Brigitte Bardot flingue Nicolas Hulot
Brigitte Bardot a vivement critiqué le "bon à rien" sur Twitter
L'actrice a qualifié de "lâche" le ministre de la Transition écologique. Ce dernier lui a adressé une réponse cinglante.
L'icône du cinéma international a dit ce week-end sa façon de penser au ministre pusillanime, le qualifiant de "trouillard" à propos de la chasse. Elle l'a d'ailleurs appelé à sa démission.

Après avoir été reçue par Emmanuel Macron en juillet, elle a même suggéré un nom pour le remplacer, celui de Yannick Jadot, député écologiste européen. L'entretien a visiblement déplu au 3e personnage du gouvernement Philippe.
Dans un tweet publié dimanche, Brigitte Bardot a affirmé avoir reçu un appel "d'un Nicolas Hulot en rage, en me traitant de lâche, de mielleuse vis-à-vis du Président" Macron. D'après son tweet, BB affirme que Nicolas Hulot lui aurait dit qu'il était impuissant car ses dossiers étaient "bloqués par l'Elysée".
Les propos privés expriment la pensée réelle des hommes publics

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"Mais enfin, où est la lâcheté quand on injurie à distance tranquillement de sa propriété tropézienne et qu'on fait de la démagogie sur les animaux?", s'est indigné dans des déclarations à France Info (Radio France) le ministre millionnaire aux six voitures, en "face-à-face" par ...téléphone. "Il y a un moment ou un autre où il faut arrêter de céder à la simplicité, de donner des conseils à distance, tout ça avec vue sur la Méditerranée, a-t-il commenté depuis sa propriété bretonne 1.610 000 euros lors de son acquisition en 2004 (sans compter 800.000 € de travaux réalisés par la suite), à Saint-Lunaire, sur la côte d’Emeraude, sur la Manche. C'est très sympathique, mais ça ne fait pas avancer la cause", a polémiqué le cachottier qui a fait des omissions dans sa déclaration de situation patrimoniale déposée en décembre 2017. "Je ne supporte plus les démagos de tout poil", a martelé le chatouilleux ministre, inconscient d'un possible retour de boomerang.
Par ailleurs, en sommeil depuis le printemps 2009, le dossier a été enterré en 2010. Le président du Conseil général, Eric Ciotti, a annoncé, parmi d’autres mesures d’économies, l’abandon du projet d’implantation au fort de la Revère de la fondation de Nicolas Hulot.
L'ours et la louve s'affrontent

Dans une entretien au Monde en janvier, elle avait ensuite affirmé avoir plongé dans une "détresse indicible" après la décision de ministre "d'autoriser l'abattage de 40 loups", assurant lui avoir "écrit en le traitant de tous les noms".
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