Gilles de Robien avait invité, hier, Jean-Louis Borloo, André Santini et Jean-Marie Bockel à débattre de l’avenir du centre.
En réunissant son association Société en Mouvement quatre jours avant le congrès fondateur du MoDem, Gilles de Robien (ci-contre) a voulu démontrer à François Bayrou que «le rassemblement du centre» ne pouvait se réaliser qu’au sein de la majorité. «Nous sommes plusieurs à rêver d’une nouvelle UDF alors que, hélas, la candidature de François Bayrou à la présidentielle a massacré l’UDF», a-t-il assuré hier avant l’ouverture du débat, fustigeant à la fois l’autoritarisme et l’obstination de celui qui a sacrifié l’UDF à son ambition personnelle.
Le décor choisi – le Théâtre de Neuilly, fief de Sarkozy – et la liste des invités de l’ancien ministre UDF de l’Éducation illustrent son projet: «Reconstituer un grand centre ouvert à tous ceux qui partagent nos valeurs et s’inscrivent dans la majorité.» Longtemps fidèle à villepin, Robien a vu son retour en grâce consacré par sa nomination d’ambassadeur à l’Organisation internationale du travail - OIT (lien Wikipedia ILO). Signe supplémentaire de la bienveillance présidentielle, c’est David Martinon, porte-parole de l’Élysée et candidat à la mairie de Neuilly, qui devait introduire les débats hier soir.
Société en Mouvement (lien Wikipedia) s’inscrit donc clairement dans la majorité, comme le Nouveau Centre, même si Gilles de Robien n’a pas souhaité y adhérer. Hervé Morin (ci-contre) et les ex-bayrouistes ralliés à Sarkozy entre les deux tours de la présidentielle revendiquent leur ancrage au centre droit. L’ancien maire d’Amiens, Gilles de Robien,qui briguera un nouveau mandat à la tête d’une liste de «très large rassemblement» où figurera «au moins un socialiste» en mars prochain, voit plus loin. Il estime que l’ouverture sarkozyste rend possible la «réunion des centres», sous une forme qu’il laisse à d’autres le soin de définir. «Une confédération serait envisageable, a-t-il confié hier au Figaro. Encore faudrait-il que tout le monde le veuille.»
Robien s’adresse aux adhérents du Nouveau Centre, représenté notamment hier par le secrétaire d’État à la Fonction publique André Santini (ci-contre). et sa collègue chargée de la Solidarité, Valérie Létard. Mais c’est aussi le Parti radical (Radicaux valoisiens), dont le président, Jean-Louis Borloo devait être également présent, et enfin la Gauche moderne de Jean-Marie Bockel (ci-contre, à droite) . Gilles de Robien avait prévu d’interpeller publiquement le secrétaire d’État à la Coopération, hier soir, en lui demandant : «Pourquoi n’es-tu pas au centre ?» «Quelle que soit sa réponse, confiait-il avant le début de la soirée, je lui dirai que nous continuerons à travailler ensemble.»
Société en Mouvement revendique 2 000 adhérents, ce qui place l’association loin derrière le Nouveau Centre et surtout derrière les radicaux valoisiens, du centre droit. Dans la course à la réunification du centre, Jean-Louis Borloo (ci-contre, à gauche), a d’ailleurs pris une longueur d’avance en entamant un dialogue avec Jean-Michel Baylet, président du Parti radical (PR), ci-contre à droite, de gauche. PRG et valoisiens envisagent de présenter «quelques listes communes, à titre d’expérimentation, aux prochaines municipales».
Le décor choisi – le Théâtre de Neuilly, fief de Sarkozy – et la liste des invités de l’ancien ministre UDF de l’Éducation illustrent son projet: «Reconstituer un grand centre ouvert à tous ceux qui partagent nos valeurs et s’inscrivent dans la majorité.» Longtemps fidèle à villepin, Robien a vu son retour en grâce consacré par sa nomination d’ambassadeur à l’Organisation internationale du travail - OIT (lien Wikipedia ILO). Signe supplémentaire de la bienveillance présidentielle, c’est David Martinon, porte-parole de l’Élysée et candidat à la mairie de Neuilly, qui devait introduire les débats hier soir.
Société en Mouvement (lien Wikipedia) s’inscrit donc clairement dans la majorité, comme le Nouveau Centre, même si Gilles de Robien n’a pas souhaité y adhérer. Hervé Morin (ci-contre) et les ex-bayrouistes ralliés à Sarkozy entre les deux tours de la présidentielle revendiquent leur ancrage au centre droit. L’ancien maire d’Amiens, Gilles de Robien,qui briguera un nouveau mandat à la tête d’une liste de «très large rassemblement» où figurera «au moins un socialiste» en mars prochain, voit plus loin. Il estime que l’ouverture sarkozyste rend possible la «réunion des centres», sous une forme qu’il laisse à d’autres le soin de définir. «Une confédération serait envisageable, a-t-il confié hier au Figaro. Encore faudrait-il que tout le monde le veuille.»
Robien s’adresse aux adhérents du Nouveau Centre, représenté notamment hier par le secrétaire d’État à la Fonction publique André Santini (ci-contre). et sa collègue chargée de la Solidarité, Valérie Létard. Mais c’est aussi le Parti radical (Radicaux valoisiens), dont le président, Jean-Louis Borloo devait être également présent, et enfin la Gauche moderne de Jean-Marie Bockel (ci-contre, à droite) . Gilles de Robien avait prévu d’interpeller publiquement le secrétaire d’État à la Coopération, hier soir, en lui demandant : «Pourquoi n’es-tu pas au centre ?» «Quelle que soit sa réponse, confiait-il avant le début de la soirée, je lui dirai que nous continuerons à travailler ensemble.»
Société en Mouvement revendique 2 000 adhérents, ce qui place l’association loin derrière le Nouveau Centre et surtout derrière les radicaux valoisiens, du centre droit. Dans la course à la réunification du centre, Jean-Louis Borloo (ci-contre, à gauche), a d’ailleurs pris une longueur d’avance en entamant un dialogue avec Jean-Michel Baylet, président du Parti radical (PR), ci-contre à droite, de gauche. PRG et valoisiens envisagent de présenter «quelques listes communes, à titre d’expérimentation, aux prochaines municipales».
La mollesse du PS et ses commentaires stériles et bêtes et méchants ont fait des ravages dans le paysage politique…
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