Jean-Luc Mélenchon, le sénateur socialiste de l'Essonne, nous éclaire un peu plus sur le Psychodrame Socialiste (extrait de son blog ) qui se joue actuellement rue de Solferino. On ne se débarrasse pas comme ça du trio infernal Ségolène-François-Thomas :
Bigre pourquoi me suis-je levé samedi. Pourquoi ? Réunion soit disant « à huis clos ». Ca paraissait sérieux. En fait j’ai appris dans les couloirs qu’il s’agissait d’empêcher la salle d’être envahie par les supporter de Ségolène Royal. C’est sans doute faux. Mais comme on me l’a répété deux ou trois fois, ça signale quand même au minimum un état d’esprit : celui des gens qui répètent l’info. De toutes façons un détachement de supporters étaient à l’entrée et on m’a dit (sans que je l’ai vu) que le fils Hollande le commandait. Comme ils disaient « merci untel .., merci » à ceux qui passaient, quand ils se sont adressé à moi j’ai pris ça au pied de la lettre et je suis allé les saluer. En fait il s’agissait de nous insulter en nous accusant de n’avoir rien fait pendant la campagne puisque c’est le mot d’ordre du quartier général des nouveaux gardes blancs (couleur de la veste de maman). Ils avaient une banderole très branchée dans un joli drap à fleurs que la grand-mère de Jeanne Sophie a du donner à sa petite fille Marie Chantal pour mettre dans son sac de couchage au JMJ et que cette petite peste a prêté à ses copains socialistes pour y faire des graffitis ! Quand j’ai compris ma méprise j’avais déjà le cœur au bord des lèvres. Cette sorte de raëlliens qui dansent devant le siège du Parti le soir des défaites et vient menacer des dirigeants socialistes devant leur conseil national me fait gerber. La suite n'a rien arrangé…
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