Le président Nicolas Sarkozy a proposé jeudi au maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë de travailler avec lui "dans un esprit d'ouverture et de tolérance", lors d'une réception à l'hôtel de ville. Comme le veut la tradition, le nouveau président de la République a été reçu par le maire de la capitale.
"Voyez en moi le président de tous les Français comme je vois en vous le maire de tous les Parisiens et travaillons ensemble dans un esprit d'ouverture et de tolérance", a dit M. Sarkozy à M. Delanoë. "Je n'ai pas l'intention de céder ni au sectarisme, ni à l'esprit de clan ni à l'intolérance", a-t-il assuré.
"Je tendrai la main à toutes les femmes et à tous les hommes de bonne volonté qui aiment leur pays et qui veulent le servir", a ajouté M. Sarkozy, y voyant "une obligation morale". "Et vous me trouverez à vos côtés à chaque fois que l'intérêt général sera en jeu", a dit le chef de l'Etat.
"Nos différences sont naturelles, elles sont légitimes", mais il faut que "ce qui nous rassemble soit plus fort que ce qui nous divise (...) M. le maire, il ne dépend que de nous de donner l'exemple d'une démocratie dans laquelle chacun se respecte et s'efforce de comprendre le point de vue de l'autre".
"Je prendrai des initiatives après les élections législatives pour faire de la France une République irréprochable et une démocratie exemplaire", a ajouté le chef de l'Etat.
Nicolas Sarkozy a souligné son attachement pour la capitale, ville "où j'ai grandi, où j'ai vécu". "Sans Paris, je ne serai sans doute pas devenu ce que je suis, le président de la République française", a avancé celui qui a été accueilli à son entrée sous les plafonds dorés de la salle des fêtes de l'Hôtel de ville par des clameurs et des "Sarko! Sarko!".
"On ne peut pas avoir une grande ambition pour la France sans avoir une grande ambition pour la capitale de la France. Paris n'est pas faite pour les petites ambitions", a affirmé M. Sarkozy.
"Je tendrai la main à toutes les femmes et à tous les hommes de bonne volonté qui aiment leur pays et qui veulent le servir", a ajouté M. Sarkozy, y voyant "une obligation morale". "Et vous me trouverez à vos côtés à chaque fois que l'intérêt général sera en jeu", a dit le chef de l'Etat.
"Nos différences sont naturelles, elles sont légitimes", mais il faut que "ce qui nous rassemble soit plus fort que ce qui nous divise (...) M. le maire, il ne dépend que de nous de donner l'exemple d'une démocratie dans laquelle chacun se respecte et s'efforce de comprendre le point de vue de l'autre".
"Je prendrai des initiatives après les élections législatives pour faire de la France une République irréprochable et une démocratie exemplaire", a ajouté le chef de l'Etat.
Nicolas Sarkozy a souligné son attachement pour la capitale, ville "où j'ai grandi, où j'ai vécu". "Sans Paris, je ne serai sans doute pas devenu ce que je suis, le président de la République française", a avancé celui qui a été accueilli à son entrée sous les plafonds dorés de la salle des fêtes de l'Hôtel de ville par des clameurs et des "Sarko! Sarko!".
"On ne peut pas avoir une grande ambition pour la France sans avoir une grande ambition pour la capitale de la France. Paris n'est pas faite pour les petites ambitions", a affirmé M. Sarkozy.
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