Expérimentation de nouveaux rythmes scolaires
L'objectif
Le ministre de l'Education, Luc Chatel, a l'intention d'expérimenter, dès la rentrée de septembre dans une centaine de collèges et lycées volontaires, un nouveau rythme scolaire favorisant le sport, révèle mardi Aujourd'hui en France/Le Parisien.
Le ministre recherche les moyens d'instaurer des semaines plus équilibrées, sur le modèle de ce qui se fait en Allemagne ou, depuis un an, dans un lycée de Meaux (Seine-et-Marne). L'expérimentation vise à mettre au point un emploi du temps plus en phase avec l’épanouissement des Français, aujourd’hui soumis à un curieux paradoxe : des jours de classe peu nombreux… mais extrêmement chargés.
L'objectif
Le ministre de l'Education, Luc Chatel, a l'intention d'expérimenter, dès la rentrée de septembre dans une centaine de collèges et lycées volontaires, un nouveau rythme scolaire favorisant le sport, révèle mardi Aujourd'hui en France/Le Parisien.
Le ministre recherche les moyens d'instaurer des semaines plus équilibrées, sur le modèle de ce qui se fait en Allemagne ou, depuis un an, dans un lycée de Meaux (Seine-et-Marne). L'expérimentation vise à mettre au point un emploi du temps plus en phase avec l’épanouissement des Français, aujourd’hui soumis à un curieux paradoxe : des jours de classe peu nombreux… mais extrêmement chargés.
Dans la centaine d’établissements-chercheurs, le ministère espère amorcer une logique vertueuse, tant sur les violences que sur l’absentéisme. Avec, espère-t-il, des élèves mieux dans leurs baskets.
Les établissements-chercheurs volontaires
"Deux à quatre établissements par académie seront retenus", à charge pour eux d'aménager des semaines "où les élèves auront cours le matin et se consacreront à des activités sportives l'après-midi".
"Il s'agit d'expérimenter un nouveau rythme scolaire", déclare Luc Chatel au journal, et "ne seront retenus que les établissements volontaires et qui disposent des équipements adaptés".
Le ministre de l'Education précise les contraintes : « l'expérimentation, pour d'évidentes raisons d'organisation, ne concernera qu'une à trois classes dans chaque établissement concerné".
Tremplin aux ASSU
Le plan passe également par la relance du sport associatif scolaire, qui ne compte qu'un petit million de licenciés, précise Aujour'd'hui en France/Le Parisien.
Les vertus du sport
Cette petite révolution dans l’organisation de la journée de milliers d’élèves du second degré sera l’occasion de tester à grande échelle un rythme scolaire différent. Et ce, à quelques semaines de la conférence nationale que le ministre de l’Education lancera d’ici l’été sur un sujet qui rassemble les acteurs, parents et enfants, mais qui divise les nostalgiques de la cogestion de l'Education nationale.
Les vertus du sport ne sont plus à démontrer auprès des ados (et de leurs profs...). Il fallait les développer et envisager de les étendre.
Il défoule et détend. Il est excellent pour la confiance en soi, donc pour les études.
Et permet d’apprendre le respect de règles essentielles à la vie en communauté. A tel point que le ministre de l’Education nationale souhaite que les élèves français y consacrent beaucoup plus de temps dès la rentrée.
Libération fournit une information allégée: le minimum syndical !...
Ce quotidien ne juge pas bon de préciser que le ministre signera ce matin des conventions de partenariat avec le comité olympique et quatre fédérations sportives.
Les établissements-chercheurs volontaires
"Deux à quatre établissements par académie seront retenus", à charge pour eux d'aménager des semaines "où les élèves auront cours le matin et se consacreront à des activités sportives l'après-midi".
"Il s'agit d'expérimenter un nouveau rythme scolaire", déclare Luc Chatel au journal, et "ne seront retenus que les établissements volontaires et qui disposent des équipements adaptés".
Le ministre de l'Education précise les contraintes : « l'expérimentation, pour d'évidentes raisons d'organisation, ne concernera qu'une à trois classes dans chaque établissement concerné".
Tremplin aux ASSU
Le plan passe également par la relance du sport associatif scolaire, qui ne compte qu'un petit million de licenciés, précise Aujour'd'hui en France/Le Parisien.
Les vertus du sport
Cette petite révolution dans l’organisation de la journée de milliers d’élèves du second degré sera l’occasion de tester à grande échelle un rythme scolaire différent. Et ce, à quelques semaines de la conférence nationale que le ministre de l’Education lancera d’ici l’été sur un sujet qui rassemble les acteurs, parents et enfants, mais qui divise les nostalgiques de la cogestion de l'Education nationale.
Les vertus du sport ne sont plus à démontrer auprès des ados (et de leurs profs...). Il fallait les développer et envisager de les étendre.
Il défoule et détend. Il est excellent pour la confiance en soi, donc pour les études.
Et permet d’apprendre le respect de règles essentielles à la vie en communauté. A tel point que le ministre de l’Education nationale souhaite que les élèves français y consacrent beaucoup plus de temps dès la rentrée.
Libération fournit une information allégée: le minimum syndical !...
Ce quotidien ne juge pas bon de préciser que le ministre signera ce matin des conventions de partenariat avec le comité olympique et quatre fédérations sportives.
Pourquoi cette presse insolente craint-elle de participer à l'effort gouvernemental ? Le mieux-être des ados n'est-il pas une ambition respectable?
Luc Chatel compte même mobiliser l’UNSS (Union nationale du sport scolaire) à laquelle tout prof de gym doit déjà trois heures de son service hebdomadaire.
Le quotidien n'est-il pas encore allé aux ordres auprès du « principal syndicat » enseignant ?...
Mon fils a eu cette expérience de la 6ème jusqu'en 3ème : cours le matin, sport l'après midi au collège Sainte-Anne de Valence.
RépondreSupprimerCe fut extrêmement positif ; le sport développe les amitiés et la solidarité. Par périodes de 3 mois sur 4 ans, il a touché pratiquement à tout, avec des classes de neige pour les sports de montagne et de mer pour les sports nautiques.
Outre la bonne mentalité que cela développe, un point que je trouve très important c'est qu'aujourd'hui (il a 21 ans), il n'est jamais "emprunté" et peut participer sans problème à tout ce qu'on lui propose parce qu'il l'a déjà pratiqué (tennis, golf, ski nautique, ski, voile, ping pong, escrime...) Il ne dit jamais "je ne sais pas jouer" et ça, pour la vie d'adulte c'est très important.
(je précise que le collège Sainte Anne est un collège sous contrat ; la scolarité est donc parfaitement abordable ; ce n'est pas un cours privé)
Mary