On s’étripe déjà à la boucherie PS
Fabius attend son heure et affûte ses coutelas!
Dominique Strauss-Kahn aura été successivement rival malheureux à la désignation de la candidate PS, puis rallié penaud à Sa Cynique Majesté Royal et enfin accusateur de son ex-concubin, Flamby 1er. Un parcours sinueux… Faut-il que des têtes tombent ?
Dominique Strauss-Kahn a affirmé lundi que le premier secrétaire du PS François Hollande était "le principal responsable" de la défaite présidentielle, qui crée "évidemment une crise" au Parti socialiste. "Le PS, depuis 2002, a été incapable de se renouveler" et François Hollande en est "le responsable principal", a-t-il affirmé sur RMC et BFM-TV, bien que DSK n’ait jamais cessé d’y appartenir et d’avoir sa part de responsabilité, en proportion de son influence personnelle !
Le député du Val-d'Oise a aussi ironisé sur la proposition de François Hollande d'organiser "des assises pour refonder un grand parti de la gauche". "C'est un aveu (...) Cela veut dire qu'on n'est plus un grand parti de la gauche", a-t-il dit, en déplorant "la tendance à fuir, dans des manoeuvres institutionnelles, la réalité". La logique de DSK n’est pas limpide : il constate d’une part l’incapacité du PS à se renouveler, mais critique d’autre part la tenue d’assises pour refonder un grand parti de la gauche...
Bien sûr le PS ne peut plus compter sur des alliances utiles à sa gauche en voie d’extinction, alors les assises consisteraient à débaucher au centre. Il suffit de voir que les Verts sont désormais considérés pour ce qu’ils sont : non plus une force, ni un parti, mais quelques unités solubles dans le PS, ou ‘biodégradables’, selon le terme de Noël Mamère. Le PCF ne représente plus rien, hormis un pouvoir de nuisance faible. Les trotskistes sont ingérables et leur image est détestable.
Mais DSK ne se satisfait pas d’attaques ciblées sur le premier secrétaire mollusque. Le gastéropode socialiste ne représente pas grand-chose et DSK s’en prend en outre aux idées. Selon Dominique Strauss-Kahn, ce n'est pas le parti qui est en cause, "ce sont les idées". "Nous n'avons pas attiré les Français", a-t-il dit, en plaidant pour "un socialisme du réel, ancré dans la réalité". "Depuis des années, on ne tranche rien" au PS, a-t-il déploré. De la défaite du 6 mai, "on est tous responsables à la mesure des responsabilités qu'on a exercées". Et pour être plus clair : "Plus la responsabilité est grande, plus on est responsable", a-t-il expliqué en visant Flamby 1er qui a non seulement laissé la voie libre à la mère de ses enfants, mais a favorisé son ascension.
Ce n’est pas le moment, avant les législatives, de souligner la responsabilité des militants qui ont désigné la Cynique susnommé -sans perspicacité, ni esprit critique, et se sont faits berner par une campagne médiatique faite de photos, de sites internet clonés et d’illusions, tel l’impact supposé de la nouveauté d’une candidature de femme.
Une responsabilité énorme incombe aussi à la nuée de laissés pour compte de la politique qui ont cru pouvoir s’infiltrer dans le sillage solitaire de Royal et enfin satisfaire leurs ambitions personnelles frustrées: il faut bien vaincre le chômage Mais combien de ringards parmi eux ? Voyez Patrick Mennucci, le veule distributeur de tracts et porteur de valises... Combien de sinistreséminences grises ? Voyez J.-L. Bianco ou Sophie Bouchet-Petersen… Combien de pseudo-experts? Dominique Méda, sherpa illustre sur son palier, ou la bande du réseau scandinave Gonordisk. Combien de parasites? Voyez Frère Rebsamen, qui n'est prophète ni à Dijon, ni nulle part... Combien de malfaisants ? Difficile de les nommer tous : Julien Dray ou B.Rebelle, D'Jack Lang ou Arnaud Montebourg ? Et le stand du jeu de massacre n'est pas complet. Les ingérences étrangères du PSE étaient-elles les bienvenues? Voyez R. Prodi ou Zapatero... On a eu même droit à la famille : depuis Thomas, le prince héritier, aux frères de Madame, dont l’Antoine bien connu de la Justice, mais sans Hélène, la maman, dont on dit qu’elle n’aurait surtout pas voté pour sa propre fille bien-aimée !
Puissions-nous ne plus jamais en croiser aucun dans les ruelles sombres et nauséabondes du pouvoir !
