La thérapie du parjure socialiste divise le PS !
Le royal coup bas de Peillon
Peillon a beaucoup appris auprès de Sa Cynique Majesté Royal
L'émission À vous de juger a déjà commencé sur France 2 jeudi 14, quand Arlette Chabot, qui est en train de s'entretenir en direct avec son invité principal, Éric Besson, apprend - via son oreillette - que le socialiste Vincent Peillon lui a posé un lapin.
Non seulement il ne viendra pas débattre quelques minutes plus tard avec le ministre de l'Identité nationale, mais en plus il réclame la démission de la journaliste qui est à l'antenne, laquelle est la patronne de l'info de France 2 !
Du jamais vu en matière de déstabilisation et de manque de respect... Quelques minutes plus tard, avec sang froid, Arlette Chabot lit une dépêche qu'on lui tend et dans laquelle l'eurodéputé socialiste explique qu'il refuse de participer au débat sur l'identité nationale qu'il juge "indigne" et "inacceptable". Dame Chabot a peine à comprendre ce qui se passe.
Car, dans son communiqué, Vincent Peillon n'hésite pas à stigmatiser les conditions qui entourent le débat qu'il a pourtant accepté trois semaines plus tôt et confirmé le matin même au téléphone. Insultant pour les autres débatteurs, l'insolent socialiste tente de justifier sa forfaiture. "Pour habiller le tout, on m'a demandé, en tant que responsable socialiste, de venir cautionner cet exercice d'abaissement national en voulant bien jouer les idiots utiles en deuxième partie de soirée. »
Il signale par la même que c'est un coup monté en concertation avec des journalistes militants, les nombreux syndiqués à la puissante CGT qui noyaute le service public. « Et, comme on pouvait s'y attendre, on s'est déjà d'ailleurs copieusement servi de ma présence annoncée pour adresser une fin de non-recevoir à des journalistes de France Télévisions qui, pourtant avec raison, avaient demandé la déprogrammation de ce débat ." Arlette Chabot s'indigne de l'intention qui lui est prêtée d'avoir voulu tendre le moindre piège au responsable socialiste et estime être la seule piégée, en plein direct...
Le PS divisé replonge dans ses égarements
Des soutiens dont le félon se serait passé
- Patrick Mennucci (PS) porte-valises de l'amère Royal en campagne
Il fait désormais partie du même courant que Peillon-le-félon au PS et l'a donc "félicité" pour son attitude. Il a en effet le sentiment que le refus du combat est "un acte politique de résistance à l'abaissement de la République par des politiciens prêts à tout pour conforter leur pouvoir".
Le philosophe socialiste Peillon manque à sa parole et c'est un titre de gloire au PS, pour ce Marseillais qui honore ainsi sa région...
- Plus radical, Jean-Luc Mélenchon , ex-socialiste reconverti en président du Parti de gauche, a pour sa part qualifié de "télé-poubelle" l'émission de France 2 ...
-Quant aux communistes du PCF, ils déplorent "deux heures de publicité indigne et indécente aux thèses de la haine".
Le royal coup bas de Peillon
Peillon a beaucoup appris auprès de Sa Cynique Majesté Royal
L'émission À vous de juger a déjà commencé sur France 2 jeudi 14, quand Arlette Chabot, qui est en train de s'entretenir en direct avec son invité principal, Éric Besson, apprend - via son oreillette - que le socialiste Vincent Peillon lui a posé un lapin.
Non seulement il ne viendra pas débattre quelques minutes plus tard avec le ministre de l'Identité nationale, mais en plus il réclame la démission de la journaliste qui est à l'antenne, laquelle est la patronne de l'info de France 2 !
Du jamais vu en matière de déstabilisation et de manque de respect... Quelques minutes plus tard, avec sang froid, Arlette Chabot lit une dépêche qu'on lui tend et dans laquelle l'eurodéputé socialiste explique qu'il refuse de participer au débat sur l'identité nationale qu'il juge "indigne" et "inacceptable". Dame Chabot a peine à comprendre ce qui se passe.
Car, dans son communiqué, Vincent Peillon n'hésite pas à stigmatiser les conditions qui entourent le débat qu'il a pourtant accepté trois semaines plus tôt et confirmé le matin même au téléphone. Insultant pour les autres débatteurs, l'insolent socialiste tente de justifier sa forfaiture. "Pour habiller le tout, on m'a demandé, en tant que responsable socialiste, de venir cautionner cet exercice d'abaissement national en voulant bien jouer les idiots utiles en deuxième partie de soirée. »
Il signale par la même que c'est un coup monté en concertation avec des journalistes militants, les nombreux syndiqués à la puissante CGT qui noyaute le service public. « Et, comme on pouvait s'y attendre, on s'est déjà d'ailleurs copieusement servi de ma présence annoncée pour adresser une fin de non-recevoir à des journalistes de France Télévisions qui, pourtant avec raison, avaient demandé la déprogrammation de ce débat ." Arlette Chabot s'indigne de l'intention qui lui est prêtée d'avoir voulu tendre le moindre piège au responsable socialiste et estime être la seule piégée, en plein direct...
