Pain amer de Marie-Odile Ascher (Anne Carriere)
La révolution bolchevik avait fait fuir entre 4000 et 6000 émigrés qui s'étaient installés en France en 1920.
En 1947, Staline proposa aux russes blancs de les amnistier et de revenir au pays et nombre d'entre eux se laissèrent tromper par l'appel du dictateur soviétique.
Ce roman retrace l’épopée émouvante et tragique d’une de ces familles, l’histoire vraie des grand-parents de l'auteur.
Marina, l’héroïne, vit dans le sud de la France avec ses 7 frères et sœurs. Leur père est simple jardinier alors qu’il était cadre supérieur en Russie.
Elle a dix-neuf ans et vit un immense amour avec un étudiant en médecine. Elle a réussi son bac et veut devenir professeur d’anglais, mais son père l’oblige à partir en exerçant sur elle le pire des chantages. Il lui promet aussi qu’elle pourra rentrer dès que la famille sera correctement installée.
Le voyage et le cauchemar commencent, de Vence à la Volga, au Caucase puis en Crimée. Il va durer 30 ans.
Pain amer est le récit de ce voyage de retour et des premières années d'installation en URSS d'une jeune fille née et grandie en France.
Fondé sur une solide documentation historique, c'est aussi une réflexion sur la part de liberté dont l'Histoire nous prive, lorsque le destin des hommes est tributaire de régimes totalitaires, et qu'il nous faut reconquérir à force de pugnacité. C'est le récit bouleversant d’une jeune femme piégée dans une sombre manipulation de l’Histoire.
Depuis janvier 2011, date de sa parution, ni Libération, ni Le Nouvel Observateur n'en a parlé...
Allez savoir pourquoi ? Peut-être ce livre dérange-t-il l'idéologie du 'politiquement correct' .
La révolution bolchevik avait fait fuir entre 4000 et 6000 émigrés qui s'étaient installés en France en 1920.
En 1947, Staline proposa aux russes blancs de les amnistier et de revenir au pays et nombre d'entre eux se laissèrent tromper par l'appel du dictateur soviétique.
Ce roman retrace l’épopée émouvante et tragique d’une de ces familles, l’histoire vraie des grand-parents de l'auteur.
Marina, l’héroïne, vit dans le sud de la France avec ses 7 frères et sœurs. Leur père est simple jardinier alors qu’il était cadre supérieur en Russie.
Elle a dix-neuf ans et vit un immense amour avec un étudiant en médecine. Elle a réussi son bac et veut devenir professeur d’anglais, mais son père l’oblige à partir en exerçant sur elle le pire des chantages. Il lui promet aussi qu’elle pourra rentrer dès que la famille sera correctement installée.
Le voyage et le cauchemar commencent, de Vence à la Volga, au Caucase puis en Crimée. Il va durer 30 ans.
Pain amer est le récit de ce voyage de retour et des premières années d'installation en URSS d'une jeune fille née et grandie en France.
Fondé sur une solide documentation historique, c'est aussi une réflexion sur la part de liberté dont l'Histoire nous prive, lorsque le destin des hommes est tributaire de régimes totalitaires, et qu'il nous faut reconquérir à force de pugnacité. C'est le récit bouleversant d’une jeune femme piégée dans une sombre manipulation de l’Histoire.
Depuis janvier 2011, date de sa parution, ni Libération, ni Le Nouvel Observateur n'en a parlé...
Allez savoir pourquoi ? Peut-être ce livre dérange-t-il l'idéologie du 'politiquement correct' .
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