Combien la grève en détruit-elle ?
L’INSEE nous chiffrera-t-elle les dégâts occasionnés par la grève de jeudi ?
Pendant que l’opposition entrave et détruit
Instauré en octobre 2008, le dispositif de médiation du crédit aux entreprises a permis de préserver près de 30.000 emplois en France, précise un rapport d'activité rendu public lundi.
Dans 64% des cas, la médiation s'est soldée positivement.
Selon ce rapport, établi au 19 janvier, 4.439 entreprises ont saisi la structure, 4.054 dossiers ont été acceptés en médiation et près de la moitié (1.869) ont été instruits.
Au total, la médiation du crédit a permis de préserver 29.878 emplois, en confortant 1.198 entreprises dans la poursuite de leurs activités, indique le rapport d'activité.
Les banques prêtent, n'en déplaise à la gauche
> "Les banques jouent le jeu", a déclaré René Ricol, le médiateur du crédit nommé fin octobre par Nicolas Sarkozy, sans attendre le contre-plan de relance du PS..., même s'il a fait état d'"îlots" et de "poches" de résistance.
"Il y a des collaborateurs qui ont du mal à rentrer complètement dans le système", a-t-il dit lors d'une conférence de presse.
> Il a toutefois appelé (l’opposition et les media alignés) à ne pas "jeter l'opprobre" sur les banquiers, faisant état de "tensions" persistantes dans les relations entre les établissements bancaires et les entreprises.
"Nous avons des tensions du côté des entreprises qui ont du mal à comprendre que, certes il y a eu des pertes liées à la crise financière, mais que ça n'ouvre pas un droit absolu à crédit", a ajouté René Ricol.
Le rapport précise que 95% des entreprises en médiation ont moins de 50 salariés et 77% ont au plus dix salariés. Elles relèvent principalement des secteurs des services (28%), du commerce (31%), du BTP (22%), de l'industrie (16%) et de l'agriculture et de la pêche (3%).
Les encours de crédit traités en médiation sont inférieurs à 50.000 euros dans 61% des cas. Dans 13% des cas, ils sont compris entre 50.000 et 100.000 euros et, dans 7% des cas, ils sont supérieurs à 500.000 euros.
"Abus du ‘soutien abusif’…"
L’INSEE nous chiffrera-t-elle les dégâts occasionnés par la grève de jeudi ?
Pendant que l’opposition entrave et détruit
Instauré en octobre 2008, le dispositif de médiation du crédit aux entreprises a permis de préserver près de 30.000 emplois en France, précise un rapport d'activité rendu public lundi.
Dans 64% des cas, la médiation s'est soldée positivement.
Selon ce rapport, établi au 19 janvier, 4.439 entreprises ont saisi la structure, 4.054 dossiers ont été acceptés en médiation et près de la moitié (1.869) ont été instruits.
Au total, la médiation du crédit a permis de préserver 29.878 emplois, en confortant 1.198 entreprises dans la poursuite de leurs activités, indique le rapport d'activité.
Les banques prêtent, n'en déplaise à la gauche
> "Les banques jouent le jeu", a déclaré René Ricol, le médiateur du crédit nommé fin octobre par Nicolas Sarkozy, sans attendre le contre-plan de relance du PS..., même s'il a fait état d'"îlots" et de "poches" de résistance.
"Il y a des collaborateurs qui ont du mal à rentrer complètement dans le système", a-t-il dit lors d'une conférence de presse.
> Il a toutefois appelé (l’opposition et les media alignés) à ne pas "jeter l'opprobre" sur les banquiers, faisant état de "tensions" persistantes dans les relations entre les établissements bancaires et les entreprises.
"Nous avons des tensions du côté des entreprises qui ont du mal à comprendre que, certes il y a eu des pertes liées à la crise financière, mais que ça n'ouvre pas un droit absolu à crédit", a ajouté René Ricol.