Le PS divisé replonge dans ses égarements
- Patrick Mennucci (PS) porte-valises de l'amère Royal en campagne
Il fait désormais partie du même courant que Peillon-le-félon au PS et l'a donc "félicité" pour son attitude. Il a en effet le sentiment que le refus du combat est "un acte politique de résistance à l'abaissement de la République par des politiciens prêts à tout pour conforter leur pouvoir".
Le philosophe socialiste Peillon manque à sa parole et c'est un titre de gloire au PS, pour ce Marseillais qui honore ainsi sa région...
- Plus radical, Jean-Luc Mélenchon , ex-socialiste reconverti en président du Parti de gauche, a pour sa part qualifié de "télé-poubelle" l'émission de France 2 ...
-Quant aux communistes du PCF, ils déplorent "deux heures de publicité indigne et indécente aux thèses de la haine".
Mi-figue, mi-raisin
Le premier secrétaire du Parti socialiste et le radical Benoît Hamon, en tant que porte-voix, n'ont pas désavoué l'élu, d'autant que Martine Aubry admet avoir été mise au courant. A-t-elle cautionné le coup bas ou n'a-t-elle pas eu le pouvoir de l'empêcher ?
Le premier secrétaire du Parti socialiste et le radical Benoît Hamon, en tant que porte-voix, n'ont pas désavoué l'élu, d'autant que Martine Aubry admet avoir été mise au courant. A-t-elle cautionné le coup bas ou n'a-t-elle pas eu le pouvoir de l'empêcher ?
Des condamnations socialistes
Manuel Valls et Pierre Moscovici désapprouvent le comportement du caractériel Vincent Peillon - Lire un prochain article de PaSiDupes En effet, le procédé mis au point par le félon a privé le PS de la possibilité d'envoyer un représentant de substitution au défaillant Peillon.
Des figures du journalisme condamnent le félon
Manuel Valls et Pierre Moscovici désapprouvent le comportement du caractériel Vincent Peillon - Lire un prochain article de PaSiDupes En effet, le procédé mis au point par le félon a privé le PS de la possibilité d'envoyer un représentant de substitution au défaillant Peillon.
Des figures du journalisme condamnent le félon
Duhamel : "stupéfait et indigné"
Il est indéniable que l'inconséquence du responsable socialiste Peillon-le-félon est plus que tardive. Jeudi soir, il était initialement attendu à 20 heures au siège de France Télévisions. À 20 h 15, Nathalie Saint-Cricq, la rédactrice en chef de l'émission, n'a pas de nouvelles de lui. À 20 h 30, toujours rien. Son portable ne répond pas. Son assistante lui tend à 21 heures une dépêche d'agence alors que l'émission a déjà commencé... Peillon se dérobe ! Et, comble d'impudeur, accable les responsables de France 2 en réclamant leur démission. "Des méthodes de voyou", enrage Saint-Cricq.
Patrice Duhamel, le numéro deux du groupe France Télévisions, se dit "stupéfait et indigné".
Nathalie Saint-Cricq, en état de sidération, est affirmative.
"J'ai invité Vincent Peillon avant Noël pour le 14 janvier. Il a accepté sans discuter" . Je n'ai même pas eu besoin de le convaincre. "Au retour des vacances, le 3 ou le 4 janvier [dix jours avant le débat], je lui ai confirmé que l'émission aurait bien lieu et je lui ai détaillé le dispositif". C'est alors que Vincent Peillon prend connaissance que Marine Le Pen sera également de la partie et que l'émission sera composée de deux face-à-face : Besson-Le Pen et Besson-Peillon.
La question se pose de savoir laquelle des deux confrontations passera avant l'autre. Habitué des traitement de faveur sur le service public, "Vincent Peillon préférait passer en second de manière à entendre au préalable le duel Besson-Le Pen, nous explique Nathalie Saint-Cricq. Il souhaitait ainsi ramasser les arguments échangés et pouvoir se positionner." Cette position confortable est celle dont jouit sans vergogne le PS sur tous les plateaux de télévision et de radio où la gauche est en outre le plus souvent en surnombre au détriment des kamikazes de la majorité masochiste.
