citoyen à l'adresse du Président dans l'exercice de ses fonctions.
Le mutisme des autres vaudrait-il approbation? Sa Cynique Majesté Royal ne peut que souffler bientôt sur le "vent de révolte" qu'elle a fait se lever, avec le soutien du magazine de Bayrou, Marianne.
A droite, en revanche, "on en a !"
Réaction virile: Karoutchi n'est pas un homme politique de salon. Sur France Info, il assura que dans la situation, quant à lui, il lui "en aurait collé une", au camarade citoyen.
Réaction féminine: "un geste d'agacement", dit Valérie Pécresse
"C'est un geste d'agacement dans une bousculade et il ne faut pas en faire une polémique", a-t-elle déclaré lundi sur Canal +. "C'est pas un agacement d'un instant qui permet de porter un jugement ni sur la personnalité ni sur l'attitude d'un chef de l'Etat", a ajouté la ministre. Mais pour Valérie Pécresse, "les hommes politiques sont des hommes comme les autres, ils ont une sensibilité". Et un honneur.
Des dirigeants de l'UMP, comme Bernard Accoyer, ont dénoncé pour leur part une "polémique artificielle" à deux semaines des élections municipales. Artificielle? Ou provoquée sur le modèle de l'agression verbale du Guilvinec (Finistère) en novembre 2007 par un pêcheur mal embouché? L'opposition avait alors cautionné la grossièreté du pêcheur de morues. Nicolas Sarkozy lui avait demandé de descendre s’expliquer. "Si je descends, je te mets un coup de boule", avait menacé le jeune homme, sautant une barrière avant d’être arrêté par les services de sécurité.
Le ministre de l'Immigration, Brice Hortefeux, a défendu la langage de Nicolas Sarkozy, jugeant, sur BFM, que "les hommes politiques ne sont pas des carpettes sur lesquelles on doit s'essuyer les pieds".
Pour le secrétaire général de l'UMP, Patrick Devedjian, l'opposition est de "mauvaise foi": elle reproche à la fois "une dérive monarchique" et un "manque de majesté"…
"Le président ne s'abrite pas derrière une soi-disant fonction présidentielle au-dessus des partis", il est "toujours en première ligne" et "donc, prend les coups en première ligne", selon le député UMP.
Jean-Pierre Raffarin, ex-premier ministre de Chirac, invité sur Europe 1, a estimé que l'UMP et le gouvernement se devaient de "protéger" le chef de l'État, cible de toutes les attaques. "On ne peut laisser le président seul au front", a déclaré de son côté Jean-Pierre Raffarin.
Edouard Balladur, autre ancien Premier ministre, a résumé ce que pense la France profonde: "J'aime bien son courage, son dynamisme, son non conformisme aussi... Ça change ! C'est une autre conception de la présidence de la République, plus adaptée sans doute à notre époque".
Depuis Mai '68, jeter des pavés, figurativement ou très littéralement, et considéré comme normal dans ce pays-- une forme de communication, une soit-disant liberté d'expression garantie par la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (en omettant naturellement que toute liberté s'arrête où commence celle d'autrui).
RépondreSupprimerAvec ses soit-disant humoristes, et particulièrement ceux de Canal Plus, en commençant par "Les Guignols de l'Info", la Gauche a élevé toute une génération dans l'esprit du manque de respect, de la méchanceté, de l'insulte gratuite.
Être méprisant, grossier, vulgaire, est soit-disant comique; être "insolent" est présenté comme une qualité intellectuelle.
Le résultat: les professeurs se font insulter, agresser verbalement et physiquement, de manière préméditée (comment les copains pourraient-ils filmer, sinon?); les policiers, les pompiers et les médecins sont attirés dans des guet-appens pour les attaquer violemment (en espérant en tuer-- la seule conséquence possible à des jets de pierres, de boules de pétanque et pire depuis des toits d'immeuble, sans parler des tirs par arme à feu); de nombreux techniciens ont peur d'effecteur des dépannages dans les cités, parce qu'ils se font insulter, voire agresser, par ces mêmes bandes; et maintenant le Président est régulièrement insulté et menacé, dans les medias et "dans la rue" (pour ainsi dire).
Tout cela est considéré normal par la Gauche, et même encouragé, au nom d'une soit-disant liberté d'expression (soit-disant en danger), d'une soit-disant révolte légitime (dans les banlieues, il s'agit en fait de dealers délimitant leur territoire), d'une soit-disant démarche intellectuelle révolutionnaire et libératrice, bénéfique et salvatrice.
Quoi que fasse le Président, il a toujours tort.
Il répond verbalement à une insulte (sans même entrer dans "une colère saine")? C'est mal!
