Un ministre de l'Intérieur qui ne maîtrise pas ses nerfs
C'est un Manuel Valls tendu qui croisa Pierre Lellouche
Un peu républicain, mais très agressif... |
député UMP de Paris et ancien ministre, dans les couloirs de l’Assemblée nationale, mardi 4 février, peu avant la séance des Questions au gouvernement qui promettait de "ne pas être calme", selon la presse, c'est-à-dire agitée.
Lellouche revint sur cette référence déplacée aussi bien qu'injuste aux années 30:
"Tu y es allé un peu fort dans ton interview, on n’est pas le 6 février 1934 !"
La réponse de Manuel Valls fut concise, mais verte :
"Je t’emmerde !"
Interloqué, Pierre Lellouche riposte sur le même ton :
"La réciproque est vraie. Je t’emmerde aussi. On n’est pas le 6 février 1934."
Pierre Lellouche confirme la brutalité de l'échange et partage son indignation avec Europe 1 quelques heures plus tard:
"Jamais en vingt ans de politique on ne m’a parlé avec une telle violence.On ne parle pas comme ça à un député, à un ancien ministre !"
P. Lellouche observe un "raidissement idéologique inouï" au sein du gouvernement
"Tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux sont des factieux, des fascistes, c’est intolérable."
Témoin de l'échange, un autre député UMP confirmel'intégralité de l'échange, parlant d'une "altercation virile", signe, selon lui "d’un mauvais climat politique".
L’entourage de Manuel Valls n’a pas souhaité communiquer, ni par mails, ni textos, ni DM (message privé sur Twitter).
La "république du respect" n'est pas au rendez-vous du changement socialiste.
Il est grand temps pour lui et tous les sbires de la Gauche, d'aller se reposer. Ils sont tous psy
RépondreSupprimerIl est grand temps pour lui et tout ce gouvernement gaucho d'aller se reposer avant que ça ne dégenère. Ce sont tous des psy; Graaave
RépondreSupprimer