Le rapport précise que 95% des entreprises en médiation ont moins de 50 salariés et 77% ont au plus dix salariés. Elles relèvent principalement des secteurs des services (28%), du commerce (31%), du BTP (22%), de l'industrie (16%) et de l'agriculture et de la pêche (3%).
Les encours de crédit traités en médiation sont inférieurs à 50.000 euros dans 61% des cas. Dans 13% des cas, ils sont compris entre 50.000 et 100.000 euros et, dans 7% des cas, ils sont supérieurs à 500.000 euros.
"Abus du ‘soutien abusif’…"
René Ricol s'est félicité par ailleurs de l'engagement des banques à ne pas invoquer, "sauf cas exceptionnel qui impliquerait un risque anormal pour l'établissement", la notion de "soutien abusif" pour justifier leur refus d'accorder un crédit.
Une banque peut en effet être tenue responsable par la loi d'avoir soutenu une entreprise en perdition et être assignée pour "soutien abusif".
"Nous avons tous décidé qu'en période de crise il fallait prendre plus de risques. Parce que quand on prend moins de risques, ça va moins bien", a déclaré René Ricol.
"Si on pense qu'une entreprise a un vrai potentiel et que nous serons heureux en France de l'avoir à la sortie de crise parce qu'elle sera une source de développement et d'emplois, évidemment on va la sauver. La notion de soutien abusif ne fait pas sens", a-t-il ajouté.
Une banque peut en effet être tenue responsable par la loi d'avoir soutenu une entreprise en perdition et être assignée pour "soutien abusif".
"Nous avons tous décidé qu'en période de crise il fallait prendre plus de risques. Parce que quand on prend moins de risques, ça va moins bien", a déclaré René Ricol.
"Si on pense qu'une entreprise a un vrai potentiel et que nous serons heureux en France de l'avoir à la sortie de crise parce qu'elle sera une source de développement et d'emplois, évidemment on va la sauver. La notion de soutien abusif ne fait pas sens", a-t-il ajouté.
De son côté, Georges Pauget, président de la Fédération bancaire française (FBF), a réaffirmé que les banques jouaient "clairement le jeu du financement de l'économie", faisant valoir un "accroissement d'encours de 9%" en novembre 2008 par rapport à novembre 2007.
"Si on regarde ce qui se passe dans le reste de l'Europe, on s'aperçoit que les banques françaises ont une progression de leurs crédits à l'économie supérieure de 1% par rapport aux autres pays", a-t-il dit.
Les assureurs se mobilisent aussi
René Ricol a en outre annoncé la signature d'une convention de partenariat entre le médiateur du crédit et les principaux assureurs-crédit avec pour objectif de faciliter l'accès à l'assurance-crédit aux entreprises et permettre un traitement efficace des dossiers en médiation.
Encore des accords socio-professionnels
Enfin, un accord a été conclu entre l'ensemble des organisations socio-professionnelles d'une part - la CGPME, le Medef et l'Union professionnelle artisanale - et les chambres de métiers et de commerce d'autre part sur l'instauration d'un réseau de "tiers de confiance".
Ces personnes seront chargées au niveau local d'aider les entreprises à préparer leurs dossiers de médiation et devront s'assurer que celles-ci tiennent leurs engagements en échange des aides des banques, a précisé René Ricol.
L’opposition ne réussira à saboter les efforts entrepris que si les Français se laissent berner par la gauche, qu'elle soit politique, syndicale ou médiatique.
A commencer en résistant aux appels à la grève jeudi 29.
"Si on regarde ce qui se passe dans le reste de l'Europe, on s'aperçoit que les banques françaises ont une progression de leurs crédits à l'économie supérieure de 1% par rapport aux autres pays", a-t-il dit.
Les assureurs se mobilisent aussi
René Ricol a en outre annoncé la signature d'une convention de partenariat entre le médiateur du crédit et les principaux assureurs-crédit avec pour objectif de faciliter l'accès à l'assurance-crédit aux entreprises et permettre un traitement efficace des dossiers en médiation.
