Le porte parole de la LCR est démasqué
Besancenot se pose en victime !
"Nicolas Sarkozy essaie de criminaliser le mouvement social", déclare dimanche Olivier Besancenot dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". Il estime que "les grévistes ne sont pas responsables" du conflit qui a conduit à la fermeture de la gare Saint-Lazare cette semaine… Ce n'est l'avis ni de l'UMP, ni du ... PS : Lire PaSiDupes .
Les propos du trotskistes ne sont pourtant pas modérés…
"Lui et son gouvernement passent leur temps à démanteler le service public, que cela soit dans les transports ferroviaires, la santé, La Poste (...) Les vrais raisons du conflit à Saint-Lazare sont là", déclare Olivier Besancenot en référence à la grève spontanée -en fait 'tournante') qui a entraîné mardi la fermeture de la gare parisienne.
"Les grévistes ne sont pas responsables de la situation", ajoute-t-il, avant d'exprimer sa "solidarité" envers eux... La totale !
Besansenot est démasqué
Olivier Besancenot, porte-parole bobo de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), "incarne l'extrême gauche dans ce qu'elle a en réalité de plus agressif, de plus violent", a observé dimanche Jean-François Copé, répondant au meneur trotskiste qui avait accusé Nicolas Sarkozy de stigmatiser les agissements de Sud-Rail.
Olivier Besancenot "cautionne en réalité des mouvements qui sont pour certains d'entre eux non légaux", a dénoncé le président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale sur Radio J. "Nous le condamnons et nous le combattons."
"C'est très choquant parce que nous sommes dans une période où on a besoin de se rassembler" et "ces attaques permanentes au nom de la lutte des classes qui a 100 ans ou 120 ans, ça me paraît complètement en décalage".
"Ce qui choque Olivier Besancenot, c'est que nous ayons un président de la République qui entende appliquer la loi", a rétorqué le chef de file des députés UMP. "Une écrasante majorité de Français considère que le service public, c'est pas quelque chose dont on peut se servir pour paralyser le pays".
SUD n’est pas représentatif
Exceptionnelement puissant avec 33% des agents derrière lui, le syndicat extrémiste Sud-Rail n'est pourtant pas repésentatif au plan national et son emprise sur l'activité de la gare St Lazare pourrait faire illusion.
Jean-François Copé a également dénoncé l'attitude du syndicat Sud-Rail.
"Un certain nombre de responsables de ce syndicat en appellent à l'action totalement débridée avec parfois d'ailleurs -on l'a vu dans certains cas- des actions violentes".
Il a jugé "aberrant, dans un pays qui est confronté comme les autre à la crise économique, de voir des comportements aussi irresponsables de la part d'un certain nombre d'agents de la SNCF".
Estimant que le facteur à temps très partiel mène une lutte des classes désuète, J.-F. Copé ajoute que "ces attaques permanentes au nom de la lutte des classes d'il y a 100 ans ou 120 ans, ça me paraît complètement en décalage".
Besancenot se pose en victime !
"Nicolas Sarkozy essaie de criminaliser le mouvement social", déclare dimanche Olivier Besancenot dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". Il estime que "les grévistes ne sont pas responsables" du conflit qui a conduit à la fermeture de la gare Saint-Lazare cette semaine… Ce n'est l'avis ni de l'UMP, ni du ... PS : Lire PaSiDupes .
Les propos du trotskistes ne sont pourtant pas modérés…
"Lui et son gouvernement passent leur temps à démanteler le service public, que cela soit dans les transports ferroviaires, la santé, La Poste (...) Les vrais raisons du conflit à Saint-Lazare sont là", déclare Olivier Besancenot en référence à la grève spontanée -en fait 'tournante') qui a entraîné mardi la fermeture de la gare parisienne.
"Les grévistes ne sont pas responsables de la situation", ajoute-t-il, avant d'exprimer sa "solidarité" envers eux... La totale !
Besansenot est démasqué
Olivier Besancenot, porte-parole bobo de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), "incarne l'extrême gauche dans ce qu'elle a en réalité de plus agressif, de plus violent", a observé dimanche Jean-François Copé, répondant au meneur trotskiste qui avait accusé Nicolas Sarkozy de stigmatiser les agissements de Sud-Rail.
Olivier Besancenot "cautionne en réalité des mouvements qui sont pour certains d'entre eux non légaux", a dénoncé le président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale sur Radio J. "Nous le condamnons et nous le combattons."
"C'est très choquant parce que nous sommes dans une période où on a besoin de se rassembler" et "ces attaques permanentes au nom de la lutte des classes qui a 100 ans ou 120 ans, ça me paraît complètement en décalage".
"Ce qui choque Olivier Besancenot, c'est que nous ayons un président de la République qui entende appliquer la loi", a rétorqué le chef de file des députés UMP. "Une écrasante majorité de Français considère que le service public, c'est pas quelque chose dont on peut se servir pour paralyser le pays".
SUD n’est pas représentatif
Exceptionnelement puissant avec 33% des agents derrière lui, le syndicat extrémiste Sud-Rail n'est pourtant pas repésentatif au plan national et son emprise sur l'activité de la gare St Lazare pourrait faire illusion.
Jean-François Copé a également dénoncé l'attitude du syndicat Sud-Rail.
"Un certain nombre de responsables de ce syndicat en appellent à l'action totalement débridée avec parfois d'ailleurs -on l'a vu dans certains cas- des actions violentes".
Il a jugé "aberrant, dans un pays qui est confronté comme les autre à la crise économique, de voir des comportements aussi irresponsables de la part d'un certain nombre d'agents de la SNCF".
Estimant que le facteur à temps très partiel mène une lutte des classes désuète, J.-F. Copé ajoute que "ces attaques permanentes au nom de la lutte des classes d'il y a 100 ans ou 120 ans, ça me paraît complètement en décalage".
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