Le projet du gouvernement "sera examiné" par le Parlement
Le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, a assuré dimanche que le texte sur le travail le dimanche et les nouvelles dérogations à l'ouverture dominicale des magasins n'est "pas du tout abandonné" et "sera examiné" par le Parlement.
Pragmatique, Claude Guéant
Le conseiller du Président de la République a expliqué que les priorités sont aujourd’hui le plan de relance, le projet de loi sur le logement et le projet de loi organique sur la procédure parlementaire".dominical
L’obstruction de la gauche parlementaire qui a déposé quelque 4700 amendements en toutes les langues, n’a pas réussi à ensevelir le projet. La gauche se vantait en effet d’avoir fait reculer le gouvernement, alors que le débat à l’intérieur de la majorité n’était pas encore finalisé.
"Mais le projet n’est pas du tout abandonné. Ce sera examiné, d'autant plus qu'un consensus a été trouvé au sein de la majorité", a précisé le secrétaire général de l'Elysée .
"Ce n'est pas à l'agenda du mois de janvier, mais ça n'a pas été reporté sine die", a-t-il indiqué sur Canal+.
Le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, a assuré dimanche que le texte sur le travail le dimanche et les nouvelles dérogations à l'ouverture dominicale des magasins n'est "pas du tout abandonné" et "sera examiné" par le Parlement.
Pragmatique, Claude Guéant
Le conseiller du Président de la République a expliqué que les priorités sont aujourd’hui le plan de relance, le projet de loi sur le logement et le projet de loi organique sur la procédure parlementaire".dominical
L’obstruction de la gauche parlementaire qui a déposé quelque 4700 amendements en toutes les langues, n’a pas réussi à ensevelir le projet. La gauche se vantait en effet d’avoir fait reculer le gouvernement, alors que le débat à l’intérieur de la majorité n’était pas encore finalisé.
"Mais le projet n’est pas du tout abandonné. Ce sera examiné, d'autant plus qu'un consensus a été trouvé au sein de la majorité", a précisé le secrétaire général de l'Elysée .
"Ce n'est pas à l'agenda du mois de janvier, mais ça n'a pas été reporté sine die", a-t-il indiqué sur Canal+.
Oh putaing...
RépondreSupprimerDeux cents manifestants en
faveur du travail du dimanche devant l'Assemblée Nationale aujourd'hui.
Deux cents, pas un de plus.
Et le Ministre Chatel qui a du utiliser un porte-voix pour se faire entendre de ces deux cents là.
Pas étonnant qu'il n'arrive pas à se faire entendre du reste de la population française...
jf.
200? C'est vrai?
RépondreSupprimerCe n'est certes pas beaucoup, même en multipliant par dix.
Il y a cependant une différence importante avec les manifestations habituelles: c'est précisément qu'il ne s'agit pas de la n-ième manifestation de professionnels de la grève, de la manifestation et du blocage (CGT, Sud, FO, ..., RATP, SNCF, SNES, ...).
En fait, les personnes soutenant l'ouverture des magasins le Dimanche se contentent d'aller dans ces magasins le Dimanche-- et là, on dépasse largement les 200, 2000, 20000, 200000, ... et toutes les manifestations des professionnels du défilé.
De la même manière, lorsqu'une centaine de personnes (la plupart sans rapport avec les études) bloquent, à la suite d'un vote "bidon" auxquel elles seules avaient accès, une université comptant 3000 étudiants, les 2900 (pour simplifier) étudiants, qui désirent travailler et apprendre et sont totalement opposés au blocage, ne vont pas tous défiler dans les rues (et tout casser).
Les syndicats de Gauche présentent cette malheureuse centaine de personnes comme "les étudiants", ce qui est entièrement faux-- là, le nombre ridicule n'est pas considéré comme ridicule ni comme la preuve de l'impopularité du mouvement.
Les vrais étudiants, qui ne sont pas arrivés là grâce aux miracles du Bac, en récompense de manifestations durant l'année, ou d'options "bidon", et qui veulent travailler, n'ont pas du tout le même esprit que ceux qui vont hurler n'importe quoi dans les rues parce qu'on leur a dit de le faire.
En tant que professeur à l'université, je sais parfaitement de quoi je parle.
Chaque année, dès les toutes premières semaines, des "étudiants" abandonnent au bout de deux ou trois cours à peine.
On les reconnaît d'ailleurs bien: ce sont les éternels cancres, qui n'ont jamais voulu fournir le moindre effort, et qui ont toujours été "dissipés" en classe-- de parfaits candidats à la manifestation.
Les autres, qu'ils soient excellents ou pas très bons, ont un véritable désir de faire quelque chose, fournissent des efforts, sont sérieux-- et n'ont nullement envie d'aller battre le pavé, hurler des slogans haineux, s'attaquer aux vitrines, aux voitures et aux policiers.
Même s'ils sont dans leur droit en défendant leur droit à l'éducation, aller manifester, casser du matériel universitaire, et agresser les autres, ne sont pas des choses qui leur viennent à l'esprit.
Il y a les agitateurs professionnels et les personnes normales, pacifiques, qui privilégient le dialogue, et sont écoeurées par les manipulations, les mensonges, les actions violentes, et les injustices dont elles sont victimes.
Non, il ne faut pas s'attendre à voir 2000 personnes, "pros de la manif", hurler leur haine des autres et tout détruire pour demander simplement l'ouverture des magasins le Dimanche.
(A propos des actes de violence: les malencontreux "débordements" de "casseurs" et extrêmistes ne concluent que les manifestations organisées par "les pros de la manif")