Un fils de... dont l'arrogance tient lieu de talent
À 31 ans, Nicolas Bedos a l'insolence naturelle et l'aisance du fils de... naturellement arrivé à la notoriété facile sans passer par la vache enragée.
Fils de Guy Bedos, il s'est fait connaître par ses chroniques assassines sur le service public dans l'émission de Franz-Olivier Giesbert sur France 2 - avant l'arrêt de cette dernière.
À 31 ans, Nicolas Bedos a l'insolence naturelle et l'aisance du fils de... naturellement arrivé à la notoriété facile sans passer par la vache enragée.
Fils de Guy Bedos, il s'est fait connaître par ses chroniques assassines sur le service public dans l'émission de Franz-Olivier Giesbert sur France 2 - avant l'arrêt de cette dernière.
Le 3 novembre, Nicolas Bedos sortait sans difficultés la compilation de ses chroniques aux éditions Robert Lafont, avec de surcroît le soutien de l'hebdomadaire Marianne. Écrivain, chroniqueur et aussi comédien, le fils Bedos peut-il tout faire et se croire tout permis ?
Les pistonnés ne supportent pas la critique !
En effet, le fils Bedos a pété les plombs hier, lundi 14 novembre, sur le plateau d'Au Field de la nuit, présentée par Michel Field sur TF1.
La presse serpilière le présente aussitôt en victime des critiques d'une spectatrice, car depuis bien longtemps le public n'est plus roi. Mathilde, une jeune étudiante impertinente se paie le luxe de lui reprocher de n'être " qu'une figure de style, un essayiste plus sur la forme que sur le fond ". L'insolente est bien urbaine pour une étudiante !
Mais Nicolas Bedos ne peut pas s'empêcher de plaisanter - non sans finesse, évidemment, selon certains - sur son physique. Bien que ce sujet soit sacré entre gens convenables, et le fût donc encore au temps de l'ORTF, le comique interloqué déclara, méprisant, en direct : " Elle peut me traiter de ce qu'elle veut ".
Elle enchaîne donc: " J'ai lu votre préface et je me suis dit, tiens, il excuse absolument tout, il se légitimise d'avoir fait le con à la télé en écrivant un bouquin. Donc je suis pas mal déçue. Et au final, je n'ai plus rien à vous dire, vraiment... "
Bedos, le fils, pète alors un plomb de plus en croyant faire son show : " À part va te faire enculer peut-être ? Ok ben, je vais y aller. Qu'est ce que tu veux que je te dise, ma grande ? Tu as une belle gueule, mais tu es une connasse. Tu ne vas pas me faire chier avec tes questions de merde, mets ton micro dans le cul et fous le camp ! "
Classe !
Or, à ces mots de courtoisie, Nicolas Bedos reçoit les rires de la salle
Mais la courageuse Mathilde ne semble ni surprise ni décontenacée par cet amoncèlement de vulgarités et poursuit stoïquement son investigation du cul-de-basse-fosse : "Ce n'est pas forcément méchant, mais j'ai trouvé que c'était un peu facile. Vous vous êtes tellement justifié à la télé, est-ce que vous avez besoin de le faire dans un livre."
Toujours gentleman, Bedos l'interrompt : "C'est pas vrai ce que tu dis, ce n'est pas juste, mais cela ne m'empêchera pas de dîner avec toi. Tu veux dire en fait que tu en as marre de voir ma gueule ?" La jolie brunette ne se démonte pas et fait preuve de toute la maîtrise dont manque le gosse du XVIe, lançant alors : "Non, j'en ai pas marre, vous êtes très attrayant tout de même."
Bedos prend le compliment pour argent comptant et, fort des rires du public et de la lâcheté de l'animateur complice, le comique continue de faire le rustre, lançant à la jeune femme : " T'as voulu faire de la télé comme toutes les putes ", Mathilde finit par l'achever : "Au final ce que je veux dire c'est que j'arrive pas à vous faire de compliments ni de reproches: vous vous les faites vous-même. Je vois pas ce que je peux rajouter d'autre. Je sais pas qui est la plus pute entre vous et moi !"
