Fédération Syndicale Etudiante: vive la violence!

Exemple de litérature FSE
Et encore on ne s'y revèle pas... Ce ne sont pas des étudiants, en tous les cas pas des étudiants calmes à plein temps...
Historique: Du SEUL à la FSE Montpellier

Le Syndicat Etudiant Unitaire et Laïque (FSE) a été créé à Montpellier suite à la grève étudiante de novembre et décembre 1995. Au cours de ce mouvement, la direction nationale de l'Unef-id a tenté de se substituer aux étudiants mobilisés pour dévoyer les revendications. La majorité des militants de l'Unef-id de Montpellier III ont refusé les directives nationales, et ont au contraire soutenu les comités de grève et la coordination nationale. A l'issue du mouvement, ils ont été exclus, et ont fondé le SEUL avec des étudiants non-syndiqués qui avaient participé au mouvement, et ne se reconnaissaient pas dans les structures bureaucratiques Unef-se [lien essentiel pour savoir à qui vous avez à faire : dirigée par des étudiants issus de l'Union des étudiants communistes (PCF), entre autres extrêmistes de gauche...] et Unef-id [Socialisme et République, tendance Chevènement-PS]: des tendres par rapport aux militants de la FSE.
Le SEUL a alors cherché l'unité des syndicats étudiants de lutte, et n'a cessé de combattre les réformes de casse de l'Université publique (arrêté Bayrou, rapport Attali, plan U3M et réformes Allègre, licences professionnelles...).

En mars 2000, le SEUL a proposé la création de la Fédération Syndicale Etudiante, qui a abouti en juin 2000 à Caen. A partir d'octobre 2000, le SEUL est devenu de façon transitoire le SEUL-FSE, continuant de lutter contre le manque de moyens (un mois de grève à Montpellier III en mars 2001), puis contre la réforme LANG-ECTS (dite "LMD"). Depuis avril 2002, le SEUL-FSE est devenu la FSE Montpellier.

Et elle a d'autres petits camarades de la même veine... Ces charmants étudiants se sont épanouis à la fin de la période où congrès et Collectifs nationaux étaient dominés par les affrontements entre communistes et trotskistes : l’opposition qui se forma alors comprenait les militants de la GR (Gauche révolutionnaire, scission de la LCR, du gracieux petit postier de Neuilly, Besancenot ) qui dirigeaient les AGE de Rouen et Caen, mais aussi de nombreuses autres sensibilités, compris des communistes hostiles soit à la direction du PCF, soit seulement à la ligne syndicale de la direction de l’UNEF, et des socialistes.

L'UNEF-id n'est pas assez radicale: imaginez ce qu'est la FSE...
Allez, on vous aide: ce sont des révolutionnaires, amateurs du chaos...
Pas de souci: ils veillent sur nos voitures à crédit.