DSK est bien indulgent, au total!
Fabius attend son heure et affûte ses coutelas!
Dominique Strauss-Kahn aura été successivement rival malheureux à la désignation de la candidate PS, puis rallié penaud à Sa Cynique Majesté Royal et enfin accusateur de son ex-concubin, Flamby 1er. Un parcours sinueux… Faut-il que des têtes tombent ?
Dominique Strauss-Kahn a affirmé lundi que le premier secrétaire du PS François Hollande était "le principal responsable" de la défaite présidentielle, qui crée "évidemment une crise" au Parti socialiste. "Le PS, depuis 2002, a été incapable de se renouveler" et François Hollande en est "le responsable principal", a-t-il affirmé sur RMC et BFM-TV, bien que DSK n’ait jamais cessé d’y appartenir et d’avoir sa part de responsabilité, en proportion de son influence personnelle !
Le député du Val-d'Oise a aussi ironisé sur la proposition de François Hollande d'organiser "des assises pour refonder un grand parti de la gauche". "C'est un aveu (...) Cela veut dire qu'on n'est plus un grand parti de la gauche", a-t-il dit, en déplorant "la tendance à fuir, dans des manoeuvres institutionnelles, la réalité". La logique de DSK n’est pas limpide : il constate d’une part l’incapacité du PS à se renouveler, mais critique d’autre part la tenue d’assises pour refonder un grand parti de la gauche...
Bien sûr le PS ne peut plus compter sur des alliances utiles à sa gauche en voie d’extinction, alors les assises consisteraient à débaucher au centre. Il suffit de voir que les Verts sont désormais considérés pour ce qu’ils sont : non plus une force, ni un parti, mais quelques unités solubles dans le PS, ou ‘biodégradables’, selon le terme de Noël Mamère. Le PCF ne représente plus rien, hormis un pouvoir de nuisance faible. Les trotskistes sont ingérables et leur image est détestable.
Mais DSK ne se satisfait pas d’attaques ciblées sur le premier secrétaire mollusque. Le gastéropode socialiste ne représente pas grand-chose et DSK s’en prend en outre aux idées. Selon Dominique Strauss-Kahn, ce n'est pas le parti qui est en cause, "ce sont les idées". "Nous n'avons pas attiré les Français", a-t-il dit, en plaidant pour "un socialisme du réel, ancré dans la réalité". "Depuis des années, on ne tranche rien" au PS, a-t-il déploré. De la défaite du 6 mai, "on est tous responsables à la mesure des responsabilités qu'on a exercées". Et pour être plus clair : "Plus la responsabilité est grande, plus on est responsable", a-t-il expliqué en visant Flamby 1er qui a non seulement laissé la voie libre à la mère de ses enfants, mais a favorisé son ascension.
Ce n’est pas le moment, avant les législatives, de souligner la responsabilité des militants qui ont désigné la Cynique susnommé -sans perspicacité, ni esprit critique, et se sont faits berner par une campagne médiatique faite de photos, de sites internet clonés et d’illusions, tel l’impact supposé de la nouveauté d’une candidature de femme.
Une responsabilité énorme incombe aussi à la nuée de laissés pour compte de la politique qui ont cru pouvoir s’infiltrer dans le sillage solitaire de Royal et enfin satisfaire leurs ambitions personnelles frustrées: il faut bien vaincre le chômage Mais combien de ringards parmi eux ? Voyez Patrick Mennucci, le veule distributeur de tracts et porteur de valises... Combien de sinistreséminences grises ? Voyez J.-L. Bianco ou Sophie Bouchet-Petersen… Combien de pseudo-experts? Dominique Méda, sherpa illustre sur son palier, ou la bande du réseau scandinave Gonordisk. Combien de parasites? Voyez Frère Rebsamen, qui n'est prophète ni à Dijon, ni nulle part... Combien de malfaisants ? Difficile de les nommer tous : Julien Dray ou B.Rebelle, D'Jack Lang ou Arnaud Montebourg ? Et le stand du jeu de massacre n'est pas complet. Les ingérences étrangères du PSE étaient-elles les bienvenues? Voyez R. Prodi ou Zapatero... On a eu même droit à la famille : depuis Thomas, le prince héritier, aux frères de Madame, dont l’Antoine bien connu de la Justice, mais sans Hélène, la maman, dont on dit qu’elle n’aurait surtout pas voté pour sa propre fille bien-aimée !
Puissions-nous ne plus jamais en croiser aucun dans les ruelles sombres et nauséabondes du pouvoir !
DSK est bien indulgent, au total!
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