La fielleuse socialiste serait une incomprise
Le premier secrétaire du PS est une femme soumise
Martine Aubry, la faisant fonction de chef du PS, avait d'abord avoué qu'elle arrivait à "concevoir un départ à la retraite à 62 ou 63 ans". Mais l'aile gauche du parti l'avait aussitôt reprise en main. Recadrée par le gang Emmanuelli-Hamon, cette femme de convictions n'avait pas mis 10 jours pour revenir sur ses aveux. Lire PaSiDupes
Alors le premier secrétaire bafoué du PS se défoule sur la droite
Brutale et grossière, c'est froidement qu'elle s'est dévoilée et s'en est prise au président de la République pour amuser la galerie des présents à la Convention. La patronne du PS nie maintenant avoir comparé le président à "un Madoff qui donnerait quelques cours de comptabilité". Les propos minables qu'elle a prémédités et lancés à la tribune sont indignes d'une responsable politique. Puisqu'elle ne les assume pas, elle s'est disqualifiée dans sa course à l'Elysée.
L'analyse de texte tortueuse de la renégat
L'irresponsable Aubry nous fait un cours
"Les mots ont un sens (…) [sic] Bien sûr, je n'ai pas comparé le président de la République à Madoff mais j'ai dit une chose qui paraît assez simple, c'est que, quand il nous donne des leçons de rigueur budgétaire, quand on a fait augmenter la dette de la France - depuis que la droite est au pouvoir, en 2002, on l'a doublée, de 800 à 1.600 milliards - c'est un peu comme si Madoff venait vous donner des leçons de comptabilité. Et ça ne serait pas crédible", a affirmé Martine Aubry.
Ouest France fustige
« Martine Aubry a quelque peu dérapé hier soir en comparant Nicolas Sarkozy à l’escroc Bernard Madoff, plus grand escroc de l’histoire de la finance. Depuis, la polémique a enflé à grand pas. »
Quelques réactions
Les Français en ont assez des invectives
« Il est regrettable que Mme Aubry s’abaisse à injurier le président de la République en le comparant notamment à un escroc. Les Français jugeront où est la vulgarité », a affirmé Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP, dans un communiqué.
« On pouvait se réjouir de voir le PS choisir enfin le débat d’idées, dans une convention qui se disait constructive. Mais, patatras, cela se termine en acte de destruction et d’insulte », a-t-il dit.
« Les Français attendent plus que jamais des hommes et des femmes politiques qu’ils apportent des solutions plutôt que des invectives », a-t-il ajouté.
Brutal et dérisoire pour Fillon
François Fillon a qualifié dimanche d'«attaques brutales et dérisoires» abaissant le débat politique les propos de Martine Aubry sur Nicolas Sarkozy.
«Martine Aubry devrait s'excuser ou démissionner !»
La secrétaire d'Etat à la Famille Nadine Morano a demandé dimanche à la première secrétaire du PS Martine Aubry de «s'excuser» faute de quoi elle «devrait démissionner», après ses attaques contre Nicolas Sarkozy samedi. «Dans une démocratie, un parti politique qui ne respecte pas le président de la République n'est pas un parti respectable», ajoute-t-elle. «Martine Aubry vient de démontrer qu'elle n'est pas digne de diriger un grand parti de gouvernement».
Raffarin conseille à Aubry de s'excuser
L'ancien Premier ministre et sénateur UMP Jean-Pierre Raffarin a reproché dimanche à Martine Aubry (PS) d'avoir commis «une faute majeure» , lui conseillant de s'excuser pour redorer son «profil présidentiel».
La comparaison avec Madoff mérite, en effet, un blâme démocratique», a écrit M. Raffarin dans un billet sur son blog.
«Reprocher à François Mitterrand la retraite à 60 ans, c'est une opinion politique. Comme telle, elle est à la fois respectable et discutable. Comparer le président de la République à un escroc, c'est une injure, pas une opinion !», a condamné le sénateur de la Vienne.
François Hollande se désolidarise
Tandis que sur France 5, Sa Cynique Majesté se reconnaissait le dimanche 30 dans la 'vulgarité' de sa camarade socialiste, François Hollande, interrogé sur la comparaison faite par Martine Aubry, a rappellé à l'ordre son successeur.
« Il faut éviter autant qu’il est possible les facilités », a-t-il déclaré sans jamais citer Mme Aubry.
La candidate socialiste à la présidence s'est décrédibilisée
Est-on fiable quand on se renie ?