VOIR et ENTENDRE cette scène, caratéristique de la "république du respect":
Des commentaires ?
On ne va tout de même pas interdire d'antenne tous les malotrus du PAF: on est en démocratie, non ? Et puis, que fait-on de la liberté d'expression ?
Le public immature et "analphabète" n'est pas accessible au second degré, v'la tout !...
Les pistonnés ne supportent pas la critique !
En effet, le fils Bedos a pété les plombs hier, lundi 14 novembre, sur le plateau d'Au Field de la nuit, présentée par Michel Field sur TF1.
La presse serpilière le présente aussitôt en victime des critiques d'une spectatrice, car depuis bien longtemps le public n'est plus roi. Mathilde, une jeune étudiante impertinente se paie le luxe de lui reprocher de n'être " qu'une figure de style, un essayiste plus sur la forme que sur le fond ". L'insolente est bien urbaine pour une étudiante !
Mais Nicolas Bedos ne peut pas s'empêcher de plaisanter - non sans finesse, évidemment, selon certains - sur son physique. Bien que ce sujet soit sacré entre gens convenables, et le fût donc encore au temps de l'ORTF, le comique interloqué déclara, méprisant, en direct : " Elle peut me traiter de ce qu'elle veut ".
Elle enchaîne donc: " J'ai lu votre préface et je me suis dit, tiens, il excuse absolument tout, il se légitimise d'avoir fait le con à la télé en écrivant un bouquin. Donc je suis pas mal déçue. Et au final, je n'ai plus rien à vous dire, vraiment... "
Bedos, le fils, pète alors un plomb de plus en croyant faire son show : " À part va te faire enculer peut-être ? Ok ben, je vais y aller. Qu'est ce que tu veux que je te dise, ma grande ? Tu as une belle gueule, mais tu es une connasse. Tu ne vas pas me faire chier avec tes questions de merde, mets ton micro dans le cul et fous le camp ! "
Classe !
Or, à ces mots de courtoisie, Nicolas Bedos reçoit les rires de la salle
Mais la courageuse Mathilde ne semble ni surprise ni décontenacée par cet amoncèlement de vulgarités et poursuit stoïquement son investigation du cul-de-basse-fosse : "Ce n'est pas forcément méchant, mais j'ai trouvé que c'était un peu facile. Vous vous êtes tellement justifié à la télé, est-ce que vous avez besoin de le faire dans un livre."
Toujours gentleman, Bedos l'interrompt : "C'est pas vrai ce que tu dis, ce n'est pas juste, mais cela ne m'empêchera pas de dîner avec toi. Tu veux dire en fait que tu en as marre de voir ma gueule ?" La jolie brunette ne se démonte pas et fait preuve de toute la maîtrise dont manque le gosse du XVIe, lançant alors : "Non, j'en ai pas marre, vous êtes très attrayant tout de même."
Bedos prend le compliment pour argent comptant et, fort des rires du public et de la lâcheté de l'animateur complice, le comique continue de faire le rustre, lançant à la jeune femme : " T'as voulu faire de la télé comme toutes les putes ", Mathilde finit par l'achever : "Au final ce que je veux dire c'est que j'arrive pas à vous faire de compliments ni de reproches: vous vous les faites vous-même. Je vois pas ce que je peux rajouter d'autre. Je sais pas qui est la plus pute entre vous et moi !"
VOIR et ENTENDRE cette scène, caratéristique de la "république du respect":
Des commentaires ?
On ne va tout de même pas interdire d'antenne tous les malotrus du PAF: on est en démocratie, non ? Et puis, que fait-on de la liberté d'expression ?
Le public immature et "analphabète" n'est pas accessible au second degré, v'la tout !...
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