Les syndicats ont pris le risque de négocier en situation de faiblesse
La CGT n'admet pas l'évidence de l'échec
La journée d'action interprofessionnelle sur l'emploi et les retraites à l'appel de six syndicats aurait, selon elle, rassemblé un million de manifestants dans toute la France, le jeudi 27, contre 800.000 (380.000, selon la police), le 23 mars. Les « décrypteurs » préfèrent ne pas argumenter.
Luc Chatel a noté que le taux de grévistes dans la fonction publique se situe "autour de 13%", c'est-à-dire "la moitié de ce qui s'est passé au dernier mouvement" le 23 mars. Le SNU-ipp (FSU), qui est toujours partant quelque soit le mot d'ordre, annonçait 33% de grévistes. Il n'a pu mobiliser que la moitié de ses enseignants du primaire.
"On a d'abord un mot d'ordre de grève qui est faiblement suivi, plus de la moitié par rapport au dernier mouvement de mars, et pour les défilés des chiffres comparables à la manifestation du 23 mars, très en retrait par rapport au grand mouvement de 2003" contre la réforme Fillon sur les retraites, a souligné le porte parole du gouvernement. "Tout ça est très en retrait par rapport à ce qu'on a connu, soit au moment des grandes manifestations sur les retraites en 2003, soit même plus récemment au tout début de l'année dernière, au plein coeur de la crise lorsqu'il y avait eu plus d'un million de personnes à deux reprises dans la rue", a-t-il affirmé.
Les Français souffrent de la sottise de leurs syndicats
A l'issue de cette journée de mobilisation "unitaire " du jeudi 27 qui devait être "massive", le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, également ministre de l'Education, a observé que la "faible mobilisation" enregistrée sur l'emploi et les retraites venait "valider la méthode du gouvernement" sur ce dernier dossier.
"Le gouvernement ne fait aucun triomphalisme mais cette mobilisation témoigne de la validité de sa méthode, faite d'écoute, de dialogue et de détermination pour mettre en marche une réforme juste et équilibrée", a-t-il ajouté.
La CGT n'admet pas l'évidence de l'échec
La journée d'action interprofessionnelle sur l'emploi et les retraites à l'appel de six syndicats aurait, selon elle, rassemblé un million de manifestants dans toute la France, le jeudi 27, contre 800.000 (380.000, selon la police), le 23 mars. Les « décrypteurs » préfèrent ne pas argumenter.
Luc Chatel a noté que le taux de grévistes dans la fonction publique se situe "autour de 13%", c'est-à-dire "la moitié de ce qui s'est passé au dernier mouvement" le 23 mars. Le SNU-ipp (FSU), qui est toujours partant quelque soit le mot d'ordre, annonçait 33% de grévistes. Il n'a pu mobiliser que la moitié de ses enseignants du primaire.
"On a d'abord un mot d'ordre de grève qui est faiblement suivi, plus de la moitié par rapport au dernier mouvement de mars, et pour les défilés des chiffres comparables à la manifestation du 23 mars, très en retrait par rapport au grand mouvement de 2003" contre la réforme Fillon sur les retraites, a souligné le porte parole du gouvernement. "Tout ça est très en retrait par rapport à ce qu'on a connu, soit au moment des grandes manifestations sur les retraites en 2003, soit même plus récemment au tout début de l'année dernière, au plein coeur de la crise lorsqu'il y avait eu plus d'un million de personnes à deux reprises dans la rue", a-t-il affirmé.
Les Français souffrent de la sottise de leurs syndicats
A l'issue de cette journée de mobilisation "unitaire " du jeudi 27 qui devait être "massive", le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, également ministre de l'Education, a observé que la "faible mobilisation" enregistrée sur l'emploi et les retraites venait "valider la méthode du gouvernement" sur ce dernier dossier.
"Le gouvernement ne fait aucun triomphalisme mais cette mobilisation témoigne de la validité de sa méthode, faite d'écoute, de dialogue et de détermination pour mettre en marche une réforme juste et équilibrée", a-t-il ajouté.
Les Français conservent-ils leur confiance aux syndicats ?
La bande des six qui comptait faire pression sur le gouvernement s'est placée - aujourd'hui et pour longtemps- en situation de faiblesse.
Les travailleurs seront-ils bien représentés dans les âpres négociations sur la réforme des retraites ?
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