Le premier secrétaire du PS est une femme soumise
Martine Aubry, la faisant fonction de chef du PS, avait d'abord avoué qu'elle arrivait à "concevoir un départ à la retraite à 62 ou 63 ans". Mais l'aile gauche du parti l'avait aussitôt reprise en main. Recadrée par le gang Emmanuelli-Hamon, cette femme de convictions n'avait pas mis 10 jours pour revenir sur ses aveux. Lire PaSiDupes
Alors le premier secrétaire bafoué du PS se défoule sur la droite
Brutale et grossière, c'est froidement qu'elle s'est dévoilée et s'en est prise au président de la République pour amuser la galerie des présents à la Convention. La patronne du PS nie maintenant avoir comparé le président à "un Madoff qui donnerait quelques cours de comptabilité". Les propos minables qu'elle a prémédités et lancés à la tribune sont indignes d'une responsable politique. Puisqu'elle ne les assume pas, elle s'est disqualifiée dans sa course à l'Elysée.
L'analyse de texte tortueuse de la renégat
L'irresponsable Aubry nous fait un cours
"Les mots ont un sens (…) [sic] Bien sûr, je n'ai pas comparé le président de la République à Madoff mais j'ai dit une chose qui paraît assez simple, c'est que, quand il nous donne des leçons de rigueur budgétaire, quand on a fait augmenter la dette de la France - depuis que la droite est au pouvoir, en 2002, on l'a doublée, de 800 à 1.600 milliards - c'est un peu comme si Madoff venait vous donner des leçons de comptabilité. Et ça ne serait pas crédible", a affirmé Martine Aubry.
Ouest France fustige
« Martine Aubry a quelque peu dérapé hier soir en comparant Nicolas Sarkozy à l’escroc Bernard Madoff, plus grand escroc de l’histoire de la finance. Depuis, la polémique a enflé à grand pas. »
Quelques réactions
Les Français en ont assez des invectives
« Il est regrettable que Mme Aubry s’abaisse à injurier le président de la République en le comparant notamment à un escroc. Les Français jugeront où est la vulgarité », a affirmé Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP, dans un communiqué.
« On pouvait se réjouir de voir le PS choisir enfin le débat d’idées, dans une convention qui se disait constructive. Mais, patatras, cela se termine en acte de destruction et d’insulte », a-t-il dit.
« Les Français attendent plus que jamais des hommes et des femmes politiques qu’ils apportent des solutions plutôt que des invectives », a-t-il ajouté.
Brutal et dérisoire pour Fillon
François Fillon a qualifié dimanche d'«attaques brutales et dérisoires» abaissant le débat politique les propos de Martine Aubry sur Nicolas Sarkozy.
«Martine Aubry devrait s'excuser ou démissionner !»
La secrétaire d'Etat à la Famille Nadine Morano a demandé dimanche à la première secrétaire du PS Martine Aubry de «s'excuser» faute de quoi elle «devrait démissionner», après ses attaques contre Nicolas Sarkozy samedi. «Dans une démocratie, un parti politique qui ne respecte pas le président de la République n'est pas un parti respectable», ajoute-t-elle. «Martine Aubry vient de démontrer qu'elle n'est pas digne de diriger un grand parti de gouvernement».
Raffarin conseille à Aubry de s'excuser
L'ancien Premier ministre et sénateur UMP Jean-Pierre Raffarin a reproché dimanche à Martine Aubry (PS) d'avoir commis «une faute majeure» , lui conseillant de s'excuser pour redorer son «profil présidentiel».
La comparaison avec Madoff mérite, en effet, un blâme démocratique», a écrit M. Raffarin dans un billet sur son blog.
«Reprocher à François Mitterrand la retraite à 60 ans, c'est une opinion politique. Comme telle, elle est à la fois respectable et discutable. Comparer le président de la République à un escroc, c'est une injure, pas une opinion !», a condamné le sénateur de la Vienne.
François Hollande se désolidarise
Tandis que sur France 5, Sa Cynique Majesté se reconnaissait le dimanche 30 dans la 'vulgarité' de sa camarade socialiste, François Hollande, interrogé sur la comparaison faite par Martine Aubry, a rappellé à l'ordre son successeur.
« Il faut éviter autant qu’il est possible les facilités », a-t-il déclaré sans jamais citer Mme Aubry.
La candidate socialiste à la présidence s'est décrédibilisée
Est-on fiable quand on se renie ?
Peut-on prétendre au respect de la population, quand l'insulte devient une méthode politique de gouvernance fondée sur l'intimidation, qu'on insulte l'élu du suffrage universel ou qu'on insulte un jeune élu de son conseil municipal ? Lien PaSiDupes
Ayez « un peu » le courage de vos propos et de vos opinions, Madame !
Votre élégance serait de présenter vos excuses...
Ayez « un peu » le courage de vos propos et de vos opinions, Madame !
Votre élégance serait de présenter vos excuses...
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