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mardi 19 mai 2020

Déni de Macron : "Nous n’avons jamais été en rupture de masques"

Stupéfiant ! Ndiaye, battue par son mentor sur son propre terrain du mensonge

Macron dans le déni : l’opposition s’indigne
Pour l'Élysée, Macron sans masque équivaut à Clemenceau dans les ...
A l’Elysée, Macron sans masque, c'est comme Clémenceau dans les tranchées !
Clémenceau devait-il le respect aux Allemands, comme Macron, aux soignants ? 
Pour l’Elysée, Macron sans masque, c'est comme Clemenceau dans les tranchées !

Les élus de la majorité présidentielle ne savent plus comment assumer les mensonge de leur président. Si "allumé" soit-il... Dans un entretien de plus, diffusé sur BFMTV lundi 18 mai, le président de la République affirme qu’il n’y a jamais eu de rupture de masques pendant la crise sanitaire du Covid-19. Une affirmation qui fait bondir les Français en galère et leurs représentants, y compris dans le parti de Macron.

Déni de Macron: il n’a connaissance que de "manques" et de "tensions"...
"Il y a eu une doctrine restrictive [sic] pour ne jamais être en rupture (de masques)", affirme Macron, sans sourciller, sur BFMTV lundi 18 mai pour une émission sur les coulisses de la gestion de la crise du coronavirus.Président intellectuellement malhonnête, il affirme  qu’il y a eu "ensuite un approvisionnement et une production renforcés et nous n’avons jamais été en rupture. Ce qui est vrai, c’est qu’il y a eu des manques, des tensions".
Or,  "la pénurie reste importante," indique une enquête publiée le 21 avril par le Syndicat des praticiens hospitaliers anesthésistes-réanimateurs
A cette période, il y a un mois, 20 % des praticiens disaient notamment manquer encore de modèles FFP2. 

VOIR et ENTENDRE 
Macron inciter les Français au mensonge: "Ayons collectivement l'honnêteté de dire" comme lui ?



Aucune pénurie de lits non plus? 

Dans le déni ou déconnecté, Macron ré-écrit l'Histoire: 
"une réécriture inadmissible des dernières semaines"

Dans le silence étourdissant de la majorité, les oppositions unanimes se dressent. 
L’allégation du président fait voir rouge aux Verts. 
La sénatrice EELV Esther Benbassa se tape sur les cuisses: Macron "nous dira-t-il bientôt que l’hôpital public va bien ?"

Médecins du monde, association fortement marquée à gauche, est également effarée. C'est la carabistouille langagière du locataire de l’Elysée qui l'échauffe : "Monsieur Emmanuel Macron, quand vous parlez de tensions sur les masques, c’est le langage du nouveau monde pour dire 'périmés depuis plus de 10 ans' ?"

Le député LR de la Manche, Philippe Gosselin, dénonce "une réécriture inadmissible des semaines passées" et s’interroge : "Comment ne pas être en colère en entendant de tels propos ? !"

Pour la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, cette déclaration est une "provocation insupportable, compte tenu de la situation" : "Comment le président peut-il oser dire cela alors que son gouvernement a menti sur l’utilité même des masques justement pour cacher la pénurie ?"

Foutage de gueule sur les manques de masques de protection, de lits, de respirateurs, de tests et d'effectifs ?

VOIR et ENTENDRE cette revue de presque (France Inter) pour la version - sans coupures - des propos délirants du président shooté (il en perd ses mots et bafouille: la fin est proche?) : 

Le président est-il toujours en capacité intellectuelle et mentale de diriger ?
A-t-il jamais publié un bilan de santé ?

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