"L’affaire" de la gifle n'est-elle pas plutôt celle de l'insulte?...
Les enseignants de gauche, on ne les changera pas!
Attention exploitation politicienne...
Communiqué de la section académique du SNES de Lille
"Situation du Collège de Berlaimont"
La section académique du SNES à travers de nombreux médias, a exprimé son soutien à notre collègue du collège Gilles de Chin à Berlaimont gardé à vue, inculpé sous des chefs d’accusation très grave, pour une gifle donnée à un élève qui l’avait insulté. On peut regretter que la famille de l’élève malgré un entretien établissant la réalité de tous les faits, ait choisi de recourir à la justice.
La section académique s’étonne de la brutalité de la réaction policière et judiciaire qui a conduit à stigmatiser un collègue sans qu’une enquête ait été menée dans l’établissement pour établir la réalité des faits.
Elle s’indigne de la réaction du rectorat de Lille qui non seulement a condamné le collègue, mais qui donne des informations accusatoires non confirmées par la police.
Au delà de cette affaire particulière, le SNES de Lille souhaite réagir fortement à cette indifférence devant la réalité quotidienne des établissements où les témoins peuvent amener à des réactions regrettables de collègues à bout de nerfs qui ne se sentent pas soutenus par leur administration. Plutôt que de chercher des boucs émissaires et de punir, les institutions se grandiraient à chercher à résoudre les problèmes de l’Ecole.
Lille, le 31 janvier 2008 Publié le : 31 janvier 2008
La section académique s’étonne de la brutalité de la réaction policière et judiciaire qui a conduit à stigmatiser un collègue sans qu’une enquête ait été menée dans l’établissement pour établir la réalité des faits.
Elle s’indigne de la réaction du rectorat de Lille qui non seulement a condamné le collègue, mais qui donne des informations accusatoires non confirmées par la police.
Au delà de cette affaire particulière, le SNES de Lille souhaite réagir fortement à cette indifférence devant la réalité quotidienne des établissements où les témoins peuvent amener à des réactions regrettables de collègues à bout de nerfs qui ne se sentent pas soutenus par leur administration. Plutôt que de chercher des boucs émissaires et de punir, les institutions se grandiraient à chercher à résoudre les problèmes de l’Ecole.
Lille, le 31 janvier 2008 Publié le : 31 janvier 2008
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