Julien Dray lui inspire "de la sympathie" !
Le ministre du Budget ne peut imaginer que l'organisme d'enquête sur le blanchiment d'argent ait pu communiquer à la presse des informations confidentielles concernant une enquête sur le député socialiste. Il le disait dimanche 25 janvier sur Radio-J.
> Eric Woerth l’a écrit aux avocats du parlementaire socialiste et ségolénien suspecté d’abus de confiance et de corruption dans une enquête préliminaire en cours, précisant qu'il avait répondu à un courrier des avocats de Julien Dray aux ministères de l'Economie et du Budget, qui sont en charge de l'organisme Tracfin.
Dans cette réponse, Eric Woerth a souhaité "leur dire que tout cela relevait de la loi, que Tracfin fonctionnait selon des procédures extrêmement précises et qu'évidemment nul ne pouvait penser un instant que Tracfin était à l'origine de ces fuites".
>"Je regrette et condamne absolument ces fuites, c'est tout à fait anormal", a d’une part déclaré Eric Woerth. Il assure également qu'il n'y a eu "aucune fuite" de l'organisme Tracfin dans l'enquête pour abus de confiance concernant le député socialiste Julien Dray.
> Le ministre du Budget estime d’autre part "qu'"il n'y a aucune fuite chez Tracfin", qui "a fait son métier" en transmettant à la justice les éléments réunis après signalement par les banques. "Nous enquêtons", a-t-il précisé.
’Tout le monde il est bon, tout le monde il est gentil’
> Tracfin est "un organisme sérieux qui est là pour lutter contre le blanchiment" et "qui ne s'amuse pas à communiquer à la presse des documents qu'il communique à la justice", a assuré Eric Woerth, comme s’il pouvait se porter garant de tout le personnel, et en particulier des militants syndicalistes.
> Il a ajouté qu'il avait "de la sympathie" pour Julien Dray. "L'enquête préliminaire conduira ou pas à éclaircir cela", "je l'espère pour Julien Dray", a-t-il dit. "Tracfin n'est pas là pour savoir si quelqu'un est sympathique ou pas, il regarde des faits", a-t-il toutefois ajouté…
Le ministre du Budget ne peut imaginer que l'organisme d'enquête sur le blanchiment d'argent ait pu communiquer à la presse des informations confidentielles concernant une enquête sur le député socialiste. Il le disait dimanche 25 janvier sur Radio-J.
> Eric Woerth l’a écrit aux avocats du parlementaire socialiste et ségolénien suspecté d’abus de confiance et de corruption dans une enquête préliminaire en cours, précisant qu'il avait répondu à un courrier des avocats de Julien Dray aux ministères de l'Economie et du Budget, qui sont en charge de l'organisme Tracfin.
Dans cette réponse, Eric Woerth a souhaité "leur dire que tout cela relevait de la loi, que Tracfin fonctionnait selon des procédures extrêmement précises et qu'évidemment nul ne pouvait penser un instant que Tracfin était à l'origine de ces fuites".
>"Je regrette et condamne absolument ces fuites, c'est tout à fait anormal", a d’une part déclaré Eric Woerth. Il assure également qu'il n'y a eu "aucune fuite" de l'organisme Tracfin dans l'enquête pour abus de confiance concernant le député socialiste Julien Dray.
> Le ministre du Budget estime d’autre part "qu'"il n'y a aucune fuite chez Tracfin", qui "a fait son métier" en transmettant à la justice les éléments réunis après signalement par les banques. "Nous enquêtons", a-t-il précisé.
’Tout le monde il est bon, tout le monde il est gentil’
> Tracfin est "un organisme sérieux qui est là pour lutter contre le blanchiment" et "qui ne s'amuse pas à communiquer à la presse des documents qu'il communique à la justice", a assuré Eric Woerth, comme s’il pouvait se porter garant de tout le personnel, et en particulier des militants syndicalistes.
> Il a ajouté qu'il avait "de la sympathie" pour Julien Dray. "L'enquête préliminaire conduira ou pas à éclaircir cela", "je l'espère pour Julien Dray", a-t-il dit. "Tracfin n'est pas là pour savoir si quelqu'un est sympathique ou pas, il regarde des faits", a-t-il toutefois ajouté…
> 'Julien Dray : la droite l’aime, la gauche non plus'
Les socialistes ont lâché le député de l’Essonne. La droite le défendrait presque. C’est ce qu’affirme un article de Marianne, langue de pute.
