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jeudi 21 mai 2020

Les écologistes nous tuent: des cercueils en carton arrivent en Ardèche.

Les Ardéchois à la masse préconisent des obsèques écologiques

Mais ils déforestent pour les centrales biomasse environnantes...

Les rites funéraires sont bouleversés depuis plusieurs décennies. La crémation est actuellement préférée à l’inhumation et c'est maintenant la mode du respect de l’environnement, selon les écologistes incohérents qui recourent au bois dans nombre de chaudières municipales écologistes et socialistes mais veulent "en même temps" interdire les feux de cheminée au bois, accusé de polluer l’atmosphère, mais la guerre des chiffres qui a fait rage a brouillé la réalité. Finalement AirParif annonce que le chauffage au bois représente 7% de la pollution totale contre 8% pour le trafic routier. Finalement, la combustion de bois représente effectivement une source de pollution locale qui équivaut au trafic routier...

L'idée a germé dans le Poitou où  le cercueil en carton tente de s'imposer, au même titre que la maison de paille, non transmissible: c'est le passage de la maison du petit cochon insouciant à la dernière demeure biodégradable éphémère.

Une association s'est créée en 2019 à Poitiers avec pour objectif de promouvoir l'utilisation du "cercueil écologique en cellulose," un biopolymère qui est le principal constituant de la paroi des cellules végétales, y compris du... bois! Dans l'idée, il s'agit d'un cercueil en carton, moins cher et plus respectueux de l'environnement, mais, au final, encore et toujours du bois.

Lorsque le chat de Georges Braissant meurt il y a 30 ans, cet ingénieur bourguignon (originaire de Saône-et-Loire, comme Arnaud Montebourg l'apiculteur), il veut lui donner une sépulture et, refusant la crémation, décide de l'enterrer.  Pour ce faire, il trouve dans une boite en carton la solution idéale.
Il imagine alors un cercueil entièrement fait de cellulose (en carton), destiné à la crémation et à l'inhumation humaine. Son invention date de 1992, quelques années plus tard, en 1998, l'état français finit par homologuer ce cercueil qui peut depuis être utilisé dans les cimetières français. 
Le cercueil en carton se dégrade plus vite que les corps...

Un cercueil respectueux de l'environnement

A l'heure où les écologistes font pression pour imposer des priorités environnementales, ce cercueil se veut écologique, selon son fondateur. Lors d'une crémation, il permet d'économiser 15 minutes. En cas d'inhumation, ce cercueil se désagrège en 90 jours, là où des cercueils en bois mettent plusieurs années. Rentabilité écologiste !



Une caractéristique qui fait dire à Georges Braissant que ce cercueil est également "inclusif". Selon l'inventeur, ce modèle est particulièrement sollicité par les communautés juives et musulmanes pour lesquelles le retour à la terre revêt une importance toute particulière après la mort.

Une démarche sociale

Avec de la famille travaillant dans les pompes funèbres, Georges Braissant n'hésite pourtant pas à polémiquer sur les prix pratiqués dans la profession et semble d'ailleurs ignorer l'alternative des services funéraires municipaux. Les cercueils en bois massif sont aujourd'hui vendus à des prix variant entre 800 et 3.000 euros: "Des prix que beaucoup de familles n'ont pas les moyens de payer, même dans ces moments difficiles," selon ses mots.

A l'inverse, le cercueil en carton affiche des prix moins élevés, actuellement attractifs, voire à bas coût, aux limites du respect dû aux morts : entre 300 et 500 euros. La fourchette de prix prenant en compte la nécessite de préparer le cercueil par des capitons et autres éléments (comme la loi y oblige). Un bac à compost (400 litres) vous en coûterait quelque 150 euros...

Une pression qui violente la population

Ecologique, social et inclusif, ce cercueil semble sur le papier avoir tout pour plaire. Néanmoins, en 20 ans de commercialisation, seuls 3.000 exemplaires ont été écoulés. La faute, selon son inventeur, aux entreprises de pompes funèbres. Bien qu'homologué par l'Etat, ce cercueil est parfois mal vu par les professionnels du funéraire.

Plusieurs explications sont apportées à ce rejet. 
Avec un prix aussi bas, ces cercueils offrent des marges moins grandes aux prestataires funéraires. Par ailleurs, certaines pompes funèbres pointent la méfiance des clients face à ce cercueil d'un nouveau genre qui bouscule les traditions et suggère de la pingrerie.
Sandrine, 40 ans et résidente de Poitiers avoue par exemple trouver la démarche "déplacée vis à vis de nos ancêtres, d'autant plus que le carton, esthétiquement, ce n'est pas vraiment ça...". Si cette aide-soignante est prête à se faire enterrer dans ce cercueil, elle a du mal à concevoir "l'enterrement d'un proche dans du carton".

Un avis partagé pa Maylis, jeune étudiante à l'université de Poiteirs. Pour ce qui la concerne, si la mort est loin d'être un sujet de réflexion et ne la préoccupe pas , elle veut bien trouver à cette nouveauté une "dimension écologique", mais, à 20 ans, elle avoue ne pas être prête à sauter le pas, si elle venait à enterrer ou incinérer l'un de ses proches.

Lobbying efficace: certaines villes poussent à son utilisation

Pour faire connaitre son invention, Georges Braissant a créé l'association [?] pour le cercueil écologique en carton (l'ACEC). L'objectif est de faire connaitre son cercueil auprès du grand public. L'association s'est installée à Poitiers, ville gérée par le socialiste Alain Claeys, ennemi intime de Raffarin, co-auteur avec Jean Léonetti de la loi sur la fin de vie et franc-maçon du GODF. Pour mener sa politique de logement, il a pu compter sur un "frangin", l'ancien député PS Philippe Decaudin. Dans la capitale régionale, ils seraient plus de 600 "frères", à l'Avant-garde du Poitou.

Dans le Val-de-Marne, à Ivry-Sur-Seine, commune communiste depuis 1944, ce n'est pas un hasard, un carré réservé sera aménagé dans le cimetière en septembre prochain. Ce carré n'acceptera que des cercueils en carton et autres enterrements écologiques...

La classe ! Une aristocratie de bobos verts se réserve peu à peu des quartiers tranquilles et chics dans nos cimetières. Le marbre éternel est mort, vive l'éphémère a bas coût


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