L'audovisuel s'impose en incrustation papier
Jeu de chaises musicales
Laurent Mouchard, dit Joffrin, prépare sa retraite en allant diriger un hebdomadaire, le Nouvel Observateur.
Jeu de chaises musicales
Laurent Mouchard, dit Joffrin, prépare sa retraite en allant diriger un hebdomadaire, le Nouvel Observateur.
Un quadra, Nicolas Demorant (ci-contre), va prendre la place laissée vide par le sexagénaire (en 2012) à la tête du quotidien Libération.
La hiérarchie des media
Fils de diplomate et normalien, agrégé de lettres modernes, Nicolas Demorand, né en 1971, a effectué la majeure partie de sa carrière dans l'audiovisuel. C'est un homme de radio venu de France Culture et France Inter (2006-2010) qui après 13 ans quitta le service public pour se donner au privé, à i>télé (Canal+) et Europe 1 (groupe Lagardère) où il était chef de tranche horaire depuis six mois. Il présente parallèlement une émission politique hebdomadaire sur France 5.
La presse papier vire à l'audiovisuel
Cette candidature atypique a été soumise par le conseil de surveillance et a recueilli 56,7% des suffrages, précise Libération. La participation au scrutin a atteint 81,1%.
Libération, qui procède actuellement à une recapitalisation, a dégagé un résultat net positif en 2010 et a vu sa diffusion nette payée progresser de 1,36% entre 2009 et 2010, précise Libération, qui ne semble pas pour autant sorti d'affaire, comme le révèlent la cure d'oxygénation financière en cours et l'injection de botox Demorant.
Comme Laurent Joffrin, Nicolas Demorant sera également co-président du directoire du journal aux côtés de Nathalie Collin, en poste depuis 2009, précise le journal.
La mort annoncée du papier
Ainsi, Libération s'est-il choisi un jeune patron susceptible de vendre du papier sur les ondes. Attendons-nous donc à le voir bondir d'un plateau à un autre, une sorte de Nicolas Domenach, en somme.
La hiérarchie des media
Fils de diplomate et normalien, agrégé de lettres modernes, Nicolas Demorand, né en 1971, a effectué la majeure partie de sa carrière dans l'audiovisuel. C'est un homme de radio venu de France Culture et France Inter (2006-2010) qui après 13 ans quitta le service public pour se donner au privé, à i>télé (Canal+) et Europe 1 (groupe Lagardère) où il était chef de tranche horaire depuis six mois. Il présente parallèlement une émission politique hebdomadaire sur France 5.
La presse papier vire à l'audiovisuel
Cette candidature atypique a été soumise par le conseil de surveillance et a recueilli 56,7% des suffrages, précise Libération. La participation au scrutin a atteint 81,1%.
Libération, qui procède actuellement à une recapitalisation, a dégagé un résultat net positif en 2010 et a vu sa diffusion nette payée progresser de 1,36% entre 2009 et 2010, précise Libération, qui ne semble pas pour autant sorti d'affaire, comme le révèlent la cure d'oxygénation financière en cours et l'injection de botox Demorant.
Comme Laurent Joffrin, Nicolas Demorant sera également co-président du directoire du journal aux côtés de Nathalie Collin, en poste depuis 2009, précise le journal.
La mort annoncée du papier
Ainsi, Libération s'est-il choisi un jeune patron susceptible de vendre du papier sur les ondes. Attendons-nous donc à le voir bondir d'un plateau à un autre, une sorte de Nicolas Domenach, en somme.
Vers un rejet de l'implant Demorant ?
Il n'est pas exclu que Demourand n'insupporte rapidement par son arrogante prolixité.
Il n'est pas exclu que Demourand n'insupporte rapidement par son arrogante prolixité.
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