Encore des accords socio-professionnels
Enfin, un accord a été conclu entre l'ensemble des organisations socio-professionnelles d'une part - la CGPME, le Medef et l'Union professionnelle artisanale - et les chambres de métiers et de commerce d'autre part sur l'instauration d'un réseau de "tiers de confiance".
Ces personnes seront chargées au niveau local d'aider les entreprises à préparer leurs dossiers de médiation et devront s'assurer que celles-ci tiennent leurs engagements en échange des aides des banques, a précisé René Ricol.
L’opposition ne réussira à saboter les efforts entrepris que si les Français se laissent berner par la gauche, qu'elle soit politique, syndicale ou médiatique.
A commencer en résistant aux appels à la grève jeudi 29.
Je me doute bien que je ne serait publier.
RépondreSupprimerla greve ne detruit aucun emplois. les emplois sont detruit pas l'appat du gain, des profits, de gagner plus au detriment des ouvriers. alors si tu veux parler de cela pas de soucis, je suis dispo. vous etes vraiment la honte de l'humanité, vous les capitaliste une vrai honte
Réponse à anonyme...
RépondreSupprimer1/
Toutes les victimes des Dictatures (dans l'histoire et actuellement, essentiellement de Gauche extrême, de Cuba à à la Corée du Nord, de la Roumanie de Ceauşescu sans oublier les dictatures religieuses extrêmistes) aimeraient sans le moindre doute vivre sous un méchant régime capitaliste aussi inhumain que la République Française; malheureusement, ces victimes de la véritable Dictature, notamment des "Camarades" Communistes (et asosciés), n'ont même pas droit au rêve, ni même simplement accès à des informations sur l'extérieur qui leur permettraient de rêver, puisque toute la presse, contrôlée par la Dictature (contrairement à la France, où ce sont les syndicats de Gauche qui contrôlent autoritairement les media), ne leur donne de l'extérieur que la vision d'un enfer capitaliste, "honte de l'humanité".
Curieusemement, jamais un seul des chantres de la Camaraderie Socialo-Communisto-Anarchiste (de Cohn-Bendit à Bensancenot, de Buffet à ) ne séjourne là-bas.
Par contre, comme leurs Camarades Dictateurs, ils adorent se parer de bijoux en or, se chausser de souliers à 10000 euros la paire (ou 20000 euros? je ne suis pas le cours de la chaussure de luxe), et rédiger leur pamphlets "Je n'aime pas les riches sauf mon copain Pierrot" et "Je mange des épluchures de pommes de terre trouvées dans le caniveau entre deux louches de caviar" en changeant de stylo à 18000 euros à chaque paragraphe.
2/
Ce que les Camarades du Parti n'ont visiblement pas non plus dit à Anonyme, et que des Camarades professeurs d'Histoire, entre trois grèves, ne lui ont jamais enseigné (ou alors il n'écoutait pas), c'est que les Dictatures de Staline, Mao et compagnie n'ont toujours été un succès financier que pour Staline, Mao et compagnie et leurs familles-- pas pour "le petit peuple".
La misère, les pièces détachées manquantes, les files d'attente, la bureaucratie inhumaine, étaient le lot des "Camarades Travailleurs".
De la même manière, en France, les Laguillet, Thibaut, Besancenot et Aschieri, et leurs représentants locaux, sont bien loin de se tuer à la tâche, grâce aux "décharges syndicales"; pendant que leurs collègues, véritables travailleurs, travaillent réellement et font le travail qu'ils ne font pas, ils passent leur temps entre eux à préparer les mensonges, manifestations, grèves et sabotages suivants, pour empêcher les "Camarades prolétaires" de gagner leur vie ou de la vivre.
( Un exemple de gros mensonge qui fait plaisir aux naïfs-qui-veulent-bien-l'être: prendre les profits de Total pour les donner aux "Camarades"; d'abord, c'est un acte que seul Dictateur peut imaginer et accomplir, puisque Total est une entreprise privée, donc ses fonds ne sont pas publics; ce serait donc une confiscation autoritaire-- un vol, pour être encore plus clair; ensuite, sans ces profits, l'entreprise ferait faillite, et tous les Camarades Travailleurs qu'elle emploie seraient à la rue.)
