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samedi 7 septembre 2019

Patrick Balkany, menacé "d'égorgement" par ses agresseurs, selon son épouse

Des récidivistes : ils avaient déjà envahi la mairie de Levallois-Perret y a quelques mois, révèle Isabelle 

Des menaces de mort sur personne en charge d'un service public


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Après l'agression de Patrick Balkany ce jeudi 5 septembre en plein coeur de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), sa femme a réagi sur l'antenne de RTL, donnant ainsi plus de détails sur l'"incident", selon l'AFP. 

Les assaillants filment leur scène de provocation pour se victimiser: voici la version des agresseurs "agressés"...

Une altercation mise en scène - avec diffamation - a opposé deux jeunes hommes de couleur dans la force de l'âge (30 et 38 ans) de la Ligue de défense noire africaine (LDNA), une ligue, au maire septuagénaire de Levallois-Perret, Patrick Balkany. Un affrontement qui n'a aucune commune mesure avec les "attaques" de permanences de députés LREM, mais largement relayés par la presse aux ordres, qui banalise et minimise une agression physique contre un élu.

Egountchi Behanzin, l'un des activistes de ce
mouvement racial  se déclarant en lutte, notamment contre la négrophobie, a filmé en direct sur Facebook une partie de l'échange.  

Le Parquet de Nanterre a confirmé à l'AFP que le maire de Levallois-Perret avait été "agressé" le 5 septembre dans sa commune des Hauts-de-Seine et deux hommes, nés en 1981 et 1989, avaient été placés en garde à vue.
Pourtant, dans la vidéo de la LDNA, Egountchi Behanzin affirme à de très nombreuses reprises que les agressés sont ses camarades et lui.  
Le Parquet a transmis une tout autre version à l'AFP. Selon ses informations, l'édile a été "bousculé" vers 17h le 5 septembre et "deux gardiennes d'immeubles sont venues à son aide". Le maire et les deux dames ont porté plainte, selon la même source, qui ajoute que l'enquête a été confiée au commissariat de Levallois-Perret.

Après un échange "dans le calme", les deux agités de l'organisation communautariste ont "suivi, invectivé et insulté" Patrick Balkany "en ayant des propos insultants et diffamatoires tout en cherchant le contact physique", affirme l'édile dans un communiqué. "L’un des deux hommes a bousculé le Maire et l’a attrapé par l’épaule, cherchant clairement à faire dégénérer la situation".

Isabelle Balkany a expliqué que le maire de Levallois-Perret et son collaborateur faisaient une tournée de la ville quand ils ont été interpellés par "le président d'une Ligue de défense [...] des Africains" (LDNA), son président, Dr Jérôme Munyangi (dit 'Dr Jérô', ci-dessus à gauche, un médecin-chercheur congolais qui travaille sur l'artemesia), et un adhérent (qui pourrait être Egountchi Behanzin, porte parole de Ldna, ci-dessus à droite). Nés en en 1981 et 1989, ils sont extérieurs à la ville et, à aucun moment, l'AFP ne mentionne qu'ils sont Africains: il faut lire entre les lignes; au lecteur de décrypter... On notera que c'est la presse qui fait de la rétention d'information, puisque le logo de l'association ne fait pas mystère de son orientation raciale.

L'échange aurait [conditionnel de l'AFP] totalement dégénéré par la suite.
"Les deux messieurs ont menacé de les égorger, de les tuer", a indiqué l'épouse du maire.

Un membre de la Ligue de défense noire africaine (LDNA) appelle à tuer des "Blancs, des Indiens et des Chinois"

Exemple de propagande anti-française diffusée par la LDNA







La Ligue de défense noire africaine (LDNA) organisait le 6/9/209 une manifestation devant l’ambassade d’Afrique du sud à Paris contre les violences xénophobes qui frappent actuellement le continent africain. Lors de ce rassemblement, sous les applaudissements de tous les autres membres, un membre de la LDNA a appelé à tuer des Blancs, des Chinois et des Indiens plutôt que de se tuer "entre frères".

Vendredi 6 septembre 2019 vers 16h30 devant l'ambassade sud africaine en France. 1 membre de la @LDNAOFFICIEL appelle à tuer les blancs, les chinois et les indiens sous les applaudissements de tout les autres membres. Voila le vrai visage de la ldna.

Traduction : "La Xénophobie doit s’arrêter. Si vous voulez de la xénophobie, très bien : commencez à tuer des Blancs, commencez à tuer des Chinois, commencez à tuer des Indiens, mais ne tuez pas vos frères ! Nous sommes tous noirs !"
Lors de son incitation au crim, ce même membre menace de revenir brûler l’ambassade si les violences xénophobes devaient continuer en Afrique du sud (Vidéo en entier)

Un autre membre de la LDNA avertit ensuite : "Nous allons nous ordonner, nous allons nous organiser, nous allons nous discipliner,
nous sommes en guerre !"

L'agresseur bien connu de Patrick Balkany



Selon Isabelle Balkany, le Noir en question était déjà connu du couple. "Il y a, je crois, à peu près quatre mois, ils ont déjà envahi la mairie de manière extrêmement brutale". Ils seraient entrés dans l'hôtel de ville pour défendre une boulangère de la ville qui rencontrait des problèmes avec sa copropriété. Un incident qui aurait toutefois nécessité l'intervention de la BAC, précise Isabelle Balkany.

"Tout à coup, hier, quand mon mari est passé devant, le fameux président de cette ligue a reposé pour la énième fois la question, mon mari a répondu très calmement 'non'", a-t-elle poursuivi.
"A ce moment-là,
ce monsieur et un autre les ont suivis, ont commencé à les insulter verbalement, violemment et à les serrer de très près", a précisé l'épouse de l'élu, suggérant une intimidation physique.

Les assaillants ont menacé le maire de mort : un "chahutage", selon BFMTV
 


Les agresseurs récidivistes présumés ont été placés en garde à vue par la police.
Est punie de trois ans d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende la menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes ou les biens proférée à l'encontre d'une personne investie d'un mandat électif public, d'un magistrat, d'un juré, d'un avocat, d'un officier public ou ministériel, d'un militaire de la gendarmerie nationale, d'un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'inspection du travail, de l'administration pénitentiaire ou de toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, d'un sapeur-pompier professionnel ou volontaire, d'un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou d'un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur.

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