Sale coup médiatique de Peillon
Jeudi matin encore, vers 11 heures, à quelques heures du débat, Arlette Chabot verrouille les derniers détails en passant 30 minutes au téléphone avec Peillon. Aucun problème. Le leader socialiste insiste pour que l'on parle bien de son livre. Il en fait d'ailleurs porter deux exemplaires. Nathalie Saint-Cricq échange de son côté de nombreux mails avec ses assistants. Moyennant quoi, à l'heure convenue, Vincent Peillon disparaît... Il a voulu faire un coup. C'est réussi. On parlera de lui dans les journaux. Mais quelle portée ? Les Français jugeront !
Sur son blog , Peillon-le-félon se répand : "Parce que tout mon engagement politique et citoyen est fondé d'abord sur les valeurs de la République [à preuve !], de la raison et de l'antifascisme (une accusation que l'ex-trotskiste Jospin récusa samedi à l'émission On n'est pas couché où il la considéra excessive et injuste), j'ai décidé de ne pas participer au débat d'indignité nationale organisé ce soir sur France 2 et d'attirer solennellement l'attention de mes compatriotes sur les graves dérives que subit notre démocratie." Nathalie Saint-Cricq glisse, dépitée : "Les politiques ne respectent plus aucune règle du jeu." Une généralisation un peu abusive, mais il est vrai qu'il ne faut pas compter sur le PS pour que grandisse la "république du respect". Le 'débat participatif' a-t-il jamais existé au PS ?
Jusqu'où les socialistes repousseront-ils les limites de l'indécence ?
Certes, la Ch'tite Aubry se frotte les mains.
Sans trop en faire, elle s'impose par défaut. Lumière blafarde dans les ténèbres de la Rue de Solférino, elle s'est relookée pour son lâcher, sous les caméras, du serpent de mer de la loi sur le droit de vote des étrangers non-communautaires, mais c'est ce moment que l'ex-lieutenant de Désirdavenir Royal a choisi pour dresser un rideau de fumée à France 2, rendant ainsi un immense service à Sa Cynique Majesté Royal, toute affairée à recruter des responsables du MoDem pour se maintenir en Poitou-Charentes aux Régionales, comme la moule à son rocher .
Le PS a habitué la France à ses déballages publiques quotidiens, persuadé que l'opinion est à l'écoute de ses psychodrames internes, alors que, de rumeur sournoise en insulte non assumée, elle le juge très mal, malgré la crise, ou à cause d'elle, car elle a ses propres soucis et attend de l'opposition qu'elle soit une force de proposition, plutôt qu'un boulet. Elle ne s'attendait pas à être témoin en direct des turpitudes socialistes. L'intox des sondages partisans de la campagne présidentielle, puis les rumeurs et les polémiques visant le gouvernement et la majorité n'y font rien: les réformes avancent pendant que le PS se déchire au congrès de Reims ou se livre à un combat de petits chefs aux journées de L'Espoir à gauche à Dijon auxquelles Sa Cynique Majesté Royal a imposé son indésirable présence à Peillon. Lire PaSiDupes
Le succès du PS aux régionales est-il au prix d'incessantes rivalités d'ego, de bisbilles mesquines et de rumeurs malsaines ? C'est avoir peu de considération pour les Français et peu d'estime pour les électeurs. Ils sauront désigner les pollueurs de ce climat délétère.
"La fuite de M. Peillon le jour même où le PS a déposé sa proposition de loi sur le droit de vote des étrangers en dit long sur sa difficulté à assumer publiquement devant des millions de Français la manipulation qu'il a montée pour séduire l'extrême gauche et exciter l'extrême droite", a aussitôt prétendu le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, accusant le PS de "fuir le débat".
Le poseur de lapin a fui à la façon de son totem.
Il est indéniable que l'inconséquence du responsable socialiste Peillon-le-félon est plus que tardive. Jeudi soir, il était initialement attendu à 20 heures au siège de France Télévisions. À 20 h 15, Nathalie Saint-Cricq, la rédactrice en chef de l'émission, n'a pas de nouvelles de lui. À 20 h 30, toujours rien. Son portable ne répond pas. Son assistante lui tend à 21 heures une dépêche d'agence alors que l'émission a déjà commencé... Peillon se dérobe ! Et, comble d'impudeur, accable les responsables de France 2 en réclamant leur démission. "Des méthodes de voyou", enrage Saint-Cricq.
Patrice Duhamel, le numéro deux du groupe France Télévisions, se dit "stupéfait et indigné".
