Après l'Euro 1984 et la Coupe du monde 1998, la France a encore remporté le marché.
1,7 milliard d'euros seront investis dans la construction de quatre stades et la rénovation de huit autres.
Le président Sarkozy s'est dit « très heureux, très honoré », que la candidature française ait été retenue pour l'organisation de l'Euro 2016.
« Je voudrais féliciter toutes les équipes de la Fédération, de la Ligue, je voudrais remercier tous les joueurs de football, Willy Sagnol, Zinedine Zidane, Youri Djorkaeff, Christian Karembeu, je voudrais remercier Roselyne Bachelot, Rama Yade et vous dire combien nous sommes contents de ce choix, pour tous les supporters français, pour tous les passionnés de football.»
Le coup de main réglementaire du président Sarkozy
«Grâce à ce projet, la France va pouvoir moderniser les infrastructures sportives et offrir au football français un projet mobilisateur pour les dix prochaines années tout en créant un effet positif et durable sur le pays», a déclaré Jean-Pierre Escalettes, le président de la Fédération française de football (FFF), présent à Genève, au siège de l'UEFA, au côté notamment du président de la République, Nicolas Sarkozy, qui est venu en personne soutenir la candidature de la France.
Les bienfaits de l'Euro
Projet OL Land, future propriété de l'Olympique lyonnais,
l'un des quatre nouveaux stades construits pour l'Euro 2016
La promesse de retombées importantes pour l'UEFA
De 1992 à 2008, l'Euro, organisé tous les quatre ans en alternance avec la Coupe du monde, a enregistré une croissance gigantesque de ses revenus : de 61 millions d'euros en 1992 à 1,25 milliard d'euros en 2008. De l'aveu de Jean-Pierre Escalettes. «On peut considérer que les revenus issus de la billeterie et de l'hospitalité pourraient être multipliés par 2 voire 2,5 par rapport à ceux enregistrés au cours de l'Euro 2008».
Attendons-nous à ce que Hamon-le-benoît affiche des yeux ce cocker et déclare: « Le compte n'y est pas ! »
La FFF a d'ores et déjà précisé que l'obtention de l'organisation va générer «15.000 emplois pour la phase de reconstruction et de rénovation et 4.000 emplois durables».
«Organiser une telle compétition, c'est la possibilité de laisser derrière nous un très bel héritage», a assuré Frédéric Thiriez, le président de la Ligue de football professionnel (LFP).
Les deux dernières compétitions de football organisées sur le sol français, l'Euro 1984 et la Coupe du monde 1998 s'étaient soldées par deux victoires...
=> Une aubaine pour certaines régions
Les présidents de région ont bénéficié de reports de compétences, mais, parce qu'ils sont socialistes, assurent que les transferts de moyens financiers ne correspondent pas. L'Euro devrait logiquement rapporter aux régions socialistes, mais Hamon-la-mauvaise-foi s'exclamera pourtant que « le compte n'y est toujours pas ! »
bonjour
RépondreSupprimerest-ce que cette "manne" va permettre d'indemniser plus ces "pôvres" joueurs ??