Bayrou appelle à un "réveil républicain"
François Bayrou, le président du Mouvement démocrate, appelle à un "réveil républicain" aux élections régionales, un scrutin à risque pour sa formation qui a choisi d'aller seule à la bataille et se vide.
Devant un millier de militants réunies dimanche à Paris pour le lancement de la campagne, le candidat centriste éliminé au 1er tour de la présidentielle, qui a refusé toute alliance au premier tour le 14 mars, a fustigé un pouvoir qui place selon lui l'argent au-dessus de l'intérêt public.
Le Béarnais a appelé à un "réveil" des "Républicains de tous bords" aux régionales, dont le second tour aura lieu le 21 mars.
"Il faut qu'à chaque occasion, et cette élection en sera une, il y ait le réveil des républicains", a-t-il dit. "Il faut qu'ils envoient un message transparent comme le cristal : nous ne pouvons pas accepter ce que vous êtes en train de faire".
Si il le dit...
François Bayrou a précisé qu'il n'avait "aucune antipathie personnelle" envers l'équipe au pouvoir. "On a fréquenté les mêmes sous-bois, les mêmes labyrinthes", a rappelé celui qui fut ministre dans des gouvernements de droite.
L'ancien "troisième homme" de la présidentielle de 2007 refuse de donner "tous les pouvoirs à la droite au sommet de l'Etat et tous les pouvoirs à la gauche dans les régions".
Le bipartisme
"Grand chelem d'un coté contre grand chelem de l'autre. C'est un cauchemar pour la France qu'on se retrouve dans cette déchirure-là", a-t-il estimé, tout en reconnaissant que le choix de l'autonomie fait par le MoDem était risqué.
Le multipartisme, "c'est un risque, oui, mais il n'y a pas de vie sans risque", a-t-il dit.
Contraint forcé.
François Bayrou, le président du Mouvement démocrate, appelle à un "réveil républicain" aux élections régionales, un scrutin à risque pour sa formation qui a choisi d'aller seule à la bataille et se vide.
Devant un millier de militants réunies dimanche à Paris pour le lancement de la campagne, le candidat centriste éliminé au 1er tour de la présidentielle, qui a refusé toute alliance au premier tour le 14 mars, a fustigé un pouvoir qui place selon lui l'argent au-dessus de l'intérêt public.
Le Béarnais a appelé à un "réveil" des "Républicains de tous bords" aux régionales, dont le second tour aura lieu le 21 mars.
"Il faut qu'à chaque occasion, et cette élection en sera une, il y ait le réveil des républicains", a-t-il dit. "Il faut qu'ils envoient un message transparent comme le cristal : nous ne pouvons pas accepter ce que vous êtes en train de faire".
Si il le dit...
François Bayrou a précisé qu'il n'avait "aucune antipathie personnelle" envers l'équipe au pouvoir. "On a fréquenté les mêmes sous-bois, les mêmes labyrinthes", a rappelé celui qui fut ministre dans des gouvernements de droite.
L'ancien "troisième homme" de la présidentielle de 2007 refuse de donner "tous les pouvoirs à la droite au sommet de l'Etat et tous les pouvoirs à la gauche dans les régions".
Le bipartisme
"Grand chelem d'un coté contre grand chelem de l'autre. C'est un cauchemar pour la France qu'on se retrouve dans cette déchirure-là", a-t-il estimé, tout en reconnaissant que le choix de l'autonomie fait par le MoDem était risqué.
Le multipartisme, "c'est un risque, oui, mais il n'y a pas de vie sans risque", a-t-il dit.
Contraint forcé.
François Bayrou s'est félicité de diriger le "seul mouvement politique qui ait choisi de confier deux de ses têtes de listes nationales (à des personnes) représentant des jeunes et des familles qui se sentent en difficulté". En l'occurrence, le chef d'entreprise Alain Dolium en Ile-de-France et l'ancien ministre Azouz Begag en Rhône-Alpes.
Le MoDem se replie sur lui-même
François Bayrou a d'ores et déjà repoussé l'idée d'un rapprochement avec le pouvoir en place.
A la tribune, le député pyrénéen Jean Lassalle a entonné la chanson de Guy Béart "l'Espérance folle", symbolisant les ambitions des 22 candidats centristes.
Le MoDem se replie sur lui-même
François Bayrou a d'ores et déjà repoussé l'idée d'un rapprochement avec le pouvoir en place.
A la tribune, le député pyrénéen Jean Lassalle a entonné la chanson de Guy Béart "l'Espérance folle", symbolisant les ambitions des 22 candidats centristes.
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