Les analyses dont les media partisans sont incapables
Les socialistes pratiquent la rigueur en Espagne,
mais refusent l'austérité en France:
rencontre Hollande-zapatero en Espagne - octobre 2011
Les ministres rétablissent la vérité "salie" par les media défaitistes ?
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Les ministres rétablissent la vérité "salie" par les media défaitistes ?
Les ministres évoquent un plan de rigueur "équilibré"
, François Baroin sur France Info ou encore Valérie Pécresse sur LCI, tous ont démontré que "ce plan est équilibré". Les ministres sont montés au créneau, en fonction de leurs attributions gouvernementales. pour expliquer les mesures annoncées lundi par le Premier ministre, François Fillon.
"Protéger les Français"
"Il s'est déclenché une crise qui est la plus grave que nous ayons connue depuis un siècle. Ne l'oublions jamais, a rappelé Alain Juppé. Ce plan est absolument nécessaire." "Quel est l'élément d'aggravation de la crise ? C'est la perte de confiance. (…) Si nous arrivons en rétablissant nos finances, en assainissant les fondations de la Maison France, eh bien la confiance reviendra." Et d'insister: "Le plan qui a été proposé hier est un plan équilibré et juste."
ENTENDRE Alain Juppé sur RTL.
Hollande se fait étriller
François Hollande s'est enore abandonné à une critique ressassée et paresseuse
"Nous payons cher la gestion de Nicolas Sarkozy", a polémiqué Hollande le candidat en campagne, depuis les débats socialistes jusqu'à la présidentielle 2012.
Les ministres ont donc renvoyé le député de Corrèze à la mise au point de son projet et de son argumentaire
Roselyne Bachelot a déclenché les hostilités sur Europe 1 en affirmant, à propos de François Hollande : "Sa seule proposition est de réduire le salaire du président de la République. On est dans une démarche de réduction des déficits et on propose une réduction d'environ 10 000 euros. Il faut être sérieux."
Pour Alain Juppé, "le Parti socialiste ferait bien de s'adapter lui-même et de réfléchir à ce qui a été dit pendant les primaires". "Ils ne feront pas ce qu'ils ont dit, prédit l'ancien Premier ministre. Ils ne créeront pas 300 000 emplois jeunes, 60 000 emplois dans l'Éducation nationale, le contrat intergénérationnel et la retraite à 60 ans. Ils ne le feront pas. Et s'ils étaient un peu courageux aujourd'hui, ils le diraient." Et de railler François Hollande qui "parle de plus en plus au futur". "Il s'y voit déjà, tacle le maire de Bordeaux. Il faut faire preuve d'un peu de réalisme et de modestie."
Valérie Pécresse, ministre du Budget, a, sur le même registre, fustigé sur Twitter, un "Hollande à contresens et à contre-temps : peut-il maintenir ses promesses irresponsables - la retraite à 60 ans, 60 000 créations de poste, l'énergie chère".
Roselyne Bachelot met en exergue trois objectifs du gouvernement: "préserver les Français", proposer "un plan équilibré" et "protéger les Français les plus modestes".
"Conserver notre crédibilité sur les marchés, c'est protéger les Français", a insisté la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, sur Europe 1, avant d'expliquer qu' "il faut passer entre deux intégrismes : celui qui bloque la marche économique et celui, défendu par François Hollande, le candidat socialiste, qui prône le laxisme".
VOIR et ENTENDRE Roselyne Bachelot:
VOIR et ENTENDRE Roselyne Bachelot:
" Une vraie volonté de protéger le pouvoir d'achat "
François Baroin, ministre de l'Économie et des Finances, s'est félicité depuis Bruxelles sur France Info. "La France montre à travers ce plan sa réactivité." "C'est un plan vraiment équilibré", a-t-il lui aussi souligné, pointant "une vraie volonté de protéger le pouvoir d'achat". "Ce plan s'inscrit dans un esprit de responsabilité. Il faut que tout le monde comprenne bien que les temps ont changé", a-t-il insisté, avant de conclure : "Responsabilité, sens du devoir, protection de la souveraineté de notre pays et donc protection des Français."
Valérie Pécresse, ministre du Budget, a affirmé, sur LCI : "La particularité de ces mesures, c'est que justement qu'elles s'équilibrent. Elles s'équilibrent dans le temps entre les économies en dépense et les économies en recette." "Ce plan garantit à la fois la réduction de nos déficits l'année prochaine, la protection d'une croissance qui est fragile et la poursuite de notre modèle social", a-t-elle insisté.
Hollande se fait étriller
François Hollande s'est enore abandonné à une critique ressassée et paresseuse
"Nous payons cher la gestion de Nicolas Sarkozy", a polémiqué Hollande le candidat en campagne, depuis les débats socialistes jusqu'à la présidentielle 2012.
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Roselyne Bachelot a déclenché les hostilités sur Europe 1 en affirmant, à propos de François Hollande : "Sa seule proposition est de réduire le salaire du président de la République. On est dans une démarche de réduction des déficits et on propose une réduction d'environ 10 000 euros. Il faut être sérieux."
Pour Alain Juppé, "le Parti socialiste ferait bien de s'adapter lui-même et de réfléchir à ce qui a été dit pendant les primaires". "Ils ne feront pas ce qu'ils ont dit, prédit l'ancien Premier ministre. Ils ne créeront pas 300 000 emplois jeunes, 60 000 emplois dans l'Éducation nationale, le contrat intergénérationnel et la retraite à 60 ans. Ils ne le feront pas. Et s'ils étaient un peu courageux aujourd'hui, ils le diraient." Et de railler François Hollande qui "parle de plus en plus au futur". "Il s'y voit déjà, tacle le maire de Bordeaux. Il faut faire preuve d'un peu de réalisme et de modestie."
Valérie Pécresse, ministre du Budget, a, sur le même registre, fustigé sur Twitter, un "Hollande à contresens et à contre-temps : peut-il maintenir ses promesses irresponsables - la retraite à 60 ans, 60 000 créations de poste, l'énergie chère".
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