"J'ai invité Vincent Peillon avant Noël pour le 14 janvier. Il a accepté sans discuter" . Je n'ai même pas eu besoin de le convaincre. "Au retour des vacances, le 3 ou le 4 janvier [dix jours avant le débat], je lui ai confirmé que l'émission aurait bien lieu et je lui ai détaillé le dispositif". C'est alors que Vincent Peillon prend connaissance que Marine Le Pen sera également de la partie et que l'émission sera composée de deux face-à-face : Besson-Le Pen et Besson-Peillon.
La question se pose de savoir laquelle des deux confrontations passera avant l'autre. Habitué des traitement de faveur sur le service public, "Vincent Peillon préférait passer en second de manière à entendre au préalable le duel Besson-Le Pen, nous explique Nathalie Saint-Cricq. Il souhaitait ainsi ramasser les arguments échangés et pouvoir se positionner." Cette position confortable est celle dont jouit sans vergogne le PS sur tous les plateaux de télévision et de radio où la gauche est en outre le plus souvent en surnombre au détriment des kamikazes de la majorité masochiste.
Sale coup médiatique de Peillon
Jeudi matin encore, vers 11 heures, à quelques heures du débat, Arlette Chabot verrouille les derniers détails en passant 30 minutes au téléphone avec Peillon. Aucun problème. Le leader socialiste insiste pour que l'on parle bien de son livre. Il en fait d'ailleurs porter deux exemplaires. Nathalie Saint-Cricq échange de son côté de nombreux mails avec ses assistants. Moyennant quoi, à l'heure convenue, Vincent Peillon disparaît... Il a voulu faire un coup. C'est réussi. On parlera de lui dans les journaux. Mais quelle portée ? Les Français jugeront !
Sur son blog , Peillon-le-félon se répand : "Parce que tout mon engagement politique et citoyen est fondé d'abord sur les valeurs de la République [à preuve !], de la raison et de l'antifascisme (une accusation que l'ex-trotskiste Jospin récusa samedi à l'émission On n'est pas couché où il la considéra excessive et injuste), j'ai décidé de ne pas participer au débat d'indignité nationale organisé ce soir sur France 2 et d'attirer solennellement l'attention de mes compatriotes sur les graves dérives que subit notre démocratie." Nathalie Saint-Cricq glisse, dépitée : "Les politiques ne respectent plus aucune règle du jeu." Une généralisation un peu abusive, mais il est vrai qu'il ne faut pas compter sur le PS pour que grandisse la "république du respect". Le 'débat participatif' a-t-il jamais existé au PS ?
Jusqu'où les socialistes repousseront-ils les limites de l'indécence ?
Certes, la Ch'tite Aubry se frotte les mains.
Sans trop en faire, elle s'impose par défaut. Lumière blafarde dans les ténèbres de la Rue de Solférino, elle s'est relookée pour son lâcher, sous les caméras, du serpent de mer de la loi sur le droit de vote des étrangers non-communautaires, mais c'est ce moment que l'ex-lieutenant de Désirdavenir Royal a choisi pour dresser un rideau de fumée à France 2, rendant ainsi un immense service à Sa Cynique Majesté Royal, toute affairée à recruter des responsables du MoDem pour se maintenir en Poitou-Charentes aux Régionales, comme la moule à son rocher .
Le PS a habitué la France à ses déballages publiques quotidiens, persuadé que l'opinion est à l'écoute de ses psychodrames internes, alors que, de rumeur sournoise en insulte non assumée, elle le juge très mal, malgré la crise, ou à cause d'elle, car elle a ses propres soucis et attend de l'opposition qu'elle soit une force de proposition, plutôt qu'un boulet. Elle ne s'attendait pas à être témoin en direct des turpitudes socialistes. L'intox des sondages partisans de la campagne présidentielle, puis les rumeurs et les polémiques visant le gouvernement et la majorité n'y font rien: les réformes avancent pendant que le PS se déchire au congrès de Reims ou se livre à un combat de petits chefs aux journées de L'Espoir à gauche à Dijon auxquelles Sa Cynique Majesté Royal a imposé son indésirable présence à Peillon. Lire PaSiDupes
Le succès du PS aux régionales est-il au prix d'incessantes rivalités d'ego, de bisbilles mesquines et de rumeurs malsaines ? C'est avoir peu de considération pour les Français et peu d'estime pour les électeurs. Ils sauront désigner les pollueurs de ce climat délétère.
"La fuite de M. Peillon le jour même où le PS a déposé sa proposition de loi sur le droit de vote des étrangers en dit long sur sa difficulté à assumer publiquement devant des millions de Français la manipulation qu'il a montée pour séduire l'extrême gauche et exciter l'extrême droite", a aussitôt prétendu le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, accusant le PS de "fuir le débat".
Le poseur de lapin a fui à la façon de son totem.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):