Une femme voilée vaut deux 'boeufs'
L'universitaire française est rentrée à Paris dimanche
L'universitaire française est rentrée à Paris dimanche
La jeune universitaire a atterri dimanche 16 mai à l'aéroport militaire de Villacoublay
(Yvelines), à bord d'un Falcon 7X du gouvernement français, qu'elle avait pris à Dubaï, où elle avait fait escale, en provenance de Téhéran.Clothilde Reiss, une otage reconnaissante au Président Sarkozy
Après vingt minutes d'entretien avec le Président vers 13h30, Clotilde Reiss, libérée samedi 15 mai au terme de 10 mois de détention, a exprimé sa gratitude au chef de l'Etat dans une déclaration à l'Elysée, dimanche après-midi. "Il a défendu mon innocence".
Et qui rend hommage à ses co-détenus
Elle n'oublie pas les détenus qui ont partagé son sort pendant un mois et demi quand elle était en prison - "Ils m'ont traitée comme une soeur"- se souvenant tout particulièrement de "deux hommes qui étaient à mes côtés lors du procès que vous avez vu à la télévision et qui ont été exécutés". "Je suis bouleversée par leur histoire. Mes pensées se tournent vers eux", a-t-elle dit.
VOIR et ENTENDRE les remerciements de la jeune femme,libre, en présence du ministre des Affaires Etrangère, Bernard Kouchner:
Les remerciements de la France aux co-auteurs de la libération
Nicolas Sarkozy a salué dimanche les actions diplomatiques conjointes entre la France et les présidents brésilien Lula da Silva, sénégalais Abdoulaye Wade et syrien Bachar al Assad, "pour leur rôle actif" dans la libération de Clotilde Reiss, "injustement retenue en Iran depuis juillet 2009", souligne l'Elysée.
Les remerciements de la France aux co-auteurs de la libération
Nicolas Sarkozy a salué dimanche les actions diplomatiques conjointes entre la France et les présidents brésilien Lula da Silva, sénégalais Abdoulaye Wade et syrien Bachar al Assad, "pour leur rôle actif" dans la libération de Clotilde Reiss, "injustement retenue en Iran depuis juillet 2009", souligne l'Elysée.
Du racket ?
Il semble bien que l'Iran arrête arbitrairement les étrangers pour négocier la libération des Iraniens en délicatesse avec la justice de pays démocratiques. Deux hommes ont été au préalable libérés et la France a payé l'amende pour la faute supposée d'une innocente.
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