3/
Les propos régurgités par Anonyme illustrent bien la propagande de la Gauche haineuse qui-n'aime-pas-les-riches-sauf-quand-les-riches-sont-de-Gauche-et-l'engraissent et qui ne connaît strictement rien à la réalité des "travailleuses, travailleurs" qu'elle mentionne sans jamais les côtoyer.
Le salaire de bien des "prolétaires" dépend de leur présence au travail.
Lorsque ses syndicats de Gauche bloquent l'accès à des transports, qui ne leur appartiennent pas mais appartiennent à tous (et encore plus aux autres qu'à eux, puisque les vrais travailleurs paient leurs titres de transport), font des grèves à rallonge pour un rien, puis des grèves officieuses, et en plus détruisent le matériel par des actes terroristes mettant véritablement en danger la vie des "Camarades travailleurs", des milliers de personnes ne peuvent aller travailler.
Une fois, cela peut aller-- et encore, pas dans tous les cas. Deux fois, trois fois, une semaine, deux mois, ..., non: une entreprise, quelle qu'elle soit, surtout petite, ne peut se permettre de payer des employés qui ne font rien, et de rester vide.
Ce n'est pas par avarice, mais parce qu'il est évident qu'une entreprise ne peut pas survivre en payer des employés à ne rien faire (un concept que la Gauche des "35 heures payées 39 aujoud'hui, 25 heures payées 50 demain" ne veut pas admettre), en n'honorant pas les commandes qui lui ont éété payées.
Au bout d'un moment, plusieurs entreprises font faillite ou sont obligées de licencier.
Il y a quelques années, les grèves et actes de violences d'intermittents du spectacle lors de nombreux festivals consécutifs ont eu pour conséquence la ruine et la fin totale, définitive, irrémédiable de festivals-- et donc des emplois qui allaient avec.
De même, les vrais Travailleurs ne peuvent pas se permettre de "prendre des RTT" les jours de grèves et de partir dans un club de vacances privé au frais du pote milliardaire Pierre Bergé ou dans l'une de leurs villas.
Et lorsqu'en plus les Maires de Gauche bafouent la Loi et jettent à la rue les enfants des Ecoles Primaires (sauf ceux de leurs familles, évidemment; on trouve des employés pour les garder, comme on trouve des employés le Dimanche pour garder les urnes et recompter les bulletins pour les élections du PS), les "Camarades Prolétaires" sont obligés de payer encore en plus quelqu'un pour garder leurs enfants, ou de perdre des journées de salaire pour rester à la maison.
Ce n'est pas le méchant Gouvernement qui est responsable: c'est lui qui a instauré cette mesure-- en généralisant à la France entière une disposition dont bénéficiaient uniquement les privilégiés de quelques communes socialistes.
Ce sont les Partis de Gauche qui poussent l'inhumanité jusqu'à mettre dans la rue des enfants (dont leurs enseignants syndiqués refusent déjà en temps normal de les éduquer, en leur enseignant et en leur prodiguant les heures de soutien gratuites instaurées par... la Droite).
Qui sont les seules personnes au monde à prendre les enfants en otage, s'en sert comme boucliers humains, les envoie dans la rue et ruine leurs vies?
Les terroristes et les Partis et Syndicats de Gauche français-- l'unique différence, c'est qu'ils n'envoient pas les enfants se faire exploser (par contre, leurs Camarades sabotent les voies ferrées dans le but de faire dérailler des trains et de massacrer des centaines d'innocents de tous âges).
Oui, les grèves ruinent des milliers de personnes-- mais surtout pas "les méchants riches", puisqu'il y en a bien trop qui sont de Gauche et qui seraient affectés.