S'il n'avait pas réagi? "On" lui aurait reproché de laisser salir la fonction présidentielle, de ne aps en être digne, d'être un lâche, de ne pas être capable par conséquent de défendre la France contre des attaques extérieures, ...
La Gauche prétend que le Président est un dangereux dictateur.
Si c'était réellement le cas: la foule aurait été sélectionnée et l'aurait acclamé sur commande; si un opposant était parvenu à l'approcher pour l'insulter, il aurait été immédiatement arrêté, et personne n'en aurait rien su (les media n'étant jamais contrôlés
à plus de 96% par l'opposion dans les vraies dictatures); l'opposant aurait été emprisonné à vie dans le meilleur des cas, exécuté dans la plupart des dictatures.
Je me souviens d'un match de foot "sensible", maintenu en période d'attentats, où Lionel Jospin et ses Ministres avaient accepté de recevoir des bouteilles et que l'hymne français fût hué.
Personne ne s'était plaint alors que "la République [était] en danger"...
Je n'ai pas entendu de commentaire de Mr Bayrou: les ai-je manqués, ou a-t-il peur que la presse ressorte l'histoire de la gifle qu'il avait donnée à un mineur qui lui "faisait les poches"?
Sa réaction était tout aussi spontanée et légitime que celle du Président, tous deux étant dans chaque cas victimes du culte de l'"insolence", du manque de respect, du mépris systématique de celui qui a le tort de ne pas être du même bord.
Un magazine fabrique un message (dont on se demande bien comment ils auraient pu se le procurer s'il existait réellement, étant envoyé sur un téléphone portable, et non par courrier-- et l'on se doute bien qu'ils auraient depuis longtemps publié leurs preuves) pour salir le Président, et à qui fait-"on" des reproches?
Au magazine, parce qu'il a sali l'honneur de la profession en fabriquant des faux pour faire de la diffamation?
Non: à la victime, qui a l'outrecuidance de se défendre-- il est bien connu que les Droits de l'Homme (y compris les "droits" inventés) ne s'appliquent qu'aux coupables et niés aux victimes.
Et que dire de l'"affaire Dominique Baudis", montée de toutes pièces?
Les media ont-ils dénoncé les pratiques d'un présentateur et de la chaîne l'employant alors?
Non.
Ils ont répété et diffusé les mensonges, d'une gravité extrême (accuser de complicité de viols, tortures et assassinats) pendant des semaines, mais n'ont jamais consacré autant de temps au rétablissement de la vérité.
Qu'est-ce que ce sera la prochaine fois? une agression physique?
N'oublions pas qu'"on" a déjà menacé de mort son plus jeune fils-- mais personne dans les media n'a jamais condamné un tel acte.
L'exemple de Zidane que vous donnez m'en rappelle un autre, mais d'abord un mot sur celui-ci: malgré son comportement violent inacceptable, il avait été de nouveau érigé en modèle par la remise d'un prix (Ballon d'Or ou Jour de l'Année, je ne sais plus).
RépondreSupprimerQuelle sanction avait reçue Fabien Barthez lorsqu'il avait craché à la figure d'un arbitre marocain?
Aucune.
Cracher sur un marocain n'était visiblement pas une injure méritant sanction, officielle tant que médiatique.
En revanche, c'est le joueur, insulté durant tout un match la semaine dernière, qui s'est vu remettre un carton parce qu'il se plaignait d'insultes racistes.
Et maintenant la Gauche voudrait que "les jeunes" aient l'exemple d'un Président qui se laisse insulter impunément?
Que pourrait alors espérer le simple citoyen?
Rappelons que l'individu n'a même pas été arrêté, n'a évidemment été victime d'aucune violence; il s'en est tiré avec une répartie normale, plutôt banale, et infiniment moins insultante que son attitude doublement injurieuse-- suivant l'exemple de Mme Royal, qui clamait sans cesse qu'elle ne serrerait pas la main du Président des Etats-Unis, lui aussi traité régulièrement de vil "dictateur" par la Gauche.
Je viens d'entendre aux informations que l'individu (pardon, le gentil "jeune homme") qui avait adressé des menaces de mort à un enfant (qui se trouve être le jeune fils du Président) n'a été condamné qu'à trois mois de prison avec sursis.
Quant à celui qui lui avait fourni un numéro de privé-- le numéro de téléphone d'un enfant, pour lui adresser des menaces de mort, n'a été condamné, pour sa complicité, qu'à 700 euros d'amende.
Maintenant, les français et le monde entier savent que l'on peut menacer de mort un enfant pour trois fois rien dans notre pays-- surtout s'il ne s'agit "que" du fils de ce Président qui "salit" les français.