Ayrault viole la séparation des pouvoirs
et Valls les fonctions gouvernementales
Valls reconnaît que les manifestants de la Manif pour Tous étaient "de bonne foi"et "républicains"
Pour autant, est-il lui-même "républicain" et "de bonne foi"?
Alors que l'UMP dénonce les "mesures qui s'accumulent contre les familles et la politique familiale", le ministre de Ayrault a réagi avec sa brutalité naturelle, dénonçant dimanche l'apparition imaginaire d'un "Tea Party à la française" dans l'opposition et appelant la "droite républicaine" à se "démarquer clairement" de ce fantasme socialiste.
Puis il a amorcé une reculade, certifiant de sa propre autorité de simple ministre que ni la procréation médicalement assistée (PMA), ni la gestation pour autrui (GPA) ne seraient introduits dans la loi sur la famille par le biais d'amendements surprises, comme ce fut déjà le cas avec la loi Taubira instituant le mariage homosexuel contre la volonté d'une majorité de Français.
Le ministre de l'Intérieur outrepasse ses pouvoirs constitutionnels
Se comportant en vice-premier ministre, il s'est exprimé en lieu et place du sombre Ayrault. "Le gouvernement s'opposera à des amendements parlementaires. Il n'y aura pas la PMA ou la GPA dans la loi Famille" présentée en avril devant le Conseil des ministres, certifie sur RTL le ministre de l'Intérieur.
Matignon néglige la séparation des pouvoirs
Le chef bafoué du gouvernement se place au-dessus de la constitution. En réaffirmant sa primauté gouvernementale, Ayrault a annoncé lundi que le gouvernement s'ingérera dans le travail législatif en s'opposant à d'éventuels amendements parlementaires sur la gestation pour autrui (GPA) et la procréation médicale assistée (PMA) lors de l'examen du projet de loi sur la famille.
"Nous confirmons que le gouvernement s'opposera à d'éventuels amendements visant à légaliser en France la PMA et la GPA", a-t-on indiqué dans l'entourage du Premier ministre, précisant que le calendrier du projet de loi sur la famille n'était "pas arrêté".
Bruno Le Roux, chef de file des députés PS, avait rappelé le ministre de l'Intérieur au respect de la Constitution, de "la règle du jeu".
Sur de la docilité du Comité national d'éthique, il recommande à Valls d'attendre son avis pourtant simplement consultatif. Le président Hollande a en effet établi comme une règle de se retrancher derrière les conclusions des comités qu'il a créés ou dont il a renouvelé la composition à sa convenance pour imposer ses vues aux parlementaires.
Le Roux tient tête à Valls: "Je ne renonce à aucune ouverture de nouveaux droits pour les enfants de notre pays", a prévenu Le Roux.
Autrement dit, sans personne aux commandes, le pédalo de Hollande est secoué par de nouveaux remous, non seulement sur sa gauche, mais aussi dans sa majorité et au gouvernement.
tous ces politiques sont des menteurs........c'est bien entre autre la théorie du genre qui va être enseigné à nos gosses
RépondreSupprimerBruxelles s'en occupe pour l'Europe entiere................lisez, c'es édifiant
Tous se focalisent sur la pma et la gpa..............................Consulter le rapport LUNACEK qui va être voté en catimini a Bruxelles.....................personne n'informe les français, aucun politique, aucun journaleux...............Les gouvernements européens seront contraints d'appliquer cette loi si elle passe et elle va passer. Aller lire si la théorie du genre ne va pas être enseigné aux enfants................
http://www.aleteia.org/fr/societe/article/rapport-lunacek-nouvelle-menace-anti-famille-au-parlement-europeen-5223198379474944
le rapport en français
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-%2F%2FEP%2F%2FNONSGML%2BREPORT%2BA7-2014-0009%2B0%2BDOC%2BPDF%2BV0%2F%2FFR
Je crois que le vote c'est demain....................