Ce n'est pas Pierre Bergé qui est gêné pour se rendre au bureau lorsque les bus, les métros et les trains ne fonctionnent pas; ce ne sont pas Martine Aubry et Marie-Georges Buffet qui perdent de l'argent parce qu'elles sont bloquées; ce ne sont pas Mrs Montebourg et Mamère qui devront faire des sacrifices financiers supplémentaires pour faire garder des enfants dans leurs familles.
Les seules personnes touchées, ce sont les millions de véritables travailleurs, qui savent ce que c'est que de travailler réellement.
Leurs journées souvent déjà dures sont rendues infiniment plus pénibles lorsqu'elles doivent se lever à 4 heures du matin pour avoir peut-être une chance d'éventuellement réussir à monter dans un hypothétique train et ne parviennent pas à rentrer avant minuit, parfois en ayant dû payer très cher un taxi qui aura été bloqué trois heures dans les embouteillages.
Ca, les dirigeants de Partis et Syndicats de Gauche ne savent pas ce que c'est-- et ils s'en réjouissent: leur but est effectivement de bloquer les petites gens, le "petit peuple" dont ils se prétendent proche, en espérant créer "un vent de violence", de révolution, pour prendre le pouvoir par la force, force d'idées et de propositions valables qui leur permettraient d'être élus (sans trucage).
4/
Pour résumer simplement (les solgans de la Gauche sont simples pour que les ilettrés qu'elle fabrique à l'école puissent les compr-- les réciter):
a/ Gouvern-- Dictatures de Gauche: toutes des échecs, toutes sanguinaires, toutes sans la moindre liberté.
b/ Si une usine ne travaille pas pendant plusieurs mois (1 jour + 1 jour + 1 semaine + ... = beaucoup), elle fait faillite.
c/ A l'échelle du pays, c'est pareil.
d/ A l'échelle individuelle, kif kif.
e/ Comme dans les Dictatures qu'ils vénèrent, les dirigeants de Gauche et leurs "potes intouchables" milliardaires, sont les seuls qui ne sont absolument pas affectés par ces grèves.
f/ Les grandes victimes, qui s'usent la santé et perdent de l'argnt, ce sont les soit-disant sacro-saints frères "Camarades Travailleuses et Travailleurs".
Si vous désirez une preuve concrète, Anonyme, vous pouvez faire une expérience très simple avec une dizaine de vos Camarades du Parti-Syndicat-Secte:
(1) Bloquez une rue commerçante de votre quartier pendant une semaine
(2) Expliquez aux commerçants que vous bloquez l'accès à leurs livreurs et à leurs clients, que vous saccagez leurs boutiques et détruisez leurs véhicules pour les défendre car les méchants capitalistes (dont ils font partie) vont "les tuer" et "vous tuer", et que vous voulez utiliser leurs enfants comme otages et boucliers humains
(3) Quand, après dix minute de blocage et vos explications, ils vous auront cassé la figure, n'oubliez pas de leur rembourser les dégâts (avec un complément, en présentant vos excuses), puis envoyez la facture à votre Parti-Syndicat
(4) il va de soit (?) que ce que je recommande ci-dessus n'est qu'une expérience purement théorique; la responsabilité est entièrement vôtre si vous avez la bêtise de la faire concrètement-- comme ce sera déjà le cas demain, sur ordre du Parti/Syndicat...
J'espère que les Français auront l'intelligence de se souvenir de ce que vous leur aurez infligé injustement et de vous présenter la note à toutes les élections futures-- c'est le principe dans les grandes Démocraties comme la France: la menace, la violence et le blocage des institutions démocratiques sont les modes d'action des Partis Autoritaires désirant instaurer ou maintenir une Dictature.
Un seul mot à vous, Bob, BRAVO.
RépondreSupprimerQuant à Anonyme, qu'il devienne créateur d'entreprise (tout le monde peut le faire ! il suffit d'être travailleur et courageux)qu'il crée des emplois, qu'il prenne des cours de comptabilité... pour comprendre un bilan et un compte de résultat ; ensuite il pourra parler et on verra alors ce qu'il en pense !
Mary