Mais Pierre Bergé l'a-t-il abandonné à son sort? (Lire l'article suivant de PaSiDupes )
Quel que soit le cas (détournement de fonds, meurtre, ...), quelle soit l'affaire, quelle que soit le personne, sa notoriété ou non, son affiliation politique, ..., toutes ces "fuites" sont inadmissibles, et peuvent être extrêmement dommageables pour l'enquête et les personnes concernées.
RépondreSupprimerCe que je condamne, c'est l'hypocrisie de la Gauche, qui condamne les "fuites" la concernant, au nom de "le respect de la personne humaine et du principe d'innocence", mais approuve (et même, ne soyons pas naïf, organise) toutes celles concernant la Droite (s'il n'y à rien à laisser filtrer, pas de problème, on fabrique un faux "SMS") au nom de "la liberté de la presse" et de "la liberté d'expression et d'information" .
Par ailleurs, dans le cas de Mr Dray, les journalistes ne pouvaient pas ignorer son goût pour les objets de luxe.
Cette passion est naturellement un droit qu'il serait absurde de lui reprocher; tout le monde aime les belles choses (voitures, maisons, ...); je n'éprouve pas de haine envers ceux qui ont les moyens d'aller au-delà du rêve (contrairement à Mr Hollande, qui a déclarait "déteste[r] les riches").
Le double problème, c'est, d'une part, la manière dont ces objets ont été acquis, qui fait depuis longtemps l'objet d'enquêtes, et d'autre part, la mauvaise foi inadmissible de Mr Dray et ses camarades, qui reprochaient à Nicolas Sarkozy de porter des lunettes de soleil Ray-Ban et une montre qu'on lui avait offerte-- si c'est lui, c'est "une insulte aux Français" (Ségolène Royal) parce qu'il est de Droite, mais si c'est Julien Dray, c'est bien parce qu'il est de Gauche.
De plus, les journalistes (97% de Gauche-- oui, je me répète, mais face à la propagande mensongère constante, il faut rappeler la vérité régulièrement) ne pouvaient pas ignorer les goûts et contradictions de Julien Dray, grand soutien de l'"ex candidate" à tout, et grand manipulateur des écervelés des Lycées et Universités.
Pourquoi n'avoir rien dit?
Par ordre et par peur, sans nul doute-- tout comme ils se firent les complices des mensonges du Président Mitterrand durant des années.
Pourquoi tout révéler maintenant?
Sans doute parce les journalistes servent les Partis de Gauche aveuglèment et font tout pour leur plaire; tant que telle faction domine, elle est intouchable; si une faction adverse l'emporte, on fait tout pour lui plaire-- comme tout "balancer" sur les déchus.
Combien de sales petits secrets de la Gauche les journalistes taisent-ils encore, mais gardent dans leurs archives au cas où, pour s'attirer les bonnes grâces du dirigeant suivant?
Un exemple...
Le Canard Enchaîné révéla que le principal conseiller de la Ministre du Logement bénéficiait d'un très appartement à un loyer ridicule dans des logements de la Ville de Paris.
C'était effectivement très anormal et honteux; la démission et le déménagement étaient normal.
Question: puisque le journal avait la liste des personnes bénéficiant de tels avantages, pourquoi ne l'avoir pas publiée, comme à leur habitude?
Question: était-ce parce que l'on y aurait compté beaucoup plus de politiciens et confrères de Gauche que de Droite?
Les journalistes et les media dans leur ensemble, les "humoristes", mais aussi tous les citoyens de France bénéficient d'une immense liberté, car ce pays est une grande démocratie, et le Gouvernement actuel est un grand démocrate, respectueux des libertés-- des mesures et propositions viennent même d'être annoncées pour soutenir cette presse qui hurle tellement à la mort et se prétend victime d'un "dictateur" sanguinaire qui veut "tuer" tout le monde.
Malheureusement, les journalistes (entre autres) font le pire usage qui soit de cette liberté si précieuse: à des fins politiques, ils cachent des faits, en déforment d'autres, en inventent certains, pour protéger leurs "Camarades" et démolir la Droite, par haine.
C'est la pire insulte à la liberté d'expression.