DSK aurait "un truc qui fait crac boum hue" !
La « chose », exception sexuelle française ?
Alors-là, attention ! Tous les Français n'ont plus l'esprit gaulois...
Interdiction donc, pour évoquer les ardeurs du coq, de se référer au latin 'gallus' qui désigne à la fois le coq et le Gaulois, car cela pourrait aggraver notre cas: le latin ne prouve rien et les défenseurs de la diversité sont toujours à l'affût pour nous fustiger et nous stigmatiser à la suite des Rom... Voudront-ils bientôt nous les couper ?
Allons donc vite nous réfugier outre-atlantique
Le diplomate américain Henry Kissinger
La « chose », exception sexuelle française ?
Alors-là, attention ! Tous les Français n'ont plus l'esprit gaulois...
Interdiction donc, pour évoquer les ardeurs du coq, de se référer au latin 'gallus' qui désigne à la fois le coq et le Gaulois, car cela pourrait aggraver notre cas: le latin ne prouve rien et les défenseurs de la diversité sont toujours à l'affût pour nous fustiger et nous stigmatiser à la suite des Rom... Voudront-ils bientôt nous les couper ?
Allons donc vite nous réfugier outre-atlantique
Le diplomate américain Henry Kissinger
Il nous ramène à la chose politique sans rompre avec l'autre et assure que "le pouvoir est l'aphrodisiaque absolu". Sans doute Raymond Barre en ferait-il douter, mais les politiques ressentent souvent le " syndrome du rocker " quand ils prononcent un discours. François Mitterand avait notamment l'impression de " faire l'amour à la foule " et Valery Giscard d'Estaing déclarait qu'il " était amoureux de 17 millions de Françaises " : pendant les discours, il cherchait toujours le regard des femmes. De Giscard, son premier ministre ne disait pas: « c'est le seul président dont on sait à peu près sûrement où il ne couche pas » .
Or, s'il est convenu d'affirmer qu'une femme de pouvoir effraie généralement les hommes, Edith Cresson se vécut en fait plutôt comme une usurpatrice à la fonction de premier ministre. Pareillement, il est le plus souvent admis que le " sex-appeal " d'un candidat est déterminant dans le vote des électrices, mais Lecanuet n'est-il pas retombé dans l'électorat avant d'atteindre le septième ciel politique ? Et l'infidélité des sondages de Désirdavenir Royal n'a-t-elle pas, par son échec, confirmé la saillie du président de l'UMP qui venait clore l'université d'été du Medef en 2006: " Une élection, ce n'est pas un concours de beauté " ?
Quelques indiscrétions françaises
Nous ne piperons mot ici de l'« affaire Lewinsky » qui valut au président Bill Clinton sa « Monicagate, ni des «affaires sexuelles» d'Al Gore, un autre démocrate US, car il faudrait citer des exemples sur le flanc Républicain, par souci d'équité et démontrer ainsi, d'une part que le sexe ne porte ni à droite ni à gauche, et d'autre part que ses 35 heures d'activité hebdomadaire ne plaident pas non plus en faveur de la prise en compte de sa pénibilité dans la pension de retraite de nos acteurs politiques.
Donc, pour nous rapprocher maintenant de l'Europe, évoquons toutefois les frasques à l'italienne du président du Conseil Silvio Berlusconi et l'affaire du « Rubygate ».
En France (métropolitaine !)
Le président Félix Faure, dont on a dit qu'il était plus célèbre par sa mort que par sa vie, mourut à l'Élysée en février 1899, à l'âge de 58 ans, dans les bras de sa maîtresse, Marguerite Steinheil dite « Meg », empoisonné par des dreyfusards (thèse reprise par Édouard Drumont (1844-1917) dans son journal La Libre Parole, un cachet empoisonné ayant été placé en effet parmi ceux que prenait le président).
On songe ainsi à Valéry Giscard d'Estaing qui convoitait la femme de Bokasa et que l'empereur a, dit-on, récupérée contre un diamant...
De plus, en 1974, un accident de la circulation impliquant le président Giscard, qui conduisait lui-même une voiture au côté d'une conquête, au petit matin dans une rue de Paris, avait fait les titres de la presse satirique.
A son tour, François Mitterrand, qui mena une double vie, peina-t-il à multiplier les liaisons entre 1981 et 1995, une fois arrivé à la présidence ?
Jacques Chirac était quant à lui surnommé « dix minutes, douche comprise », et ce hussard jouissait d'un solide appétit. Au milieu des années 70, Jacques Chirac vécut une aventure avec une capiteuse jeune reporter du journal Le Figaro. Elle se serait ensuite rabattue sur François Mitterrand... La directrice d'une galerie japonaise voisine de l'Elysée aurait suivi le même parcours. Ca crée forcément des liens entre rivaux !
Nul besoin de gagner leurs suffrages; ces dames adorent exercer leurs pouvoirs sur le pouvoir.
Le cas Royal est plus douloureux, voire tordu
On aurait attendu une affirmation convenue du type édifiant, « il faut être heureux en mariage pour faire carrière », mais elle déclara qu' "elle ne croit pas qu'il faut être malheureux en mariage pour faire carrière"... François Hollande, est allé tester la formule sous d'autres ciels de lits. Pour sauver ses attributs, à défaut de préserver ses droits à la course 2007 à l'Elysée, la queue entre les jambes, son compagnon a en effet laissé Sa Cynique Majesté Royal enfiler le pantalon et partir en campagne.
Mais puisqu'elle avait choisi de semer les graines de la discorde du féminisme, déclarant vouloir "mettre à bas le vieux modèle monarchique français", elle ne pouvait s'attendre à ne recevoir que des roses.
La présidente de Poitou Charente ne put donc éviter une contre-attaque de son propre concubin et la réponse à la menace fut taxée de machiste. Tandis qu'invité du "Grand Journal" de Canal + le mercredi 17 janvier 2007, le freluquet Arnaud Montebourg qualifiait François Hollande de "seul défaut" de la candidate socialiste, le camarade Laurent Fabius s'inquiéta en 2006 de savoir « Qui va garder les enfants ? », de François ou de sEGOlène.
Alors, faut-il avoir une grosse libido pour entrer en politique ou les hommes politiques tirent-ils toute leur puissance du pouvoir ?
Dans le prochain article, PaSiDupes « décryptera » la vie tumultueuse de Dominique Strauss-Kahn.
En sauront-nous plus ?
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